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Pour un leadership jardinier : comment diriger avec le cœur | Liz Theophille | TEDxSaclay

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    Le leadership.
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    Qui, parmi vous, se considère
    comme un leader ?
  • 0:18 - 0:24
    Vous êtes parent
    ou propriétaire d'une affaire,
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    ou vous êtes l'ainé de votre fratrie.
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    Peut-être souhaitez-vous simplement
    parcourir le monde
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    et raconter aux gens comment
    vous allez résoudre tous les problèmes.
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    Mais quel genre de leader ?
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    Quelqu'un qui dirige avec le pouvoir ?
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    Ou la hiérarchie ?
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    Ou la peur ?
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    Ou bien êtes-vous ce leader ouvert
    d'esprit qui dirige avec le cœur ?
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    Aujourd'hui, je souhaite vous parler
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    de ce qu'est un leader
    qui dirige avec le cœur.
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    Il y a longtemps,
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    j'ai pris un nouveau poste
    dans une nouvelle entreprise.
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    Une de mes premières missions
    fut de diriger une enquête
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    sur un programme de transformation
    qui avait échoué.
  • 1:26 - 1:32
    Le client était très contrarié
    de nos performances
  • 1:32 - 1:37
    et nous avions, au mieux,
    perdu sa confiance.
  • 1:39 - 1:42
    Durant ma rencontre avec l'équipe
    qui gérait ce programme,
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    j'ai constaté que les membres
    avaient peur de parler,
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    de parler de leurs nombreuses erreurs
  • 1:50 - 1:54
    et ils passaient leur temps
    à se rejeter la faute.
  • 1:55 - 1:57
    Quand je suis allée parler au chef,
  • 1:59 - 2:03
    il m'a répondu que
    je ne comprenais pas ce qu'il se passait
  • 2:03 - 2:07
    et que l'équipe ne partageait pas avec moi
    ce qui se passait réellement.
  • 2:08 - 2:12
    Cette réaction m'a vraiment surprise.
  • 2:13 - 2:15
    Et quand j'ai rencontré le client,
  • 2:15 - 2:18
    il m'a affirmé ne plus vouloir
    travaille avec lui.
  • 2:21 - 2:23
    Quant à l'équipe,
  • 2:24 - 2:26
    quand ils continuaient de parler avec moi,
  • 2:26 - 2:32
    j'ai constaté qu'ils avaient peur
    de rater et de parler.
  • 2:33 - 2:35
    J'ai aussi constaté
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    qu'ils pensaient que leur chef
    n'était pas engagé,
  • 2:41 - 2:43
    qu'il ne participait pas aux réunions clés
  • 2:43 - 2:47
    et plus crucial, qu'il ne s'intéressait
    pas du tout à ce qu'il se passait.
  • 2:51 - 2:56
    À la fin de mon enquête,
    au moment de rendre mon rapport,
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    mon chef m'a demandé en premier :
  • 3:01 - 3:07
    « Liz, qui est responsable
    et à qui dois-je faire porter le chapeau ?
  • 3:08 - 3:09
    Qui dois-je virer ? »
  • 3:11 - 3:14
    Cette question m'a surprise
  • 3:15 - 3:16
    et je lui ai demandé :
  • 3:16 - 3:22
    « Quel est votre rôle, pensez-vous,
    dans l'échec colossal de ce projet ? »
  • 3:23 - 3:27
    Il m'a répondu que
    ce ne pouvait être que l'équipe.
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    C'est intéressant que
    dans un tel programme,
  • 3:35 - 3:38
    le chef fasse porter
    le chapeau à l'équipe.
  • 3:39 - 3:41
    Je me suis souvenue des discussions
  • 3:41 - 3:43
    et je lui ai demandé
    s'il connaissait l'équipe,
  • 3:43 - 3:45
    ce qu'ils faisaient,
  • 3:45 - 3:46
    s'il passait du temps avec eux,
  • 3:46 - 3:48
    s'il leur posait des questions.
  • 3:49 - 3:51
    Il m'a répondu : « Continuellement. »
  • 3:51 - 3:55
    Mais clairement, il n'était pas présent.
  • 3:57 - 4:01
    Regardez cette photo.
  • 4:02 - 4:04
    Je m’appelle Liz Theophille.
  • 4:05 - 4:09
    Je suis la CTO et la directrice numérique
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    d’une entreprise pharmaceutique mondiale.
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    J’ai grandi dans un environnement
    focalisé sur un leadership fort.
  • 4:21 - 4:25
    Mais je suis convaincue que
    pour diriger avec son cœur,
  • 4:25 - 4:30
    un dirigeant doit encourager
    un état d’esprit expérimental.
  • 4:30 - 4:35
    Il doit offrir une sécurité
    psychologique à son équipe.
  • 4:35 - 4:38
    Et il doit aussi être
    un dirigeant jardinier.
  • 4:39 - 4:45
    Mais j’ai grandi à une époque, dans une
    culture où les dirigeants étaient craints,
  • 4:45 - 4:49
    et pas forcément respectés
    pour leurs savoirs.
  • 4:51 - 4:53
    Certes, c’était à une époque difficile.
  • 4:53 - 4:56
    Mais je suis convaincue qu’il y a
    des meilleures manières de diriger.
  • 4:58 - 5:00
    Vous avez dû remarquer
  • 5:00 - 5:04
    mon accent écossais très prononcé.
  • 5:05 - 5:06
    Non ?
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    J’ai en effet grandi en Écosse.
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    Mais je n’ai pas adopté
    les traits des Écossais.
  • 5:14 - 5:16
    Je ressemble davantage à ceci.
  • 5:17 - 5:18
    Je suis très fière,
  • 5:19 - 5:22
    forte et déterminée.
  • 5:23 - 5:25
    Toutefois, je concède
  • 5:25 - 5:31
    que j’ai adopté certaines manières
    de mon chef et de l’équipe,
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    surtout quand j’étais une jeune leader,
  • 5:33 - 5:34
    à mes premiers pas.
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    J’étais très technique.
  • 5:37 - 5:41
    Et quand j'ai commencé à évoluer
    de ma position de technicienne
  • 5:41 - 5:44
    à celle de chef d'équipe technique,
  • 5:45 - 5:47
    j'ai fait du micro-management.
  • 5:50 - 5:52
    Je vérifiais tout ce qu'il se passait
  • 5:52 - 5:56
    car je connaissais beaucoup
    des solutions et des réponses.
  • 5:56 - 5:58
    Je suis certaine que
    cela devait être très intimidant
  • 5:58 - 6:00
    pour les équipes.
  • 6:01 - 6:06
    Mais je sais qu'il y a une meilleure
    façon de diriger, avec le cœur,
  • 6:06 - 6:10
    qui permet de motiver
    et inspirer les équipes.
  • 6:12 - 6:14
    Voici une anecdote
  • 6:15 - 6:18
    de mes erreurs de débutante
    avec mes premières équipes techniques.
  • 6:18 - 6:23
    Une personne dans l'équipe était
    particulièrement douée techniquement,
  • 6:23 - 6:26
    mais avait une nature très introvertie.
  • 6:27 - 6:32
    Très souvent, il aimait faire
    des expériences avec la technologie.
  • 6:33 - 6:36
    Il ne partageait pas
    tout ce qu'il faisait.
  • 6:36 - 6:40
    Je pensais qu'il s'amusait en fait.
  • 6:41 - 6:45
    Quand nous étions en réunion
    pour discuter des livrables,
  • 6:45 - 6:48
    et ce que nous attendions de lui,
  • 6:49 - 6:51
    il ne prenait pas vraiment la parole
  • 6:51 - 6:52
    et parlait peu.
  • 6:53 - 6:55
    Alors, j'ai commencé à penser
  • 6:55 - 6:58
    qu'il ne s'intéressait pas
    à ce qu'il se passait.
  • 6:59 - 7:03
    Durant nos réunions d'évaluation,
    il parlait peu
  • 7:03 - 7:05
    mais me posait beaucoup de questions.
  • 7:05 - 7:10
    Et avec mon expérience technique,
    je répondais à toutes ses questions.
  • 7:11 - 7:17
    Mais j'ai compris que j'étouffais
    sa créativité et son sens de l'innovation
  • 7:17 - 7:21
    car je ne lui laissais pas
    assez de temps pour réfléchir.
  • 7:23 - 7:25
    J'ai appris ma leçon.
  • 7:26 - 7:29
    Je ne veux plus intimider mes équipes
    parce que je n'écoute pas
  • 7:29 - 7:34
    et je souhaite nourrir ce que je nomme
    un état d'esprit empirique
  • 7:34 - 7:39
    qui permet la prise de risque
    et l'expérimentation technologique.
  • 7:42 - 7:44
    Une autre occasion survint
  • 7:44 - 7:46
    alors que je devais diriger
  • 7:46 - 7:49
    une des transformations
    les plus compliquées et difficiles
  • 7:49 - 7:52
    que j'aie jamais réalisées
    dans ma carrière.
  • 7:53 - 7:58
    Je gérais à l'époque ce qu'on appelle
    un centre de données mondial.
  • 7:58 - 8:03
    Un de ces grands centres techniques
    emplis d'ordinateurs et tout ça.
  • 8:04 - 8:09
    J'avais trois centres de données
    régionaux sous ma responsabilité,
  • 8:09 - 8:14
    en Angleterre, en Allemagne et en France.
  • 8:16 - 8:22
    Ma mission consistait à consolider
    les trois centres en un seul.
  • 8:23 - 8:26
    Naturellement, on a choisi la France.
  • 8:28 - 8:29
    (Applaudissements)
  • 8:30 - 8:32
    N'applaudissez pas trop vite.
  • 8:32 - 8:33
    (Rires)
  • 8:33 - 8:34
    Bon,
  • 8:35 - 8:39
    cela signifiait que
    j'allais devoir licencier
  • 8:40 - 8:42
    à peu près 400 salariés.
  • 8:45 - 8:48
    Des personnes avec qui j'avais travaillé.
  • 8:48 - 8:49
    J'avais grandi avec eux.
  • 8:49 - 8:51
    On avait déjeuné ensemble.
  • 8:52 - 8:54
    Il nous arrivait de sortir ensemble.
  • 8:54 - 8:56
    On résolvait les problèmes ensemble.
  • 8:56 - 9:00
    Mais je devais licencier 400 personnes.
  • 9:01 - 9:04
    Je me souviens de mes réunions
    avec les ressources humaines
  • 9:04 - 9:07
    sur comment nous allions agir.
  • 9:07 - 9:11
    Et les RH m'ont dit :
    « Liz, ne t'inquiète pas.
  • 9:11 - 9:14
    C'est notre boulot de gérer ça.
  • 9:14 - 9:18
    On va les rencontrer et leur remettre
    leur lettre de rupture de contrat. »
  • 9:20 - 9:25
    Cette procédure m'a scandalisée,
    j'étais un leader depuis peu après tout.
  • 9:26 - 9:27
    Alors j'ai répondu :
  • 9:27 - 9:33
    « C'est une manière peu humaine,
    lâche et impersonnelle
  • 9:33 - 9:34
    de gérer les salariés
  • 9:34 - 9:38
    qui travaillent pour l'entreprise
    depuis si longtemps. »
  • 9:39 - 9:40
    Je leur ai demandé alors
  • 9:40 - 9:44
    si je pouvais rencontrer chaque salarié
  • 9:44 - 9:46
    et leur expliquer la situation.
  • 9:48 - 9:50
    Les RH ont trouvé cela plutôt bizarre.
  • 9:50 - 9:53
    Ils m'ont dit que c'était
    tout à fait inhabituel
  • 9:55 - 9:59
    mais que je pouvais le faire
    si je pensais pouvoir le faire.
  • 10:01 - 10:04
    Alors, j'ai reçu chaque salarié
  • 10:04 - 10:05
    et je leur ai expliqué le contexte
  • 10:05 - 10:10
    et les raisons de la rationalisation
    et de la consolidation des centres.
  • 10:10 - 10:13
    J'ai aussi parlé des nombreux objectifs
  • 10:13 - 10:15
    et de ce que cela signifiait pour eux.
  • 10:16 - 10:18
    Ce fut très dur.
  • 10:20 - 10:23
    Ce processus m'a fait réfléchir :
  • 10:23 - 10:25
    « Comment puis-je être crédible ?
  • 10:26 - 10:29
    Je suis assise là, avec mes collègues
  • 10:29 - 10:31
    en train de leur dire
    qu'on va les remercier
  • 10:31 - 10:33
    et moi, je reste. »
  • 10:34 - 10:37
    Alors, je suis allée rencontrer
    mon chef et je lui ai dit :
  • 10:37 - 10:43
    « Dès que la transition sera accomplie,
    je quitterai l'entreprise. »
  • 10:45 - 10:49
    C'est cela, diriger avec le cœur,
    selon moi.
  • 10:52 - 10:54
    C'est très important
  • 10:55 - 10:59
    de se mettre dans les souliers
    de la personne en face de vous.
  • 11:01 - 11:06
    En fait, mon boss m'avait dit
    que j'obtiendrais une promotion.
  • 11:06 - 11:09
    Mais j'ai quand même décidé de partir.
  • 11:10 - 11:12
    (Applaudissements)
  • 11:12 - 11:13
    Donc, merci.
  • 11:13 - 11:15
    (Applaudissements)
  • 11:16 - 11:18
    Je souhaite vous parler
  • 11:18 - 11:24
    de comment gérer ce que j'appelle
    la sécurité psychologique.
  • 11:25 - 11:28
    Je vous ai parlé de gestion avec le cœur
  • 11:28 - 11:33
    mais pour faire des expériences,
    il faut prendre certains risques.
  • 11:33 - 11:36
    Il est donc crucial qu'au moment
    de prendre ces risques,
  • 11:36 - 11:40
    on crée un environnement
    de sécurité psychologique.
  • 11:40 - 11:42
    Je fais cela typiquement
  • 11:42 - 11:47
    en permettant à mon équipe
    de me faire des retours
  • 11:48 - 11:51
    car cela contribue à la compréhension
    du point de vue de l'autre.
  • 11:52 - 11:54
    Et cela leur facilite la prise de risque
  • 11:54 - 11:57
    car ils savent qu'ils recevront
    mon soutien.
  • 11:58 - 12:02
    La sécurité psychologique
    est absolument critique.
  • 12:03 - 12:08
    C'est critique de créer un environnement
    qui facilite l'expérimentation
  • 12:08 - 12:11
    et qui vous autorise
    à échouer et à apprendre.
  • 12:14 - 12:17
    Mais les retours peuvent être durs
    à entendre quand on est leader
  • 12:19 - 12:21
    car on pense être fort.
  • 12:23 - 12:24
    Mais être un dirigeant jardinier
  • 12:24 - 12:28
    signifie qu'on est capable
    d'encaisser les retours,
  • 12:29 - 12:32
    et qu'on est capable de changer.
  • 12:33 - 12:37
    Je crois dans la force
    du dirigeant jardinier.
  • 12:38 - 12:41
    J'aimerais vous quitter
    avec quelques idées
  • 12:41 - 12:42
    suite à mon intervention.
  • 12:42 - 12:47
    J'espère avoir pu vous montrer
    comment diriger avec le cœur.
  • 12:48 - 12:50
    Il y trois points
  • 12:50 - 12:52
    mais en choisir un seul suffira.
  • 12:53 - 12:55
    Si vous vous entraînez
    avec un seul, ce sera bien.
  • 12:56 - 12:58
    D'abord,
  • 12:59 - 13:05
    favorisez un environnement
    où on peut tenter des expériences
  • 13:05 - 13:08
    et avoir un esprit empirique.
  • 13:09 - 13:13
    Toutefois, cela signifie
    beaucoup de mauvais départs
  • 13:13 - 13:16
    et beaucoup d'échecs aussi.
  • 13:17 - 13:22
    Mais cultivez et développez
    un esprit empirique.
  • 13:22 - 13:23
    Deuxièmement,
  • 13:24 - 13:27
    créez un environnement
    de sécurité psychologique.
  • 13:27 - 13:32
    Vous serez étonné combien vos équipes
    seront ouvertes, honnêtes et transparentes
  • 13:33 - 13:35
    et partageront des choses avec vous.
  • 13:35 - 13:39
    Enfin, devenez un dirigeant jardinier.
  • 13:39 - 13:45
    Écoutez, montrez de la compassion
    et demandez des retours
  • 13:45 - 13:48
    car ils vous aideront à grandir
    en tant que dirigeant.
  • 13:50 - 13:53
    Je forme le vœu que cela vous aide dans
    votre démarche de diriger avec le cœur.
  • 13:54 - 13:56
    (En français) Merci beaucoup.
  • 13:56 - 13:57
    (Applaudissement)
Title:
Pour un leadership jardinier : comment diriger avec le cœur | Liz Theophille | TEDxSaclay
Description:

Quel doit être le profil des dirigeants actuels dans un contexte de plus en plus concurrentiel ? Quels devraient être les comportements d'un dirigeant confrontés aux nombreux défis d'aujourd'hui alors qu'il doit aussi assurer la performance et garantir des résultats ? Les défis comprennent des réductions budgétaires, des marchés locaux et internationaux de plus en plus concurrentiels, des clients de plus en plus exigeants et un marché qui requiert de plus en plus de qualité et d'agilité dans les produits et les services offerts. On pourrait aussi ajouter à ces défis la difficultés que les salariés peuvent éprouver pour s'adapter à ces changements de plus en plus rapides.

Liz Theophille est dirigeante senior en IT avec une expérience multiculturelle construite dans des multinationales. Elle nous dévoile comment elle dirige avec le cœur et comment elle agit au quotidien pour être un manager jardinier.

Liz a rejoint Novartis en novembre 2016 où elle est CTO et responsable digitale. Elle est responsable de la stratégie technologique, de l'architecture de l'entreprise, des technologies numériques des plateformes, de l'analytique et de la robotique avancées et de l'automatisation cognitive. Elle dirige également le programme de transformation des affaires de Novartis pour générer davantage d'innovation, de croissance et de valeur. Elle a passé de nombreuses années de sa carrière à l'étranger, à New York, en France et en Allemagne. Aujourd'hui, elle vit et travaille en Suisse.

Cette présentation a été donnée lors d'un événement TEDx local utilisant le format des conférences TED mais organisé indépendamment. En savoir plus: http: //ted. com/tedx

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Video Language:
English
Team:
closed TED
Project:
TEDxTalks
Duration:
14:01

French subtitles

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