-
Mais non, mon gars.
Ils ne veulent pas ça.
-
Posez-le là-bas.
-
[Sonnerie des cloches]
-
Tout d'abord, je vais
découper la haie .
-
[Épuisé]
-
Percy :
Hélène ?
-
Hélène !
-
Arrette!
-
Hélène !
-
Martha :
Arrête, Hélène.
-
Pourquoi elle met ses
doigts dans ma bouche ?
-
Parce qu'elle est en colère
avec toi bavardant tout le temps.
-
et elle n'entendre rien du tout.
-
[Gémissements]
-
Si elle ne peut pas nos entendre,
-
alors comment elle sais les
mots qui sortent de ma bouche ?
-
Je pense qu'elle essaie
de parler.
-
Alors, elle est devenu insensée,
-
se mangeant à elle même.
-
Arrête ça, toi.
-
Hélène, arrête !
-
Hélène! Hélène !
-
Martha : Arrête! Oh !
-
Aidez moi! Aidez moi!
-
Hélène est en train de nous tuer !
-
Elle essaye de nous tuer à nouveau !
-
[hurlant un peu étouffé ]
-
Hélène?...
-
Hélène?!
-
Arrête, Hélène.
Arrête!
-
Arrête!
-
OK, OK, donne maman
les ciseaux.
-
Hélène!
-
Hélène, donne maman
les ciseaux..
-
Hélène!
-
OK.
-
OK.
-
C'est, bien.
-
OK
-
Voilà ma jolie fille, hein ?
-
Eh bien, mon père,
-
James:
J'espère que que vous avez préparé ton histoire .
-
Mais quelle histoire ?
-
Celui-la que vous allez raconter,
-
lorsque le petit sauvage
tue quelqu'un.
-
'' Monsieur le juge,
-
J'avais aucune idée que le pauvre
enfant sourde et muette,
-
pourrait être si violente. ''
-
Arthur:
La situation de votre sœur
ne vous regarde pas, James.
-
Je pense qui tu as un événement
dont tu as besoin de t' habiller ?
-
Tante Ev:
Pourquoi j'ai jamais rencontré
-
de vos jeunes amis, James?
-
Comment est-ce que je peux inviter des gens ici?
-
Certainement que tes amis ne pensent pas que Hélène
est un reflet de toi.
-
ne pensent pas que Hélène
est un reflet de toi.
-
Le véritable chef de
cette maison, c'est Hélène.
-
Probablement, qu'elle fait semblant
-
de ne povoir pas parler ou entendre
-
donc, elle n'est pas obligée
à obéir à personne.
-
Votre jalousie de cette indéfendable
enfant est intolérable.
-
Tata.
-
[Se cogne contre la table]
-
Oh, eh bien, nous voilà.
-
Voici ton père
-
et tante Ev.
-
Ha ha.
-
J'ai vu James.
-
J’espère que vous deux ne s'ont
pas querellés pas à nouveau.
-
Arthur:
Non, non.
-
Tante Ev:
Oh, Katie,
-
nous tous aimons Hélène,
-
mais sûrement, vous devez
comprendre les répercursions
-
qu''elle cause chez vous.
-
Pourquoi, James et Arthur
-
à peine peut parler un mot civile,
-
et toute votre attention
est consacré à la jeune fille.
-
Vous avez à peine le temps
-
pour dépenser avec votre nouveau bébé.
-
James a raison.
-
Tante Ev:
Vous et Arthur
-
devriez faire quelque chose--
et bientôt.
-
Que pouvons-nous faire, Evelyne?
-
La seule chose qui reste à faire,
-
est à prendre Hélène
dans un asile,
-
et Kate jamais accepterai ça.
-
Et bien, est-ce qui vous avez essayé...
-
Nous l'avons portée dans
tous les hôpitaux en deux états.
-
Personne nous offre aucun espoir.
-
Tante Ev:
Et le Dr Chisolm,
-
à Baltimore?
-
J'ai lu un article
-
Dans votre propre journal, Arthur…
-
Tante Ev:
On dit qu'il a guéri
-
de nombreux cas de cécité
-
dont d'autres médecins
avaient renoncé le cas.
-
Et, pourquoi ne pas lui écrire?
-
Et de nouveau avoir le
cœur de Kate brisé?
-
Je suis à laise d'avoir
mon cœur brisé
-
n'importe combien de fois, capitaine.
-
Tante Ev:
Je vais lui écrire moi,
-
Si vous êtes d'accord, Katie.
-
Il n'y existe pas
de remède,
-
Arthur:
et au plus tôt nous acceptons
cet état de choses,
-
mieux sera pour nous tous.
-
Jamais j'accepterais ça, capitaine.
-
Kate:
Je ne peux pas.
-
Je vais aller chez l'imprimeur.
-
[Gémissements]
-
Regardez maintenant. Je ne peux
pas tourner le dos un seul moment.
-
Tante Ev:
Arthur, Hélène y sait
beaucoup plus
-
que vous y pensiez à ce qui
se passe dans cette maison.
-
Rien peut être résolu
-
en courant tout le comté
-
à chaque pas un médecin charlatan
-
publie son nom
dans les journaux.
-
Kate, rien ne peut être résolu,
-
aussi en échappant au bureau.
-
Hem.
-
Kate, ma chérie,
-
Qu'est ce qu'on y peut faire?
-
La chose plus pratique que
nous pourrions faire
-
serait de trouver
un sanatorium,
-
dans un bel endroit où elle
pourrait être pris en charge.
-
Non! Non, jamais.
-
Ooh! Elle a arraché
les boutons.
-
Ooh!
-
Kate
C'est les yeux.
-
Elle veut sa poupée--
-
Elle veut que la poupée
aie des yeux.
-
Je suis désolé, Evelyne.
-
Arthur:
Dites-moi ce qu'il vous en coûtera
-
d'avoir les boutons
remplacés , et Je les...
-
Kate:
Je suis au courant de ça.
-
Oh, ça ne me
dérange pas.
-
Il s'agit de deux boutons; pas d'importance;
-
si ça fait plaisir à Hélène?
-
Je vais les coudre
si vous voulez.
-
C'est ça ce que vous
essayez de faire?
-
Assurer le bonheur d'Hélène?
-
James
Rien ne lui fait plaisir.
-
Tout ce que vous lui donnez,
contribuât à aggraver les choses.
-
Arthur:
Elle peut avoir ces petites choses
-
que lui font plaisir.
-
Oh, Hélène!
-
Tante Ev:
Le bébé!
-
[Pleurant]
-
Hélène!...
-
Écoutez, vous ne pouvez pas
faire des choses comme ça, OK?
-
James Pourquoi pas ? Elle peut
avoir des petites choses
-
que lui font plaisir.
-
Si vous ne la renvoyez
pas ailleurs,
-
alors nous devons trouver
un moyen de la dominer.
-
Quoi, vous voulez l
'enfermer dans le grenier,
-
comme une sorte de folle?
-
Elle veut parler.
-
[Fracas de Plats]
-
Unh!
-
Hélène, viens ici
-
ça vas.
-
Aah!
-
ça vas.
Regarde, je le sais.
-
Très bien.
-
Je vais écrire au
docteur Chisolm.
-
Dr Anagnos:
Le Dr Chisolm n'a pu rien faire pour la petite
-
et l"a renvoyée au
Dr Alexander Graham Bell.
-
Comme la petite est jeune,
-
et les parents ne veulent
pas l'envoyer chez nous,
-
Je vous ai nommé
-
pour le rôle de
gouvernante.
-
[Accent irlandais]
Gouvernante?
-
Ou nourrice.
-
Nous deux savions que vous souhaitez
vous débarrasser de moi un de ces jours.
-
Dr Anagnos: Vous avez
accompli tellement ici.
-
Mais quand vous êtes
arrivée chez nous,
-
vous pourriez même pas
épeler votre nom.
-
Vos yeux, sont-ils encore si
douloureux?
-
Non, mes oreilles, monsieur.
-
Parlez-moi de l'enfant.
-
Est-elle intelligente ...
-
ou pas?
-
[soupirs]
-
Peut-elle être enseignée?
-
Elle est attaquée par des
crises de colère, disent-ils.
-
Moi aussi.
-
Peut-être que vous devriez
avertir les Kellers sur moi.
-
je l'ai raconté rien
de votre passé,
-
sauf de vos qualifications
pour le travail.
-
Voici l'argent
-
pour votre billet de train.
-
Et voilà, c'est un cadeau
de nous tous,
-
Dr Anagnos:
Avec notre affection.
-
Vous allez nos manquer.
-
Dr Anagnos:
C'est ma dernière opportunité
-
pour vous conseiller, Annie
-
Vous manquez de tact,
-
Dr Anagnos: et le talent
de se conformer à d'autres.
-
Vous êtes difficile à être dupée
et plus difficile à satisfaire,
-
mais tout de même, nous
sommes fiers de vous.
-
Nous sommes partis à
la rencontre du train de nouveau.
-
Eh bien, Je espère que la
jeune fille voyage sur celui-ci.
-
Oh, elle y sera.
-
Eh bien, nous vous verrons
au souper, alors.
-
Woahh!...
-
Votre mère ne est pas là, mon enfant.
-
Mais moi, je suis ici.
-
Je suis ton père.
-
Je suis ton père....
-
D'habitude je vous balançais dans l'air,
-
et vous n'aviez pas
quand même 2 ans.
-
Je me demande si vous
vous souvenez de tout cela ...
-
ou de quelqu'un de nous.
-
Te voilà.
-
Tiens, un bonbon
pour toi.
-
Mm-hmm….
-
Tu veux ta maman, n’est-ce
pas ma petite?
-
Capitaine Keller, n’aimerait
pas s‘il l'a vu cela,
-
mais Un petit bonbon
va faire mal?
-
Attention à la marche, monsieur.
-
Madame.
-
[Coup de Sifflet du Train]
-
L’homme :
Ne vous inquiétez pas, monsieur.
-
Un Cheval que hennit]
-
Mlle Sullivan?
-Oui.
-
Je suis James Keller.
-
J’avais un frère, appelé Jimmy.
-
Êtes-vous ...
-
le demi-frère d’ Hélène
Avez-vous une valise?
-
Oui.
-
Henry, Percy.
-
Kate :
Mlle Sullivan.
-
Je suis tellement soulagé.
On commençait
-
à s’inquiéter un peu
pour vous.
-
L'homme qui m'a vendu
ces billet s.
-
devrait être ligoté
aux rails.
-
Je suis Katherine Keller.
La mère d'Hélène.
-
Vous n’avez pas Hélène avec vous.
-
J’espérais qu’elle serait venue.
-
Eh bien, en fait son père voulait
passer l'après-midi avec elle.
-
Ils aiment passer un
bon moment ensemble.
-
Kate, vous devriez avoir honte.
-
Mlle Sullivan, vous y trouverez que dans le sud
-
nous inventons ces
petites histoires,
-
juste pour les gens s’amuser.
-
J’espère que ça ne vous dérange pas.
-
[Des Cloches qui Sonne]
-
[Des Coup de sifflet du train]
-
Kate :
Comment un enfant aveugle
et sourd peut apprendre,
-
Mlle Sullivan?
-
Je ne sais pas.
-
Est-ce qu'elle arrive à communiquer
avec vous, du tout?
-
Oh, eh bien, je sais toujours
ce qu'elle veut
-
si c’est ce que vous me demandez.
-
Non, vous ne savez pas.
-
Tout le monde sait
-
que si vous donnez Hélène un bonbon,
-
elle sera tranquille pour quelque temps.
-
Pouvez-vous lui faire apprendre à
rester assise, Mlle Sullivan?
-
Je dois l’enseigner le Langage
en premier.
-
Un langage ?
-
Si elle ne sait pas les mots,
-
comment fait-elle pour déchiffrer
que voulez qu’elle soit assise tranquilement?
-
Mlle Sullivan, peut-être que vous
avez été induite en erreur
-
à l'état de Helen.
-
Elle ne peut ni voir
ni entendre.
-
Mais s’il s’agit de la
perturbation de ses sens
-
et non son esprit,
-
elle doit avoir un langage.
-
Le langage est plus
important pour l'esprit
-
que la lumière est à l'œil.
-
Mais comment allez-vous
lui enseigner,
-
si vous ne pouvez pas lui parler?
-
De toute façon possible.
-
Kate
Nous allons faire
-
le mieux possible
pour vous aider.
-
Je ne veux pas que vous pensiez à nous
-
comme des gens bizarres, Mlle Annie.
-
Annie :
Des gens bizarres ne sont pas
si bizarres `a mon avis.
-
Je les ai eus autour de moi
toute ma vie.
-
James :
Attention à la marche.
-
Bienvenue à ‘’Ivy Green’’,
Mlle Sullivan.
-
J’espère que vous avez
fait un bon voyage.
-
Annie:
J’y ai eu plusieurs. Merci.
-
Où est Hélène?
-
Oh, Mlle Annie?
-
Vous avez la chambre
au coin à l'étage.
-
Regardez, se il ya une brise
de quelque sort cet été,
-
vous allez le noter.
-
Je porte moi même ma valise, merci.
-
Je l’ai, Mlle Sullivan.
-
Non, se il vous plaît,
laissez-moi la porter.
-
Pas de problème pour moi.
-
J’y porte quelque
chose pour Hélène.
-
Pas besoin de me traiter
comme une invitée.
-
Alors, quand peut-je voir l Hélène?
-
Eh bien, elle est là.
-
Kate
C’est Hélène.
-
Unh!
-
[Des Gifles Partout]
-
[Respiration Lourde; Halètements]
-
Unh!
-
Unh!
-
Unh!
-
Elle semble très grossière, Kate.
-
Pourquoi n’a-t-elle pas
retiré ses lunettes?
-
Eh bien, l'institut dit,
-
que la lumière fait mal aux yeux.
-
Apparemment, à l’âge d’ enfant, elle
était presque aveugle.
-
Aveugle ?
-
Eh bien, elle a eu (9)
neuve opérations aux yeux.
-
Et ils s’attendent à une personne
aveugle pour enseigner une autre?
-
Combien de temps est-elle
employée dans cette école?
-
Eh bien, elle - elle n’était
pas employée à l’école.
-
Elle était l'un de leurs
meilleurs étudiants.
-
Étudiante ?
-
James :
Maintenant, vous avez deux filles aveugles
-
pour prendre soin, mon père.
-
Ne t’en mêle pas,
-
James…
-
Pourquoi êtes-vous si
méchant pour Hélène?
-
Pourquoi ? Pour confirmer l’opinion
de mon père sur moi, bien sûr.
-
Ceux sont les miens.
-
Oui, oui.
-
Très bien, alors, Hélène.
-
'' Doll '',
sera votre premier mot.
-
Aussi bon, que n’importe quel autre.
-
'' D ... ''
-
'' O ... ''
-
'' L ... ''
-
'' L. ''
-
Doll
-
Doll
-
Elle a un nom.
-
'' D ... ''
-
'' O ... ''
-
Annie '' L ... ''
-
James
Merci, Henry.
-
Merci, Percy.
-
Donc, c’est quoi ça?
-
Une sorte de jeu?
-
Il s’agit d’un alphabet
pour les sourds.
-
Chaque lettre a un signe.
-
'' D ... ''
-
'' O ... ''
-
'' L ... ''
-
'' L ... ''
-
Doll.
-
Tout D'abord, elle va
apprendre à l’imiter.
-
'' D,’’ ‘’ O...''
-
Ah!
-
James :
Oh, elle peut imiter
les choses, c’est vrai -
-
comme un petit singe commun.
-
Un petit singe intelligent.
-
MMM…
-
'' D. ''
-
James:
Je crois qu'elle veut
récupérer sa poupée.
-
Elle peut la récupérer
quand elle saura l’épeler.
-
Elle n'a aucune idée de
quoi s’agissent les mots.
-
Comment peut-elle les épeler?
-
Si ses doigts arrive à discerner
les lettres maintenant,
-
alors peut-être un jour
-
son cerveau reconnaîtra qu'
ils ont quelque signification.
-
Avez-vous crié
cet alphabet?
-
Moi ? Non.
-
Les moines espagnols sous un vœu de silence,
-
M. James, qui je souhaite
vous prendriez.
-
[Gémissements par Hélène]
-
[Soupirs]
-
[Nez Qui Coule]
-
'' C ... ''
-
'' A ... ''
-
'' K ... ''
-
'' E. ''
-
Cake ( gâteau)
-
'' C ... ''
-
'' A ... ''
-
'' K ... ''
-
'' E. ''
-
Annie :
Très bien.
-
Très bien.
-
'' D ... ''
-
'' O ... ''
-
'' L ... ''
-
'' L. ''
-
Euh!
-
Mm mm mm.
-
Euh!
-
[Soupirs]
-
'' D ... ''
-
'' O ... ''
-
'' L ... ''
-
'' L ... ''
-
Très bien, Hélène.
-
Très bien.
-
Une bonne première leçon.
-
Très bien fait.
Très bien fait.
-
Ooh! Ooh!
-
[Essaie la porte]
-
Hélène!
-
Annie :
Laissez-moi sortir, toi fille.méchante
-
Hélène ?!
-
Ooh!
-
Unh.
-
[Elle crache]
-
Ooh! Et Je me demandais
si elle était intelligente.
-
Elle est la plus intelligente
dans cette maison.
-
Où est Mlle Annie?
-
Elle est dans sa chambre.
-
Quelqu’un peux l
'appeler à souper?
-
Arthur:
James, allez à l'étage et
apportez la en bas.
-
Certainement. Je vais
chercher l'échelle.
-
Quoi ?
-
J’ais besoin d'une échelle.
ça ne faudra pas longtemps.
-
Vous parlez de quoi?
-
Eh bien, Hélène la renfermée
dans sa chambre
-
et s’est enfuit avec la clé.
-
[Soupirs]
-
Et j’imagine que
vous allez rester là
-
et ne rien dire.
-
Vous m’avez dit que ce n’était
pas de mes affaires, Père.
-
J’essayais juste de respecter
vos souhaits.
-
Mlle Sullivan, êtes-vous
là-dedans?
-
Oui, monsieur, Je suis ici.
-
Est-ce qu’il y a une
clé de votre côté?
-
[À Voix Bas]
Nom d’un chien.
-
Non monsieur.
Il n’y a pas de clé, monsieur.
-
Remettez cette échelle, Jimmy.
-
Comme vous souhaitez, mon père.
-
Kate:
Capitaine, nous ne pouvons pas
conserver Mlle Annie enfermé
-
jusqu'à ce qu'on trouve la clé.
-
James,
-
apportez l'échelle de nouveau.
-
Comme vous souhaitez, mon père.
-
Je l'ai embauchée pour
résoudre les problèmes,
-
et non pas les créer.
-
Arthur:
Tenez-la, Jimmy.
-
Merci, Percy.
-
Mlle. Sullivan!
-
Oui, Capitaine Keller?
-
J’espère que ce n’est pas un exemple
-
de ce qu’on peut s’attendre de vous.
-
Arthur:
Sortez et assoyez-vous sur mon épaule.
-
Je suis parfaitement capable
-
de descendre une échelle,
par moi-même.
-
Faites comme je vous dis, Mlle Sullivan.
-
Ooh!
-
[Le Rire parvenu des Spectateurs]
-
Très chevaleresque de vous.
-
Il ne s’agit pas de la chevalerie.
C’est pratique.
-
Vous ne nous servez à rien
renfermé dans cette pièce.
-
Une Femme
Ooh.
-
[Applaudissements]
-
Pas dans la maison pendant 10 minutes.
-
Honnêtement, Je ne comprends pas
comment vous arrivez à faire ça.
-
[Soupirs]
-
Je vais chercher la clé, monsieur.
-
Merci. Évitez à ne pas regarder
dans toutes les pièces
-
qui peut être fermée á la clé.
-
Attention tout le monde,
de la calme maintenant.
-
Je ferais mieux de l
aisser l'é-c-h-e-l-l-e.
-
[Des Rires]
-
Oh, vous petit diable.
-
Si vous pensez que vous pouvez vous
débarrasser de moi si facilement,
-
vous avez tort.
-
J’y n’ai rien de mieux à faire
-
et nulle part où y aller.
-
Annie
Que je sache,
-
personne dans cette maison
-
a déjà essayé de contrôler
la jeune fille,
-
but....
-
comment peut-je la punir
-
sans briser son esprit?
-
Mais…
-
si elle ne va pas m’obéir ...
-
Ooh!
-
Ooh!
-
Tsk.
-
lnk.
-
Il a un nom.
-
‘’PEN’’ (stylo)
-
‘’PEN’’)
-
Euh!
-
[Des Gémissements]
-
Non, Hélène.
-
[Soupires]
-
Annie. Ooh!..
-
Méchante !
-
Méchante fille !
-
Kate :
Non ne vous dérangez
pas, Mlle Annie. C'est --
-
Ce n’est pas la première.
-
Non, Hélène.
-
Le Capitaine pense
qu’épeler tout ce
-
qu’Hélène fait,
-
c’est comme l’épeler a
un poteau de clôture.
-
Vous parlez au bébé, n’est-ce pas?
-
Est-ce qu’il comprend ce
que vous voulez dire?
-
Pas encore, mais il le
fera un jour,
-
S’il y entend assez de mots.
-
Je fais de façon qu’Hélène
puisse entendre les mots.
-
Ça va prendre combien de temps ?
-
Un million de mots, peut-être.
-
Annie :
Pen (stylo)
-
Avez-vous vu ça?
-
Annie:
J’ai épelé '' stylo. ''
-
Elle a épelé '' gâteau. ''
-
Elle veut confirmer si
je peux voir la différence.
-
Il n'y a rien de déficient
dans cette tête, Mme Keller.
-
Hélène est intelligente ...
et en colère.
-
Je peux utiliser ça.
-
Pouvez-vous m’enseigner
ces lettres?
-
Je vais commencer demain.
-
Si chacun de nous deux
épelons pour elle,
-
ça ferais seulement environ
un demi-million de mots.
-
[Des Rires]
-
OW
-
Hélène !
-
Hélène:
Euh!
-
Hélène.
-
[Voix des Gémissements]
-
[Arrêts ses Gémissements]
-
Pourquoi a t- elle obtenu une
récompense pour me poignarder?
-
Je - Je ne sais pas.
-
Je- Je suis désolée.
-
[Des chants du coc]
-
James :
Mlle Sullivan,,
-
le petit déjeuner, est prêt.
-
Dois-je apporter l'échelle?
-
Ça suffit, Jimmy.
-
Oh, bonjour,
Mlle Annie.
-
Bonjour.
-
Salut.
-
J’espère que vous vous sentez
confortablement chez nous, Mlle Sullivan.
-
Merci, Capitaine. Oui, Je suis.
-
Arthur:
S’il vous plaît, aidez-vous.
-
Mlle Annie ; si jamais il ya quelque
chose dont vous avez besoin,
-
laissez-nous savoir, s’il vous plaît.
-
Les prix du tabac sont en
hausse, mon père.
-
Nous devrions gagner un bon bénéfice
cette année pour changer les choses.
-
Arthur:
Avant un homme
-
pouvait gagner sa vie en
exploitant une ferme.
-
James
Eh bien, peut-être si vous quittez
-
votre journal si favori
-
et venez me montrer
comment gérer l’entreprise,
-
nous pourrions
faire de l'argent.
-
Arthur:
Pas en présence
de Mlle. Sullivan.
-
Pourquoi pas en
présence de Mlle. Sullivan?
-
Kate :
Mlle Annie,
-
Hélène est habituée à
manger
-
de nos assiettes.
-
Désolée mais moi j'y ne suis pas habituée.
-
Arthur:
Non, bien entendu.
-
Viney, s’il vous plaît apportez
Mlle Sullivan un autre assiette.
-
Il n'y a rien de mal avec mon assiette, Capitaine,
-
mais seulement que les mains de Hélène
n’y appartiennent pas.
-
Ce n’est pas la peine de gâcher
notre petit déjeuner à cause d’un assiette.
-
Kate :
Vous voyez, elle va tout simplement
continuer à essayer
-
jusqu'à ce qu'elle obtienne satisfaction.
-
Arthur:
Je demande que vous
laissiez la petite seule.
-
Unh!
-
Arthur:
Merci.
-
Unh!
-
[Coup de Pied]
- Oh!
-
[Voix/Son de Gémissements]
-
Oh, regardez, maintenant
elle s’est heurtée.
-
Non, elle n'est pas heurtée. J’y reconnais la
entre un enfant enragé
-
et un enfant pourri- gâté.
-
Mlle Sullivan.
-
Se il vous plaît, montrez compassion.
-
Pour ce genre de comportement?
-
Annie
Dommage puisque est la seule
chose qu'elle n'a pas besoin.
-
Tous à la maison attend
à ses caprices.
-
Bravo. Bravo.
- Ne vous mêlez pas.
-
De laisser Hélène faire qu’a sa tête --
-
c’est vraiment demander
si peu à demander.
-
Si peu? Il me semble que vous avez tous décidé
-
qu'il est plus facile d’apitoyer Hélène
-
que de lui démontrer
comment se comporter.
-
Eh bien, je n'ai pas pu constater
-
que vous lui ayez appris
quelque que soit, Mlle Sullivan.
-
Tout à fait vous avez raison, Capitaine.
Une bonne observation.
-
Je vais commencer dès maintenant,
si vous quittez la salle.
-
Quitter la salle ?!
-
Annie :
Oui.
-
S’il vous plaît, Capitaine.
-
À l'heure actuelle, si vous
plait de quittez la salle.
-
Mlle Sullivan--
-
Si vous ne pouvez pas résister
à une crise de colère,
-
Je ne peux pas lui enseigner quoi que ce soit.
-
Unh!
-
Mme Keller,
-
vous m’avez demandé s’il y
avait quelque chose dont j’ai besoin.
-
Oui, mais moi--
-
J’en ai besoin de rester seule
avec Hélène.
-
[Des Voix, des Gémissements]
-
Annie :
Dés maintenant
-
Mlle Sullivan--
-
Kate
Capitaine
-
Kate :
James
-
Capitaine, peux-je vous
parler dehors?
-
Donnez-nous un moment, s’il vous plaît.
-
OH
-
[Hélène continue avec les gémissements]
-
C’est absurde.
-
Arthur, Je suis sûr
qu'elle essaie seulement
-
à faire ce qui est de mieux.
-
Je ne vais pas tolérer que ma maison
soit transformée en un spectacle.
-
[Gémissements]
-
Sauf s’il ya un changement
de comportement,
-
Mlle Sullivan, doit être licenciée.
-
Arthur, Ensuite quel espoir
avons-nous pour Hélène?
-
Pas moins de ce que
nous avions avant,
-
et alors peut-être nous pouvons
retrouver un peu de calme.
-
[Hélène qui gémisse]
-
[Hélène Tapotant le sol]
-
OW
-
OW
-
chut, chut.
-
Ooh!
-
[Des Cris/ Pleur]
-
Chut, chut, chut.
-
[Voix des gémissements]
-
[La Poignée de la Porte est Agité]
-
[Soupirs]
-
Hélène
-
[Hélène frappant à la porte]
-
Mon Dieu.
-
[Les Deux Respirant avec Difficulté]
-
[Hélène Donne des Coups sur la Table]
-
[Gémissements]
-
[Cuillère qui claque]
-
[Cuillère qui claque]
-
[Cuillère qui claque]
-
[Voix des Gémissements]
-
[Arrête les Gémissements]
-
[Gémissements]
-
[Cuillère qui claque]
-
[Cuillère qui claque]
-
AHH
-
Bien.
-
[Soupirs]
-
AHH
-
[Cloche de l’Église qui sonne]
-
Vous voulez que je fasse
quoi, Mlle Kate?
-
C’est midi,
-
et la vaisselle du petit déjeuner
n’a pas été dégagée.
-
[Des Objets qui sonnent]
-
[Une Porte que se Ferme]
-
[Pleurerant]
- Tais-toi, maintenant.
-
Allons donc !
-
Viney:
chut, chut.
-
[Douce Gémissant]
-
Hélène ...
-
a mangé, de son propre assiette
-
avec une cuillère...
-
toute seule, Annie
-
et elle plia sa serviette.
-
La sale est détruite,
-
mais elle plia sa serviette
-
Je serai dans ma chambre, Mme Keller.
-
Viney:
Chut, chut.
-
Oh, Hélène!
-
Viney:
Ne soyez pas en retard, Mlle Annie.
-
Déjeuner va être prêt
tout de suite.
-
Mm-hmm.
-
Ma Hélène plia la serviette.
-
Qu'est-ce que vous lisez?
-
[Annie Soupirs]
-
Le récit du Dr Howe, r
-
elative à son patient Laura Bridgman.
-
Elle était sourde, aveugle et muet
-
dès l'âge de deux ans.
-
A -t--il réussi avec elle?
-
Si, il a réussi.
-
Il est alors possible.
-
Annie :
Avec de la patience, j’imagine --
-
quelque chose qu'ils ne m'on pas
donné un certificat chez Perkins.
-
Kate :
Après la leçon de ce matin ...
-
le Capitaine veut que je
vous met à la porte,
-
mais je vais insister pour
que vous restiez.
-
Merci.
-
Où se trouve votre famille,
Mlle Annie?
-
Mon frère, Jimmie, fut mon
dernier dans ma vie.
-
Il est mort il y a 12 ans.
-
Je suis désolée. Je--
-
J’ai essayé de le protéger.
-
J’ai échoué.
-
ll est inutile d'essayer de protéger
-
ou de parler pour les autres gens.
-
Pas vraiment.
-
Le seul espoir
-
est de leur apprendre à le
faire pour eux-mêmes.
-
Annie :
C’est ce que J’essaie de
faire avec Hélène.
-
Ce que vous exigez d'elle aujourd’hui,
-
sera tout ce qu'elle réussira a être.
-
La marche
-
Unh!
-
[Soupirs]
-
Capitaine
-
Et comme si ce qui est arrivé
ce matin n’était pas assez,
-
Hélène ne peut pas la
supporter d'être près d'elle.
-
Les choses deviennent pire encore,
-
et je veux que tu lui
donnes un préavis.
-
Non ;
-
[Soupirs]
-
Eh bien, si tu ne veux
pas, Je le ferais.
-
Annie :
Bonsoir, Capitaine, Mme Keller.
-
Uh...
-
Mlle Sullivan ...
-
Je constate que je ne suis pas satisfait avec cet--
-
Je veux dire, cet arrangement-
-
Arthur:
Pouvez-vous enlever vos lunettes, s’il vous plaît?
-
J’y trouve très difficile de parler
avec vous, quand vous les portez.
-
Annie :
Si ; bien sur.
-
Si vous avez besoin, gardez-les.
-
Alors, Mlle Sullivan--
-
Annie :
Capitaine, s’il vous plaît dites-moi ; la petite maison
-
dans le bosquet d'arbres est-elle
utilisée pour quelque raison?
-
La maison du jardin?
-
Arthur:
C’est ce dont je parlais.
-
Mlle Sullivan, si vous vous attendez à rester ici, il
-
faut y avoir un changement
dans votre comportement.
-
Arthur:
Et vous devriez me convaincre,
-
qu'il ya le moindre espoir d'enseigner à un enfant
-
qui s’enfuit de vous,
comme de la peste.
-
Vous pourriez montrer une
certaine compassion.
-
Vous avez absolument raison,
Capitaine.
-
Il n'y existe pas la
moindre possibilité
-
d'enseigner à un
enfant qui s’enfuit de moi.
-
Il sera en vain d’ici, et le plus tôt
nous nous rendons compte de ça,
-
le plus tôt nous pouvons a
rriver à une solution.
-
ll ne sera pas en vain!
-
Hélène pouvait parler dés le moment
où elle était âgée de 10 mois.
-
Avant cette maladie,
-
elle était un si bon enfant.
-
Si, elle était un enfant
extraordinaire.
-
Je crois ça,
-
mais elle n’est pas
l'enfant d’autrefois.
-
J’ai vu des animaux qui se
comportent mieux qu'elle
-
et, votre pitié envers
elle c’est la cause.
-
Vous disiez!?
-
Je crains que votre
amour pour Hélène, .
-
soit pour elle un plus grand handicap,
-
que sa cécité ou la surdité.
-
Annie, avant votre arrivée,
-
nous avons parlé de mettre
Hélène dans un asile
-
Ne l’abandonnez pas,, s’il vous plaît.
-
C’est évident que Mlle Sullivan
pense que c’est sans espoir.
-
chez vous!
Il est sans espoir ici!
-
Je ne fais que commencer!
-
[soupirs]
-
Laissez-moi vous montrer, S’il vous plaît.
-
Suivez-moi, je vous en prie.
-
[Des Sons des Grenouilles]
-
Je ne vois pas quel
rapport ça peut avoir.
-
Capitaine :
C'est ridicule.
-
Je crois que je peux faire
des progrès avec Hélène,
-
Si je suis entièrement
responsable d’elle.
-
Mais vous avez déjà
cette responsabilité.
-
Annie
Non ; je veux dire
jour et nuit.
-
Elle doit compter complètement sur moi.
-
Pour quoi?
-
Pour n’importe quoi!
En relation a la nourriture,
-
ses vêtements, le temps de
recréation, ses bonbons.
-
Toutes ces choses la sont des outils
-
Annie:
que je peux utiliser pour la convaincre.
-
Et comment proposez-vous de le faire
-
quand elle s’enfuit de vous?
-
Pas d'espérance s’elle peut
s’échapper chez vous.
-
Annie:
C’est pourquoi j’y dois
vivre avec elle ailleurs.
-
Annie
Vous pouvez apporter Hélène ici
-
après un long trajet en voiture.
-
Elle ne saura pas où elle est,
-
Annie
et vous pouvez venir la voir tous les jours,
-
à condition qu'elle ne sait pas
que vous êtes ici.
-
Combien de temps voulez-vous la garder?
-
Annie : Aussi longtemps qu’il faudra.
-
Je sais que c’est le seul moyen!
-
Et, Capitaine, je ne peux pas
être impolie vers vous,
-
si vous n'êtes pas là pour
interférer avec moi.
-
Si je comprendre bien,
que si je dis non à cela,
-
vous abandonnerez
votre post pour un asile?
-
Un asile ce n’est pas le lieu
pour Hélène, Capitaine.
-
Croyez-moi, je le sais.
-
J’ai grandi dans un asile -
-
dans un hospice de l'état
-
où mon frère et moi -- jusqu'à
le même lui a enlevé la vie.
-
Notre salle de récréation était la morgue,
-
où les gens gardaient les corps jusqu'au
temps qu'ils puissent creuser les tombes.
-
Annie
Ça me rendait plus courageuse,
-
mais Hélène,
elle est déjà assez forte.
-
S’il vous plaît, donnez-moi l’opportunité.
-
Donnez-lui l’opportunité
de se sauver.
-
Mlle Sullivan, vous aimez cet enfant?
-
Est-ce que vous même l’aimez?
-
Capitaine,.
-
avec votre permission
-
Je vais vous donner 2 semaines.
-
Arthur:
Vous avez 2 semaines
-
pour convaincre l'enfant
de vous accepter.
-
Kate:
Percy pourrait rester ici.
-
Il pourrait faire des courses pour vous aider.
-
Deux semaines n'est pas suffisant.
-
2 semaines c'est tout que je vous offre.
-
Je les accepte.
-
[Les Pigeons qui roucoulent]
-
Où voulez vous que je porte
votre valise, Mlle Sullivan?
-
Oh, ça va; n'importe où.
-
Comment comptez-vous de la
changer dans cet endroit?
-
James:
Vous prévoyez de l'attacher à la chaise?
-
Comment ça se fait-il que vous n'avez
pas de compassion pour Hélène?
-
Démontrer de la compassion pour
quelqu'un, c'est un gaspillage d'énergie.
-
S'apitoyer sur nous-
mêmes est encore pire.
-
Eh bien, J'espère que vous
allez gagner, Mlle Sullivan
-
Unh!
-
Kate: Eh bien, nous avons voyagé le
pays pendant deux heures.
-
Tout ce qu'elle connait, est qu'elle pourrait
être dans une autre ville.
-
Apportez-la à l'intérieur, s'il vous plaît.
-
Oh, elle me veut!
-
Elle peut vous avoir de
retour dans deux semaines.
-
Mlle Annie, prenez soin
d'elle, s'il vous plaît.
-
Je vous promis.
-
[Hélène Gémit]
-
Aah!
Chut, chut, chut.
-
Chut, chut.
-
Unh!
Oh.
-
[Voix et des Gémissements]
-
Oh.
-
[Hélène Pleurant]
-
[ Des Gémissements]
-
Annie:
Percy!
-
Réveille toi.
J'en ai besoin de toi.
-
Ooh!
-
[ Des Gémissements]
-
Essayez de nouveau.
-
Essayez de nouveau.
-
[ Des Gémissements]
-
[Des Pleures]
-
Bon.
-
Laisse moi.
-
Elle va me pincer.
-
Je crois qu'elle essaie de parler.
-
Elle peut parler, mais elle
doit se servir de ses mains.
-
Donne. Laisse moi te montrer.
-
Aah!
-
Elle est en fâchée avec moi,
cependant elle ne veut pas jouer,
-
mais elle y connait beaucoup de lettres.
-
''C...''
-
''A...''
-
''K...''
-
''E.''
-
Annie: Cake. (gâteau)
-
"C..."
-
''A...''
-
''K...''
-
''E.''
-
[ Des Gémissements]
-
Elle épele gâteau, elle
obtient du gâteau.
-
Elle ne sait pas encore
ce que ce mot signifie ...
mais elle le fera.
-
mais elle le fera.
-
Percy.
-
Nous n'avons pas besoin d'elle.
-
Voudriez-vous apprendre
une qui elle ne sait pas?
-
Annie:
'' M '' c'est facile.
-
'' L '' est encore plus facile--
-
Juste le petit doigt en haut.
-
Annie: ''L.''
-
'' K.''
-
Pourquoi devrais-je vous parler?
-
J'enseigne à Percy.
-
M-I-L-K- (L-A-l-T-).
-
Non.
-
J'enseigne à Percy.
-
Ooh, vous êtes jaloux.
-
[ Des Gémissements]
-
''M...''
-
''I...''
-
''L...''
-
''K.''
-
[soupirs]
-
Annie: Au moins, je suis au
point où je peut vous toucher.
-
Vous pouvez
retourner au lit, Percy.
-
Merci.
-
[soupirs]
-
Je n'ai jamais pensé que
la vie pourrait être si calme.
-
Elle me manque, aussi.
-
"Chut, petit bébé"
-
# Pas un seul mot #
-
# Maman vous achèteras
un oiseau ''moqueur'' #
-
# Si cet oiseau ''moqueur''
ne va pas chanter #
-
# Maman vous achètera
une bague en diamant #
-
Jimmie:
Annie:
-
Je ne peux pas dormir, Annie.
-
Il y a des rats dans ma chambre.
-
Ne pouvons-nous pas vivre ailleurs?
-
Nous n'avons nulle
part ailleurs, Jimmie.
-
S'il vous plaît, peux-je dormir dans votre lit ?
-
Juste pour ce soir.
-
[Un Bébé qui Pleure]
-
"Chut, petit bébé"
-
# Pas un seul mot #
-
# Maman vous achèteras un oiseau ''moqueur'' #
-
#Un oiseau moqueur #
-
Annie:
# Et si cet oiseau moqueur #
-
# Ne va pas chanter #
-
# Maman vous achèteras '' #
Une bague en diamant #
-
[Pleure]
-
Fleur.
-
Feuille
-
L’eau.
-
Non.
-
pas '' pomme. ''
-
L’eau.
-
[soupirs]
-
Pourquoi est-ce si difficile à comprendre?
-
Nous étions sur le point
de prendre le déjeuner.
-
Comment est-elle, Mlle Annie?
-
Très bien
-
Annie:
Je lui a appris ce point de couture, hier.
-
Maintenant je n
arrive pas a la faire arrêter.
-
Elle est si calme dan
s la maison, sans elle ici.
-
Kate:
Eh bien, surtout
quand le capitaine et James
-
ne se chamaillent pas.
-
J'ai remarqué qu'ils ne
se entendent pas.
-
Oh, eh bien, ils s'entendaient
-
quand la mère de James était vivante.
-
Kate:
Mais Hélène est née,
-
et, enfin, elle prend beaucoup
de notre attention.
-
[Pleure]
-
Soupe
-
Annie:
Ooh,Ooh, une telle dame.
-
Elle préfère mourir de faim que
de manger sans une cuillère.
-
Vous l'avez enseigné trop
-
dans une semaine et demie.
-
Annie:
ça ne suffit pas.
-
L'obéissance n'est pas suffisant.
-
Elle connait tant de mots.
-
Mais si elle savait aussi
ce qu'ils veulent dire.
-
Kate:
Et comment va-elle apprendre?
De la même façon dont un oiseau apprend à utiliser ses ailes.
-
De la même façon dont un oiseau
apprend à utiliser ses ailes.
-
le moment doit venir.
-
Mais comme, Mlle Annie?
-
l...
-
(J'ai) besoin ...
-
(de) plus...
-
Temps
-
Seule avec elle?
-
Annie:
Si.
-
Pourquoi pas ?
-
Parce que je ne ne peux pas-- Je -
-
Annie:
Épelle-le.
-
Si elle réussit à apprendre,
-
vous seriez la première personne a
-
qui elle va
vouloir parler.
-
Annie:
Elle...
-
a besoin...
-
de moi.
-
Elle a besoin de moi, aussi.
-
Non.
-
Vous avez trois jours, Annie.
-
C'est tout ce que vous reste.
-
E-G-G. (Un œuf)
-
E-G-G . (Un œuf)
-
Le mot est la chose.
-
Il a un nom.
-
[ L’œuf est fissuré]
-
[Halètements]
-
[sifflement des oiseaux]
-
Oiseau.
-
L'oiseau sort de
sa coquille, Hélène.
-
Toi - Toi sors, aussi.
-
[Annie et les halètements]
-
Annie:
Ooh!
-
Eh bien, François,
-
Je crois que nous avons
réussi à obtenir quelque chose.
-
[Un Cheval que Hennit]
-
James:
Mon Père?
-
Bonjour, Francis.
Capitaine
-
Capitaine.
-
J'ai décide venir
pour jeter un coup d’œil.
-
Nous avions une idée l'année
dernière et je ai essayé quelque
-
chose, et il semble que
22 pouces entre les plantes,
-
nous offre environ deux
fois le rendement.
-
Deux fois le rendement?
-
Francis:
Nous avons eu la moisissure bleue
-
très mauvaise l'année dernière, monsieur.
-
Nous pensons que ça prend place
pendant l'hiver dans les racines,
-
de sorte que nous allons essayer
-
d'éradiquer toutes les racines et les
tiges du sol
-
, après la récolte.
-
Eh bien, avec les racines disparues,
-
si nous obtenons une pluie forte,
nous risquons de perdre
-
une bonne couche de terre végétale.
-
Eh bien, je pensait
le même, moi.
-
Nous allons planter de
l'herbe faible pour l'hiver.
-
Essayez de l'obtenir,
je vous en prie?
-
Avez-vous besoin de quelque chose, mon père?
-
Je crois que je l'ai trouvé, Jimmy.
-
Je vous prie de m'excuser.
-
Le Cheval
-
Cheval...
-
mange ...
-
Pomme.
-
Comment je souhaitait l'arrivée de ce jour-ci.
-
Arthur:
J’espère que nous
ne serions pas déçus.
-
Hélène jamais vous
démentira, mon père.
-
Pourquoi êtes-vous
jaloux, James?
-
Je ne suis pas jaloux.
-
Je suis envieux.
-
Ce n'est pas seulement Hélène qui
a besoin d'apprendre à parler
-
Les choses seront très différentes ici,
-
si Hélène se sens mieux.
-
je le sais.
-
Qui est-ce qui je vais blâmer
pour mon malheur?
-
Annie:
Si seulement il y avait quelqu'un
pour m'aider.
-
Je pense que j'ai besoin d'un
enseignant, autant que Hélène.
-
[Un Cheval que Hennit]
-
Arthur: Whoa...
-
[soupirs]
-
[Un Chien qui aboie]
-
Ooh!
-
Capitaine.
-
Mlle Sullivan, J'ai apporté pour
Hélène un copain de jeux.
-
Une sorte de cadeau
de graduation.
-
Capitaine, s'il vous plaît, attendez dehors, .
-
Chien.
-
Eh bien, Mlle Sullivan,
-
les deux semaines sont terminées.
-
Pas avant les 17h00 H.
-
Oh, que différence peut
faire une demi-journée?
-
Vous ne savez pas comment nous
sommes avides de l'avoir de retour.
-
Je le sais.
-
c'est ma principale préoccupation.
-
Vous avez fait des
merveilles pour elle,
-
et vous nous avez rendu
un grand service.
-
En réalité elle
ma manqué.
-
Je vous dois cette dette.
-
Payez-la à Hélène, Capitaine.
-
Donnez-lui une autre semaine.
-
Regardez ce que vous avez
fait déjà pour elle .
-
Elle est bien comportée. Elle
semble tout à fait satisfaite.
-
Certes plus propre.
-
Elle est plus propre ?
-
Alors, c'est ce qui
compte pour vous ?
-
Elle apprend à
parler, Capitaine.
-
Les mots sont déjà
dans ses doigts.
-
Je ne peut pas risquer
qu'elle désapprendra
-
ce qu'elle a appris, une fois retournée
à son ancienne vie chez soi.
-
Oh regarde.
-
Arthur:
Qu'est ce qu'elle est en train d’épeler?
-
L’eau. (water)
-
[Des Rires]
Mlle Sullivan ...
-
ce chien ne reconnait pas les mots et
-
elle non plus.
-
Arthur:
Mais, le chien est assez heureux.
-
Dieu, a peut-être voulu,
-
qu' Hélène ne sois pas capable de parler, Mlle Sullivan.
-
Je veux qu'elle parle, Capitaine.
-
Donnez-lui une demi-semaine.
-
Vous avez jusqu’à 17h00 H.
-
Kate ne peut pas supporter
d'être séparée d'elle,
-
une autre nuit.
-
Où est-elle?
-
La votre Mlle Sullivan,
a insisté en la conserver
-
jusqu'à 17h00 H.
-
[soupirs]
-
[soupirs]
-
Non.
-
Pas '' l'eau ''.
-
Chien.
-
Chien.
-
[soupirs]
-
ça...
-
ça - C'est de l'eau.
-
Comment lui faire comprendre ça?
-
Comment puis-je vous dire?
-
J'en sais rien.
-
Ils sont satisfaits.
-
Rendez-leur, son enfant
-
et son chien ...
-
les deux bien domestiqués.
-
Tout le monde sera satisfait.
-
Tout le monde, mais pas moi ...
-
Annie:
et toi.
-
touche!
-
touche!
-
Oh, Tant de choses que je
voulais vous offrir, Hélène.
-
Tout dans ce monde,
-
tout ce que nous sommes, tout
ce que nous rêvons d'être,
-
tout ce que nous laissons derrière nous,
-
tout ce que nous pensons et sentons et, connaissons et partageons--
-
tout ça se trouve dans les mots.
-
Si je pourrait vous
donner un mot ...
-
[soupirs]
-
Un mot, je pourrais
vous donner tout.
-
La laine.
-
Elle signifie cela.
-
Chaise.
-
Serviette.
-
La robe.
-
Le visage.
-
[soupirs]
-
[Pleurant]
-
Ooh!
-
Des larmes
-
[L’Horloge qui sonne les 17:00 H]
-
Allons-y on la ramène chez elle.
-
Hem.
-
Allons ranger
vos affaires.
-
Rangez-les!
-
Bon.
-
Vous retournez à la maison.
-
Hélène ...
-
va rentrer chez elle.
-
C'est vrai.
Rangez vos choses .
-
Arthur:
Whoa...
-
Comment est-elle?
-
Je vous en prie. S'il vous plaît,
donnez-moi plus de temps?
-
Je ne peux pas.
-
Hélène ?
-
Ooh!
-
[Des Pleures]
-
Hélène,
-
Ooh!
-
Oh.
-
[Des Rires]
-
Oh.
-
[soupirs]
-
Jimmie:
Annie, Je me sens
tellement chaude, Annie !
-
Pouvez-vous m
'apporter de l'eau? Annie:
-
Je dois aller de son coté!
-
Il n'a pas personne dans
le monde, mais moi !
-
Pensez-vous que je veux une épidémie sur mes bras?
-
Jimmie:
Annie:
-
procureur vous ne pouvez pas
- Annie : Jimmie!
-
Jimmie: Annie
-
Jimmie!
-
procureur (d'une succession)
Nous faisons le mieux que possible.
-
Je retournerais pour vous
prendre, aussitôt que je peut.
-
Jimmie!
-Jimmie:
Annie
-
Jimmie:
Annie -J'y ai essayé, mais ils ne me laisseraient pas entrer.
-
Jimmie:
Annie
- Jimmie.
-
Annie:
Jimmie!
-
Jimmie:
Annie:
-
Jimmie:
Annie
-
[Des Sanglots]
-
[Des Gémissements]
-
Puis je vous accompagner?
-
Je ne suis pas très bonne compagnie
dès maintenant.
-
Oh, Je ne suis pas venu pour
vous tenir compagnie.
-
Je suis venu pour vous empêcher
de te perdre dans l'obscurité.
-
Peut-être que c'est juste
ce que je cherchait à faire.
-
Vous sentez-vous désolé
ou vous-même. Mlle Sullivan?
-
Juste pour cette fois.
-
Si.
-
Mon père a un très grand
respect pour vous,
-
et ça n'est pas facilement d'achever.
-
Il s'est battu à Vicksburg.
-
Il édite le journal.
-
Et il nous défie tout le temps
d'être à son hauteur.
-
Si vous avez des conseils pour moi,
-
ça ne me dérangerait pas l'entendre.
-
J'ai jamais vraiment eu un père,
-
donc je suis la dernière personne
à qui faut demander,
-
mais il faut faire
face au monde.
-
C'est tout ce que je sais.
-
Eh bien, et si il représentent le monde ?
-
Alors, il vous faut simplement de
regarder autour, James,
-
et découvrir combien il est
vraiment plus grand.
-
On parle d'un homme, James.
C'est tout.
-
Vous l'êtes aussi.
-
[On Frappe à la Porte]
-
Tante Evelyn.
-
Eh bien, entrez.
Venez.
-
C’est un plaisir de vous voir.
-
Alors, vous êtes venus
voir notre Hélène.
-
[Des Pleures]
-
La douce enfant.
-
Mlle Sullivan doit être une merveille.
-
Arthur: Mlle Sullivan.
-
J'ai ici votre premier
salaire mensuel.
-
[soupirs]
-
Vous avez fait un travail extraordinaire.
-
Vous avez pris quelqu' un sauvage
-
et nous avez redonné
un enfant.
-
J'ai enseigné Hélène une chose--
-
''Non.''
-
Ne faites pas ça.
Ne faites pas cela.
-
J'ai voulu l'enseigner '' Oui ''.
-
Eh bien, maintenant vous aurez tout
le temps dont vous avez besoin .
-
Voudrez-vous m'aider, capitaine?
-
Si. De quelle façon?
-
Ne pas défaire ce que j'ai achevé.
-
Le monde, ne s'agit pas d'un
endroit facile pour les gens.
-
Annie: Pour autoriser Hélène de tout faire à sa façon.
-
c'est un mensonge pour elle.
-
Il faut choisir entre elle
et ce mensonge la.
-
Annie:
Ne cédez pas.
-
Nous allons, sans
doute, essayer.
-
D'habitude je me demandais
comment j'aurais pu gagner ma vie.
-
Maintenant, la question c'est,
comment je pourrais la survivre ?
-
On se verra au souper, alors.
-
[Des Pleures]
-
Oh...
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-