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L'amour, l'amour, l'amour,
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dont on parle toujours,
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ah l'amour,
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c'est un printemps craintif,
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une lumière attendrie
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ou souvent une ruine.
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L'amour,
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l'amour,
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c'est le poivre du temps,
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une rafale de vent,
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une feuillée de Lune.
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L'amour, l'amour, l'amour,
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dont on parle toujours,
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l'amour
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met, la nuit, un bonnet,
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et, le jour, porte un masque
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qui veuille que l'on grimace.
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L'amour,
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l'amour,
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c'est, par la foi même aussi,
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que le visage d'un autre,
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qui n'est ni lui, ni l'autre.
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L'amour, l'amour, l'amour...
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L'amour, l'amour, l'amour...
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L'amour, l'amour, l'amour...
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L'amour, l'amour, l'amour...
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L'amour, l'amour, l'amour,
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dont on parle toujours,
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l'amour,
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met, la nuit, un bonnet,
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et, le jour, porte un masque
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qui veuille que l'on grimace.
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L'amour,
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l'amour,
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c'est, par la foi même aussi,
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que le visage d'un autre,
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qui n'est ni lui, ni l'autre.
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Ah l'amour, l'amour, l'amour,
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dont on parle toujours,
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ah l'amour,
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l'amour c'est, plus d'une fois,
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un panier vide au bras,
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l'arc-en-ciel sur deux cœurs.
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Ah l'amour,
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ah l'amour,
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ah l'amour, c'est quand je t'aime.
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Ah l'amour, c'est quand tu m'aimes
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sans me le dire,
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sans te le dire.
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Ah l'amour,
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Ah l'amour,
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l'amour, c'est quand tu m'aimes.
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L'amour, c'est quand je t'aime
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sans te le dire,
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sans me le dire.
