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Cessez de ne pas aimer votre corps et commencez à vivre | Taryn Brumfitt | TEDxAdelaide

  • 0:24 - 0:26
    Mais quel boudin.
  • 0:26 - 0:27
    (Rires)
  • 0:28 - 0:30
    T'es vraiment repoussante.
  • 0:32 - 0:34
    Qu'est-ce que tu es moche !
  • 0:36 - 0:38
    Toutes ces rides.
  • 0:40 - 0:43
    Ces horribles taches de rousseur.
  • 0:44 - 0:47
    C'est plutôt injurieux, non ?
  • 0:48 - 0:50
    Mais ce sont les messages
  • 0:50 - 0:53
    qui nous sont balancés à la figure
    tous les jours.
  • 0:54 - 0:57
    Et beaucoup d'entre nous y croient.
  • 0:58 - 0:59
    J'y ai cru.
  • 0:59 - 1:05
    Il y a quelques années seulement,
    je me mettais devant le miroir
  • 1:06 - 1:08
    et je me disais :
  • 1:09 - 1:11
    « Quel boudin,
  • 1:11 - 1:15
    mais qu'est-ce que tu es
    repoussante et moche. »
  • 1:17 - 1:21
    Je pensais que ma valeur sur cette planète
  • 1:22 - 1:25
    était déterminée
    par mon apparence physique.
  • 1:26 - 1:31
    Avec ce corps que je détestais,
    je suis allée voir un chirurgien
  • 1:32 - 1:35
    et je me suis déshabillée
  • 1:35 - 1:40
    en lui demandant :
    « Aidez-moi, mon corps est une ruine. »
  • 1:41 - 1:43
    Et il était d'accord.
  • 1:43 - 1:44
    (Murmures)
  • 1:44 - 1:48
    Il a attrapé ma graisse ici et il a dit :
  • 1:48 - 1:51
    « Je pense qu'on devrait enlever ça. »
  • 1:52 - 1:57
    Il a attrapé mes seins
    comme si c'était des mouchoirs sales
  • 1:57 - 2:01
    et il a dit : « Ils devraient être
    plus haut, ici, mais on va arranger ça. »
  • 2:02 - 2:04
    Il ignorait bien sûr
  • 2:05 - 2:09
    que ce ventre avait accueilli
    trois enfants
  • 2:09 - 2:14
    et que ces seins avaient servi
    4 000 repas à ces trois mêmes enfants.
  • 2:14 - 2:15
    (Rires)
  • 2:15 - 2:18
    (Applaudissements)

  • 2:24 - 2:26
    Mais j'étais tellement heureuse
  • 2:26 - 2:30
    parce que ce corps qui me paraissait
    en ruine allait être ravalé.
  • 2:30 - 2:35
    Et j'ai compris plus tard,
    mais pas à l'époque,
  • 2:35 - 2:38
    que ce n'était pas mon corps
    qui avait besoin de changer.
  • 2:38 - 2:40
    C'était mon point de vue.
  • 2:43 - 2:46
    Tant de gens, tant d'humains
    sur cette Terre
  • 2:46 - 2:48
    sont bloqués
  • 2:48 - 2:52
    par ce passager noir et négatif
    qui hante leur esprit
  • 2:52 - 2:55
    et qui leur dit :
    « Tu n'es pas assez bien. »
  • 2:56 - 2:58
    Vous êtes sans doute d'accord avec moi :
  • 2:58 - 3:02
    c'est difficile de vivre pleinement
    avec cette voix intérieure.
  • 3:04 - 3:09
    Je ne suis pas venue pour vous remplir
    de honte ou vous faire culpabiliser.
  • 3:09 - 3:14
    Je suis ici pour vous demander
    de changer votre manière de penser.
  • 3:16 - 3:21
    Les conversations que les gens ont
    avec leurs entraîneurs personnels,
  • 3:21 - 3:24
    avec leurs amis, avec leurs coiffeurs,
  • 3:24 - 3:28
    sont négatives
    quand ils parlent de leur corps.
  • 3:30 - 3:33
    Pour les femmes, cette voix intérieure
    est déjà assez pénible
  • 3:33 - 3:37
    mais en plus, nous devons marcher
    dans des rues pleines de publicités
  • 3:37 - 3:40
    qui nous disent que nous devrions être
    autre chose que ce que nous sommes.
  • 3:40 - 3:44
    Un bus passe avec une photo de femme sexy.
  • 3:46 - 3:48
    N'importe quel magazine
    que vous feuilletez
  • 3:48 - 3:49
    est rempli de telles photos.
  • 3:49 - 3:52
    Vous allumez la télé,
    vous regardez un film -
  • 3:53 - 3:54
    il y en a partout.
  • 3:54 - 3:56
    Quel combat pour les femmes !
  • 3:56 - 3:58
    C'est tellement dur.
  • 4:01 - 4:05
    Ces messages sont dévastateurs
  • 4:05 - 4:08
    parce que nous
    ne nous mettons pas en avant,
  • 4:08 - 4:10
    nous n'utilisons pas
    nos esprits brillants,
  • 4:10 - 4:12
    parce que nous sommes freinées
    par ces messages.
  • 4:13 - 4:16
    Et nous croyons ces messages
    qui nous disent
  • 4:16 - 4:19
    que nous ne sommes pas assez bien,
  • 4:19 - 4:23
    que si nous ne sommes pas conformes
    à cet idéal corporel,
  • 4:23 - 4:27
    ou à ce qu'« ils » déterminent comme beau,
  • 4:27 - 4:30
    notre seul choix est de passer notre vie
  • 4:30 - 4:32
    à être en guerre contre
    notre propre corps.
  • 4:33 - 4:36
    « Combattez les signes de l'âge. »
  • 4:36 - 4:39
    « Défiez vos rides. »
  • 4:40 - 4:43
    « Camouflez vos zones à problèmes. »
  • 4:46 - 4:53
    Si vous pensez à un bébé,
    que vous le visualisez
  • 4:53 - 4:57
    avec des bourrelets sur ses cuisses
    grassouillettes et mignonnes.
  • 4:58 - 4:59
    C'est adorable, n'est-ce pas ?
  • 5:01 - 5:03
    Mais si vous avez 25 ans
  • 5:03 - 5:06
    et que vous avez de la peau d'orange
    sur vos cuisses grasses,
  • 5:06 - 5:08
    c'est un problème monstrueux.
  • 5:08 - 5:10
    Il vous reste deux choix :
  • 5:10 - 5:13
    aller voir un chirurgien
    et faire une liposuccion
  • 5:13 - 5:16
    ou, au minimum,
    adhérer à un club de sport.
  • 5:18 - 5:21
    Ou alors, vous pourriez faire le choix
    adopté par de millions d'autres :
  • 5:21 - 5:26
    vous retirer discrètement de la vie,
    vous faire toute petite et rester cachée.
  • 5:27 - 5:30
    Couvrir vos cuisses
    et éviter à tout prix les shorts.
  • 5:31 - 5:33
    Si vous avez des bras comme les miens,
  • 5:33 - 5:35
    qui tremblent longtemps après
    avoir fait un geste...
  • 5:35 - 5:38
    (Rires)
  • 5:38 - 5:41
    ne portez jamais de T-shirt
    ou de robe sans manches.
  • 5:42 - 5:47
    Si vous détestez votre corps en bikini,
    bannissez la plage,
  • 5:48 - 5:51
    n'allez jamais à la piscine
    avec vos enfants.
  • 5:51 - 5:52
    Ne faites rien de ça.
  • 5:52 - 5:55
    Si vous détestez vraiment,
    vraiment votre corps,
  • 5:55 - 5:59
    cessez de partager votre intimité
    avec la personne que vous aimez.
  • 6:00 - 6:05
    Ce sont des choix
    que les gens font tous les jours.
  • 6:05 - 6:09
    La honte du corps,
    la haine du corps et la négativité
  • 6:09 - 6:11
    sont des problèmes universels.
  • 6:13 - 6:16
    On est tous passés par là.
  • 6:18 - 6:22
    Je pense que nous avons
    réellement perdu notre recul.
  • 6:23 - 6:26
    On s'est moqué de nous
  • 6:26 - 6:29
    jusqu'à ce qu'on pense
    que c'était un problème.
  • 6:31 - 6:33
    Je veux vous montrer un clip
  • 6:33 - 6:37
    extrait du documentaire « Acceptation »
    que je viens de réaliser.
  • 6:39 - 6:41
    (Vidéo musicale) Tu m'aspires
  • 6:41 - 6:43
    Je suis accro de toi
  • 6:43 - 6:45
    Je ne peux pas gagner
  • 6:45 - 6:47
    Quoi que je fasse
  • 6:48 - 6:49
    Tout autour de moi
  • 6:49 - 6:51
    Partout où je regarde
  • 6:51 - 6:54
    C'est injuste
  • 6:55 - 6:57
    Tu es un serpent
  • 6:57 - 7:01
    Tu mets des pièges partout
  • 7:01 - 7:03
    Sans jamais montrer ton visage
  • 7:04 - 7:08
    Tu nous tues à petit feu ou très vite
  • 7:08 - 7:10
    Est-ce que tu t'en fiches ?
  • 7:10 - 7:13
    Est-ce ainsi que tu veux vivre ta vie
  • 7:13 - 7:17
    Tu veux que je sois affamée et excitée
  • 7:17 - 7:18
    Rampant à tes pieds
  • 7:18 - 7:21
    Suppliant pour une autre bouchée
  • 7:21 - 7:24
    Tu me veux stupide et solitaire
  • 7:24 - 7:29
    Mais je pense qu'on en a marre de ça.
  • 7:29 - 7:30
    (Fin de la vidéo)
  • 7:32 - 7:33
    (Rires)
  • 7:33 - 7:36
    Ils nous tiennent à leur merci.
  • 7:36 - 7:38
    Affamées et excitées.
    (Rires)
  • 7:38 - 7:42
    Désirant tous les produits qu'ils veulent
    nous vendre et qu'est-ce qu'on en a envie.
  • 7:42 - 7:44
    Mais je vais vous dire une chose.
  • 7:45 - 7:46
    Ce n'est pas une tragédie.
  • 7:46 - 7:50
    Mais il y a une tragédie et c'est celle-là
    que je souhaite partager avec vous.
  • 7:51 - 7:55
    Ça, c'est une tragédie.
  • 7:55 - 7:59
    Des filles sont parties le matin à l'école
    pour avoir une éducation
  • 8:01 - 8:04
    et ont été kidnappées sur le chemin.
  • 8:05 - 8:06
    On les a volées.
  • 8:07 - 8:10
    Elles sont nombreuses
    à avoir été violées, tuées.
  • 8:10 - 8:12
    Certaines ont pu rentrer à la maison,
    mais pas toutes.
  • 8:12 - 8:18
    Et je n'arrive pas à imaginer,
    étant mère de trois enfants,
  • 8:19 - 8:23
    l'idée d'emmener mes trois enfants
    à l'école le matin
  • 8:23 - 8:25
    et de venir les chercher le soir
  • 8:25 - 8:27
    mais qu'ils ne soient pas là
  • 8:27 - 8:31
    parce qu'ils ont été enlevés
    contre leur volonté.
  • 8:32 - 8:35
    Et je pense que
    ce qui doit être pire encore,
  • 8:35 - 8:38
    c'est l'idée qu'ils puissent être
    au bout de la rue
  • 8:38 - 8:42
    et que je ne puisse quand même pas
    les ramener à la maison.
  • 8:44 - 8:46
    Ça, c'est une tragédie.
  • 8:48 - 8:49
    Mais ça : non.
  • 8:49 - 8:51
    (Murmures)
  • 8:56 - 9:00
    Ces gens qui n'ont nulle part où aller,
  • 9:02 - 9:04
    qui n'ont pas de maison,
  • 9:04 - 9:08
    se sentent tellement rejetés par le monde.
  • 9:09 - 9:12
    Ça aussi, ça fend le cœur
    et c'est une tragédie.
  • 9:16 - 9:17
    Mais ça : non.
  • 9:22 - 9:25
    Toutes les trois secondes
    sur cette planète,
  • 9:25 - 9:26
    toutes les trois secondes,
  • 9:26 - 9:28
    (Claquement de doigts)
  • 9:28 - 9:30
    un enfant meurt
  • 9:30 - 9:32
    (Claquement de doigts)
  • 9:32 - 9:34
    parce qu'il n'a pas de quoi manger.
  • 9:35 - 9:36
    (Claquement de doigts)
  • 9:39 - 9:42
    Je sais que quand mon fils
    rentre de l'école
  • 9:42 - 9:47
    et me dit : « Maman, tu ne m'as pas mis
    assez à manger pour le déjeuner »
  • 9:48 - 9:51
    je réagis comme une mama italienne.
  • 9:51 - 9:53
    Je ne suis pas italienne.
    (Rires)
  • 9:53 - 9:56
    Mais je l'assois et je veux le nourrir.
  • 9:56 - 9:59
    « As-tu assez mangé ? »
    (Rires)
  • 10:00 - 10:04
    Alors je ne peux imaginer la douleur
  • 10:04 - 10:07
    de tenir dans ses bras
    son enfant qui meurt
  • 10:07 - 10:10
    parce qu'il n'y a pas
    de nourriture à lui donner.
  • 10:11 - 10:13
    C'est une tragédie.
  • 10:16 - 10:18
    Mais ça : non.
  • 10:18 - 10:22
    Cette boîte sur laquelle on se tient
    pour connaître sa valeur et sa santé :
  • 10:22 - 10:26
    « Je suis bien ou pas ?
    Qu'est-ce que je vais être aujourd'hui ? »
  • 10:26 - 10:28
    Cette boîte contient tellement de pouvoir.
  • 10:32 - 10:39
    Des jeunes filles et des femmes sont
    forcées de se prostituer tous les jours.
  • 10:39 - 10:45
    Et pourtant tant de femmes et de gens sont
    préoccupés par des choses sans importance
  • 10:45 - 10:48
    comme quelques vergetures
    sur le côté de leur corps.
  • 10:53 - 11:01
    Pas de maison, d'espoir ou de nourriture,
    pas de choix : ce sont des tragédies.
  • 11:02 - 11:06
    Je ne dis pas que ne pas aimer son corps
    n'est pas important.
  • 11:06 - 11:09
    J'ai vu et lu de mes propres yeux
  • 11:09 - 11:12
    des histoires déchirantes de gens
  • 11:12 - 11:15
    aux tendances suicidaires,
    qui sont dépressifs et anxieux
  • 11:15 - 11:17
    car ils n'arrivent pas à aimer leur corps.
  • 11:17 - 11:19
    Je ne dis pas que ça n'est pas tragique.
  • 11:19 - 11:20
    Ça l'est.
  • 11:21 - 11:26
    Mais mes cuisses qui se frottent
    quand je marche, ça ne l'est pas.
  • 11:26 - 11:30
    Ou mon ventre qui dépasse
    au-dessus de ma culotte,
  • 11:30 - 11:34
    ou mes seins qui sont aplatis
    parce que j'ai donné 4 000 repas.
  • 11:34 - 11:36
    Je l'ai déjà dit, ça ?
    (Rires)
  • 11:37 - 11:38
    Ou mes hanches grasses,
  • 11:38 - 11:41
    ou quand je vais dans un magasin,
    que j'essaye un jeans,
  • 11:41 - 11:44
    et qu'il ne me va pas
    parce que mes fesses sont trop grosses.
  • 11:44 - 11:47
    Ce n'est pas une tragédie.
  • 11:48 - 11:53
    J'ai posé cette question à des milliers
    de personnes autour du monde :
  • 11:53 - 11:56
    « Quand vous rendrez
    votre dernier souffle sur cette Terre,
  • 11:56 - 11:59
    quelles seront vos dernières pensées ?
  • 11:59 - 12:01
    À quoi penserez-vous ? »
  • 12:02 - 12:07
    Et personne ne m'a jamais répondu :
    « mes grosses fesses ».
  • 12:07 - 12:09
    (Rires)
  • 12:09 - 12:11
    Ou leur cellulite,
  • 12:11 - 12:13
    ou leurs vergetures.
  • 12:13 - 12:15
    Parce que ces choses
    n'ont pas d'importance.
  • 12:15 - 12:18
    Et si nous pouvons revenir au présent,
  • 12:18 - 12:22
    au moment où nous vivons, respirons,
    où nous sommes capables et aptes,
  • 12:22 - 12:25
    et avoir cette perspective,
    cette gratitude,
  • 12:25 - 12:30
    nous aurons tous accès à une vie
    joyeuse, riche et abondante.
  • 12:30 - 12:32
    Aujourd'hui.
  • 12:34 - 12:37
    Quand j'ai enlevé mes œillères
  • 12:38 - 12:41
    et que j'ai regardé ce corps
    comme le corps fabuleux qu'il est,
  • 12:42 - 12:44
    j'ai vu la vie différemment.
  • 12:45 - 12:51
    J'ai compris que tout, jusqu'à ce moment,
  • 12:53 - 12:55
    avait été un mensonge,
  • 12:56 - 13:01
    et que j'avais fait mon chemin
    comme une connasse ingrate.
  • 13:01 - 13:02
    (Rires)
  • 13:02 - 13:03
    C'est vrai.
  • 13:03 - 13:08
    Je pense que si je regarde
    au-delà de ces lumières,
  • 13:08 - 13:12
    je pourrais sans doute trouver
    quelques connasses ingrates parmi vous.
  • 13:12 - 13:14
    (Rires)
  • 13:15 - 13:16
    Et ce n'est pas grave
  • 13:16 - 13:18
    parce que nous sommes tous
    des êtres humains.
  • 13:18 - 13:20
    Nous avons été pris de court
  • 13:20 - 13:22
    et poussés le long d'un chemin
    qui n'est ni heureux, ni joyeux.
  • 13:22 - 13:26
    Nous devons juste retrouver notre source
    et notre point de vue.
  • 13:27 - 13:32
    Mais je voudrais vous donner
    un défi à tous aujourd'hui :
  • 13:32 - 13:39
    prenez en compte votre force
    de caractère et d'esprit.
  • 13:41 - 13:44
    Vous n'avez pas besoin d'un corps parfait.
  • 13:44 - 13:46
    Vous avez besoin d'un cœur
    aimant et résilient.
  • 13:46 - 13:49
    Et quand vous vous inspirez
    de votre perspective personnelle
  • 13:50 - 13:54
    et que vous regardez votre corps
    pour le fabuleux corps qu'il est,
  • 13:55 - 13:59
    vous aurez une gratitude immense.
  • 13:59 - 14:02
    Parce que votre corps
    n'est pas un objet de décoration,
  • 14:03 - 14:05
    c'est le véhicule
    pour atteindre vos rêves.
  • 14:06 - 14:07
    Merci.
  • 14:07 - 14:10
    (Applaudissements)
Title:
Cessez de ne pas aimer votre corps et commencez à vivre | Taryn Brumfitt | TEDxAdelaide
Description:

« Boudin ! », « T'es moche ! », « T'es repoussante ! »

Des millions de femmes autour du monde se disent ça quand elles se regardent dans un miroir, tous les jours. Taryn n'y a pas échappé avant de comprendre que son corps n'est pas un objet de décoration. Au contraire, c'est le moyen d'atteindre ses rêves. Cette présentation explore le problème récurrent de la dépréciation de son corps et ce que nous pouvons faire pour changer notre perspective et les standards irréalisables qui nous entourent.

Taryn Brumfitt est l'auteure de best-sellers. Elle est reconnue internationalement pour ses activités autour de l'image du corps. Elle est la fondatrice du mouvement « Body Image Movement » (mouvement pour l'image du corps). Taryn a connu une ascension fulgurante quand sa photo avant/après non conventionnelle soit devenue virale en 2013, avec 100 millions de vues dans une étincelle qui a engendré une folie médiatique. Son premier documentaire « Acceptation » explore les problèmes liés à l'image du corps. Il s'agit de l'un des documentaires ayant eu le plus de succès en Australie.

Cette présentation a été donnée lors d'un événement TEDx local utilisant le format des conférences TED mais organisé indépendamment. En savoir plus : http://ted.com/tedx

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Video Language:
English
Team:
closed TED
Project:
TEDxTalks
Duration:
14:21

French subtitles

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