Alex Da Corte : Variétés 57 | Art21 "Extended Play"
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0:18 - 0:21[ALEX DA CORTE] Cette maison est comme où je vis.
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0:26 - 0:31[ALEX DA CORTE], "Je pensais, comment
je connais ma vie" ? -
0:32 - 0:35" Mes idées politiques, ma religion" ?
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0:35 - 0:37"Comment je connais mon amour"?
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0:39 - 0:42J'ai appris surement, ces
choses de ma famille. -
0:42 - 0:45Mais pour la plupart, ça
m'a été donné par la TV. -
0:47 - 0:51Pour le lieu j'aurais du
commencé par la TV. -
0:53 - 1:00J’ai recyclé de vieux visages
dans un spectacle de variété, -
1:00 - 1:0557 vidéos au 57e"Carnegie"
International à Pittsburgh. -
1:07 - 1:11[ALEX DA CORTE: 57 variétés]
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1:15 - 1:17- Liv, Je pense que c'est cool.
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1:18 - 1:22- Ouais, laisse ça ainsi,
ça semble plus naturel. -
1:31 - 1:33- Ouais, de loin mon
meilleur costume, Liv. -
1:37 - 1:40Quand je suis attiré par un
personnage en particulier, -
1:40 - 1:44peut-être un personnage incompris,
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1:44 - 1:48ou un personnage qui a cette
belle couleur, -
1:51 - 1:53- ouais, c'est vraiment beau,
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1:53 - 1:54c'est vraiment magnifique,
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1:55 - 1:57- dis quand t'es prêt
je sors ma jambe. -
1:58 - 2:02Je vais partager un verre de
vin avec Oscar, -
2:02 - 2:06Mais ce vin semble se verser
inlassablement. -
2:06 - 2:12Cette boisson dans une
peinture de Patrick Caulfield "Dining" -
2:12 - 2:17utilisé avec un léger truc
visuel où J’ai l’air plus plat. -
2:18 - 2:21- [REALISATEUR] Moteur, Prêt. Action.
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2:23 - 2:24- En versant
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2:24 - 2:27[DA CORTE] Caroll Spinney,
l'acteur qui joue le gros oiseau -
2:27 - 2:30et Oscar le râleur jusqu'à récemment,
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2:30 - 2:36jouait Oscar le râleur en
portant ses longues jambes d'oiseaux. -
2:38 - 2:44Et je pense que c'est
un superbe moment de transition, -
2:45 - 2:49[DA CORTE] Dans ces vidéos
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2:50 - 2:51Je mets en valeur la hiérarche de classe
qui profite peut-être de privilèges -
2:53 - 2:54ou de l'autorité,
Que certains personnages peuvent typiquement avoir eu -
2:55 - 3:00Et je joue un peu sur la confusion qu'ils ont.
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3:00 - 3:05Il y a cette fludité qui obscurcit, occulte où
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3:05 - 3:08où tu peux prendre n'importe quoi comme chose.
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3:10 - 3:13les lier entre elles
et leur faire raconter une nouvelle histoire -
3:13 - 3:16Je vis à Philadelphie
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3:16 - 3:19et pendant mes recherches, j'ai beaucoup
lu du Grinsberg's "Fall of America." -
3:22 - 3:24Ginsberg et dans un clip video
qu'a réalisé Bob Dylan -
3:25 - 3:29ça s'appelait "Subterranean Homesick Blues"
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3:30 - 3:34Je pensais, que c'était étrange que
Bob Dylan face ce morceau -
3:34 - 3:36Du fait du style de l'époque de la fin des sixities
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3:38 - 3:42Quinze ans après,
Peut-être que c'était un moment identique -
3:42 - 3:45Dans le fait, d'une grande nécessité de compréhension et de conversation empathique
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3:45 - 3:49Et peut-être que so j'utilise ses mots et
je les dispose dans mes images -
3:49 - 3:52Je pourrais donner un sens à cette Amérique.
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3:53 - 3:57[Guitare avec effet de Distorsion jouant "Taps"]
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4:01 - 4:03Cette sorcière est totalement méconnue
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4:06 - 4:10Une maison abandonnée chez sa soeur
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4:35 - 4:38C'est dommage, triste.
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4:38 - 4:40Je serais inquiet aussi
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4:40 - 4:41Dorothy, elle et juste une petite fille ennuyeuse
avec quelques problèmes -
4:42 - 4:44Quand la sorcière est une intéressante personnes verte
qui a une sérieurse histoire derrière elle. -
4:47 - 4:51--[DIRECTOR] 5-4-3-2-1, playback
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4:51 - 4:59[LeAnn Rime's joue "Blue"]
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5:01 - 5:06♪ Blue ♪
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5:06 - 5:07♪ Oh, si esseulé en toi ♪
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5:07 - 5:10♪ Pourauoi ne peux-tu pas faire un effort pour moi ? ♪
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5:10 - 5:13♪ Blue ♪
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5:13 - 5:17♪ Oh, si esseulé en toi ♪
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5:18 - 5:21♪ Les larmes fondent sur mes yeux au point
de plus rien voir ♪ -
5:21 - 5:23[DA CORTE] Je pense toujours à ce projet de science que j'avais fait quand j'étais plus jeune
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5:23 - 5:27C'était le thème de la couleur et de comment elle influençait l'humeur.
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5:28 - 5:32Ce que le bleu te faire ressentir ?
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5:32 - 5:36Comment tu te sens face au vert?
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5:36 - 5:38Toute les émotions sont intéressantes--
et c'est puissant et excitant. -
5:38 - 5:39Je n'ai pas peur d'elles.
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5:40 - 5:44-- Merci Gabs,
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5:44 - 5:46--Pour les 17.000 heures de boulot pour faire ces chaussures!
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5:50 - 5:51--Elles devraient être juste être emballées et rangée dans un coffre
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5:52 - 5:55--Parce qu'elles sont vraiment uniques.
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5:56 - 5:59Toutes les personnes avec qui je bosse sont mes amis
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5:59 - 6:01On forme une grande famille,
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6:01 - 6:04-- Shannon a bossé dans le monde entier
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6:04 - 6:07-- Elle est de Philadelphie
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6:08 - 6:09-- On fait juste un peu différent ici.
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6:09 - 6:10-- On est un peut plus gras ici. [RIRES]
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6:10 - 6:12En tant que studio on a du matos de valeur.
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6:12 - 6:15Tout le monde voent de l'école pour imprimer
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6:16 - 6:20faire des sculptures, travailler avec les neon, ou construire.
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6:22 - 6:23J'ai grandi en travaillant à travers les medias
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6:23 - 6:27et j'ai eu cet amour des heures dans la création de ces objets
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6:29 - 6:33-- Je pense beaucoup à cette
trè bonne pièce de Mike Kelley -
6:33 - 6:37--"More Love Hours Than Can Ever Be Repaid,"
{Au plus on l'aime longtemps que ça peut toujours être réparé.} -
6:38 - 6:40--et en pensant aux travail qu'on ne voit pas
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6:40 - 6:43-- Oh ouais c'est génial!
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6:43 - 6:47--[Femme] Ouais, tout fonctionne comme sur des roulettes.
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6:49 - 6:50[Rires]
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6:52 - 6:53[DA CORTE] Couuupez !
Elle était mieux ? -
6:53 - 6:53-- Yeah, donne m'en cinq !
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7:00 - 7:03-- Quoi de neuf ?
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7:04 - 7:05-- Hey, comment tu vas ?
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7:07 - 7:07-- Je réalise tout ces vidéos
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7:08 - 7:09-- C'est Soft (doux, confortable), hein ?
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7:12 - 7:14[Neveu] Ouais, c'est doux !
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7:15 - 7:16-- [DA CORTE] C'est tellement soft...!
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7:17 - 7:17J'ai une grande famille
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7:17 - 7:18Je suis un des 27 petits-enfats.
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7:21 - 7:23Il y a 28 géniaux petits-enfants
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7:24 - 7:26Donc une Grande famille.
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7:27 - 7:30['Panthère Rose Thème"]
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7:30 - 7:31Toute ma famille sont des peintres d'intérieurs,
mon frère aussi. -
7:31 - 7:34Donc ça a joué sur l'idée de peindre ce
grand mur en rose -
7:34 - 7:36--[FRERE] Je vais monter et mettre la peinture
en spray au dessus -
7:37 - 7:42--et là tu nets juste un peu de spray et c'est Ok.
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7:44 - 7:46Ma grand-mère construisait des quilts
et des maisons de poupées -
7:46 - 7:50elle faisait un tas de trucs manuels
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7:59 - 8:02Donc la jardinière avec des roses
de l'arrière plan -
8:02 - 8:04C'est un peu une métaphore en son honneur
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8:05 - 8:08Comme si sa vie était la jardinière grillagée où les fleurs roses seraient les gens qu'elle a pu toucher dans sa vie.
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8:08 - 8:12Ma famille c'est tout pour moi !
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8:13 - 8:18Ma famille c'est tout pour moi !
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8:22 - 8:25♪ Ca a été une longue et sombre nuit ♪
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8:27 - 8:28♪ Et j'ai attendu impatiemment venir le matin ♪
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8:35 - 8:36♪ Cela a été une longue et dure bataille ♪
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8:36 - 8:38♪ Mais enfin une toute nouvelle journée s'annonce ♪
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8:38 - 8:42♪ J'ai attendu ce rayon de soleil ♪
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8:42 - 8:45--[DIRECTOR] Nickel, Coupez !
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8:45 - 8:48J'ai toujours été une sorte
d'homme de maison. -
8:49 - 8:51Si j'étais dehors ce serait dans
mon jardin. -
8:51 - 8:52La maison a toujours été un moyen de me protéger du monde.
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8:54 - 8:56Quand j'étais pas encore gradué
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8:58 - 9:00J'aurais pu passer beaucoup de temps dans ce diner particulier,
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9:02 - 9:06en dessinant et mangeant beaucoup, des bonnes frites belges avec du ketchup
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9:08 - 9:10La salle à manger avait un neon qui diffusait une lumière chaude dans toute la pièce.
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9:10 - 9:13C'est comme si c'était une barrière qui me gardait et me protégeait de tout ce qui était dehors
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9:13 - 9:17C'était comme si le néon flottait
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9:18 - 9:24Ces mots s'envolaient dans l'obscurité de la nuit.
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9:26 - 9:32Je pense que ça évoques une sorte d'espace de rêverie.
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9:33 - 9:34C'est un bug d'effet de zapping
où ça pousse les gens à l'intérieur. -
9:34 - 9:37Une fois que quelqu'un entre
J'ai vu une grande palette de sentiments, ressentis... -
9:40 - 9:44Je pense que le désire est agréable comme sensation
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9:46 - 9:50ou le dégoût, ou la peur
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9:57 - 10:01ou le sentiment de joie transcendant.
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10:04 - 10:08Mr. Rogers représentait une énorme partie de Pittsburgh
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10:08 - 10:12Comme le Ketchup...
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10:12 - 10:15Et j'aime le Ketchup.
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10:20 - 10:23La maison de Rodger's me rapelle celle de me grand-parents.
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10:24 - 10:25Son projet était profondément dépendant de l'empathie
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10:26 - 10:27Du genre, "Salut voisin, parlons un peu de nos différences,"
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10:30 - 10:34"Laissons-nous parler de divorce, parlons de la colère,"
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10:36 - 10:40Parlons-en des assassinats"
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10:40 - 10:44Peu rigoureux,
Il posait juste des questions, -
10:44 - 10:47pour essayer de comprendre
ce qu'on fait de nos différences -
10:47 - 10:49Et comment les surmonter
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10:51 - 10:54["Light of a Brand New Morning"
by Dolly Parton plays] -
10:54 - 10:59♪ Je peux voir le doux bleu, lumière matinale ♪
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10:59 - 11:00♪ Tout finira par bien se passer♪
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11:01 - 11:02♪ Tout finira par bien se passer♪
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11:02 - 11:05♪ Tout finira par bien se passer♪
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11:05 - 11:07♪ Ca va allez♪
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11:07 - 11:09Toute ces choses pofondes sont importantes et excitantes.
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11:09 - 11:10C'est la raison et le pourquoi on fait de l'art
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11:10 - 11:12pour proposer que ces sentiments puissent
venir à la surface et être réfléchis. (harvested) -
11:16 - 11:20[Rires famille]
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11:20 - 11:22[DA CORTE] Je pense que c'est nickel
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11:22 - 11:29--[Nièce] Tu devrais la garder
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11:34 - 11:36--[Femme] C'est ce que Fred aurait fait.
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11:45 - 11:46♪ Tout finira par bien se passer♪
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11:47 - 11:48♪ Tout finira par bien se passer♪
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11:49 - 11:50[Fondu musical baisse]
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11:52 - 11:54--[DIRECTEUR] c'est bon, on a la bonne !
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11:55 - 11:57[APPLAUDISSEMENT]
- Title:
- Alex Da Corte : Variétés 57 | Art21 "Extended Play"
- Description:
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Épisode 260 : Au travail sur son installation à l’occasion de la 57e édition du Carnegie International à Pittsburgh, en Pennsylvanie, Alex Da Corte tourne une série de cinquante-sept vidéos qui combinent un récit personnel, des références d'art-historique et des personnages de télévision créant un portrait contemporain de l'Amérique. Da Corte élabore des personnages incompris et colorés, et il nous présente, le marionnettiste de la rue de Sésame Caroll Spinney, la méchante sorcière de l'Ouest, la statue de la Liberté, la panthère rose et M. Rogers. Da Corte juxtapose, remixe et aplanit ces images disparates pour dire de nouvelles histoires aux caractères familiers.
En tournant dans son studio à Philadelphie et dans une salle de tournage au New Jersey, Da Corte enrôle une équipe d'artistes, crée un maquillage, des costumes et des accessoires incomparables. "Nous sommes dans un studio avec de la vraie valeur matérielle," explique Da Corte, décrivant les heures passer à coudre les costumes, à travailler sur les jeux de construction et sur les néons. Les propres parents, des enfants et mêmes d’autres parents, des nièces et des neveux de Da Corte le rejoignent, donnant un coup de main pour peindre un énorme treillis rose inspiré par sa grand-mère. "Ma famille est tout ce que j'ai ; ma famille est tout pour moi" dit Da Corte.
Intitulée « Rubber Pencil Devil », la dernière série de cinquante-sept vidéos est installée dans une maison lumineuse construite avec des néons colorés, inspiration du temps passé lorsque Da Corte crayonnait dans un restaurant lors de son école d’art. Cet environnement onirique et immersif attire les spectateurs et évoque un éventail de réactions, de la joie, du désir et du dégoût. Les images de Da Corte sont jumelées avec les mots de la vidéo de Bob Dylan de 1965 intitulée « Subterranean homesick Blues » (blues nostalgique souterrain) et l’artiste s’émerveille, « cinquante ans plus tard, c’est peut-être un moment similaire, qui nécessite une conversation empathique et peut-être que si j’utilise les mots de Dylan et que je les associe à mes images, je pourrais donner un sens à l’Amérique. »Alex Da Corte crée des installations dynamiques et immersives à grande échelle qui comprennent des œuvres murales, des sculptures et des vidéos. Son travail coloré et surréaliste, allie narration personnelle, références artistiques-historique, personnages de la pop-culture, et l’esthétique brillante de la publicité commerciale pour révéler l’humour, l’absurdité et la complexité psychologique des images et des histoires qui imprègnent notre culture. La juxtaposition, le remixage et la juxtaposition d’images et d’icônes disparates de Da Corte les détachent de leurs significations originales, lui permettant de raconter de nouvelles histoires sur des personnages familiers, avec un mélange d’empathie, de critique, de comédie et de macabre.
Pour en savoir plus sur l’artiste :
https://art21.org/artist/alex-da-corte/CREDITS | Producteur : Ian Forster. Interview : Ian Forster. Montage : Morgan Riles. Producteur : Tina Kukielski. Caméra : Jarred Alterman. Son : Shapoor Pourshariati. Assistant de production : Adedoyin Pedro. Musique : Annie Clark & Austin Fisher. Avec l’aimable autorisation de : Alex Da Corte & Karma Gallery. Remerciements spéciaux : All Ages Productions, Carnegie Museum of Art, Da Corte Family, Da Corte Studio Team, Hill Theatre Studio, Scott Ross et Cara Yarmolowicz.
Ce film est possible grâce au Fonds d’investissement pour les arts et l’éducation. Un soutien supplémentaire est fourni par des fonds publics du Département des affaires culturelles de la ville de New York en partenariat avec le Conseil municipal, le Conseil Art21 Contemporary et par des contributeurs individuels.
- Video Language:
- English
- Team:
- Art21
- Project:
- "Extended Play" series
- Duration:
- 12:05
Odile Michely edited French subtitles for Alex Da Corte: 57 Varieties | Art21 "Extended Play" | ||
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