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L'école du futur, c'est maintenant | Lorenzo Busi | TEDxMestre

  • 0:24 - 0:28
    Il y a un peu moins d'un mois,
    c'était la rentrée des classes.
  • 0:29 - 0:33
    Vous vous souvenez, vous,
    de vos premiers jours d'école ?
  • 0:33 - 0:35
    Quand on rencontre ses amis,
  • 0:35 - 0:38
    quand on se raconte comment
    se sont passé les vacances,
  • 0:39 - 0:40
    de bons souvenirs, non ?
  • 0:41 - 0:44
    Et pourtant je suis sûr
    que chacun d'entre nous,
  • 0:44 - 0:46
    quelle que soit sa génération,
  • 0:46 - 0:50
    la mienne, la vôtre, ou celle
    de vos enfants si vous en avez,
  • 0:50 - 0:55
    chacun d'entre nous,
    au moins une fois, s'est dit ceci :
  • 0:55 - 0:57
    [Ça craint ! c'est la rentrée !]
  • 0:57 - 0:58
    (Rires)
  • 0:58 - 1:02
    Et au fond, qui peut nous en vouloir :
    trois mois de liberté totale,
  • 1:04 - 1:07
    mais avec le spectre, le fantasme
    de la rentrée en septembre,
  • 1:07 - 1:08
    avec l'école qui recommence
  • 1:09 - 1:13
    et quand elle recommence,
    le retour des devoirs, des contrôles.
  • 1:15 - 1:16
    Ça craint.
  • 1:17 - 1:20
    Alors, à quoi ça sert l'école ?
  • 1:22 - 1:23
    Elle est obligatoire.
  • 1:24 - 1:27
    Ça ne veut pas dire
    qu'il faudrait la supprimer,
  • 1:27 - 1:29
    il n'en est pas question,
  • 1:29 - 1:33
    mais à quoi sert-elle vraiment ?
  • 1:34 - 1:37
    Les réponses habituelles
    pourraient être les suivantes :
  • 1:37 - 1:39
    pour apprendre aux enfants
    à vivre en société,
  • 1:39 - 1:42
    pour en faire de futurs travailleurs,
  • 1:42 - 1:44
    pour qu'ils se construisent
    en tant qu'individus.
  • 1:46 - 1:49
    Combien de fois a-t-on dit ça
    aux enfants et aux adolescents ?
  • 1:49 - 1:53
    Un million, peut-être un milliard de fois.
  • 1:53 - 1:55
    Mais eux, est-ce qu'ils y croient ?
  • 1:57 - 1:58
    Un exemple :
  • 1:58 - 2:01
    combien de fois nous
    sommes-nous tous trouvés
  • 2:01 - 2:07
    face à ces maudits pavés d'histoire,
    de philosophie, de littérature
  • 2:07 - 2:12
    à maudire la vie et se demander :
    « Est-ce qu'un jour ça me servira ? »
  • 2:13 - 2:14
    Et alors, que faisait-on ?
  • 2:14 - 2:20
    On cherchait une distraction,
    on regardait la télé,
  • 2:20 - 2:23
    ou quand on était plus petits,
    on allait jouer avec les amis,
  • 2:23 - 2:25
    ou, quand on était un peu plus grands,
  • 2:25 - 2:28
    on fermait le livre,
    on s'habillait et on sortait.
  • 2:30 - 2:33
    Les efforts qu'on faisait
  • 2:33 - 2:37
    pour fermer le livre, s'habiller,
    sortir avec les amis,
  • 2:37 - 2:41
    se réduisent, chez les jeunes
    d'aujourd'hui, à un seul geste.
  • 2:44 - 2:50
    Ceci n'est pas simplement
    le symbole moderne de la socialisation.
  • 2:50 - 2:52
    Ce n'est pas mon propos aujourd'hui.
  • 2:52 - 2:54
    Cet instrument est en mesure
  • 2:54 - 2:57
    de trouver n'importe quelle information
    du savoir humain,
  • 2:57 - 3:00
    en faisant une simple
    recherche sur Google.
  • 3:01 - 3:03
    Mais surtout il est capable de reproduire
  • 3:03 - 3:06
    quelque chose que les livres
    ne seront jamais capables de faire.
  • 3:07 - 3:11
    Des images en mouvement : les vidéos.
  • 3:12 - 3:13
    C'est pour cela que
  • 3:13 - 3:17
    ce qui distrait le plus les jeunes
    à l'heure actuelle,
  • 3:17 - 3:18
    c'est YouTube.
  • 3:19 - 3:23
    YouTube compte près de deux milliards
  • 3:23 - 3:28
    d'utilisateurs actifs par mois
    et leur nombre augmente très vite.
  • 3:28 - 3:32
    Plus d'un milliard d'heures
    de vidéos vues par jour.
  • 3:34 - 3:36
    Ça fait beaucoup.
  • 3:36 - 3:40
    Dans une société où l'information
    tient une place prépondérante
  • 3:40 - 3:44
    et où l'accès rapide aux informations
    est devenu une priorité,
  • 3:44 - 3:47
    sous prétexte de donner aux jeunes
  • 3:47 - 3:49
    un outil capable
    de trouver des informations,
  • 3:49 - 3:53
    en fait, nous leur avons offert
    leur distraction favorite.
  • 3:54 - 3:57
    Pourtant, l'obligation d'étudier demeure.
  • 3:57 - 3:59
    Pourtant, nous revoilà devant ce livre,
  • 3:59 - 4:03
    devant ce manuel d'histoire,
    de littérature, de géologie,
  • 4:05 - 4:07
    à maudire la terre entière,
    à maudire les profs
  • 4:08 - 4:10
    qui nous font apprendre des choses
  • 4:10 - 4:13
    qu'on peut sans doute trouver
    tranquillement sur Internet,
  • 4:13 - 4:15
    quand on en aura besoin,
  • 4:15 - 4:17
    si jamais ça arrivait.
  • 4:18 - 4:22
    Et voilà que revient
    la question : « À quoi ça sert ? »
  • 4:23 - 4:27
    Aujourd'hui - en fait,
    depuis quelques années déjà -
  • 4:27 - 4:32
    l'heure est aux « partisans du moindre
    effort », surtout chez les jeunes.
  • 4:33 - 4:37
    On le lit tous les jours dans la presse,
    on l'entend à la radio
  • 4:38 - 4:40
    et en plus, les jeunes
  • 4:40 - 4:43
    ont l'impression que,
    pour trouver un emploi décent,
  • 4:43 - 4:44
    les études ne servent à rien.
  • 4:44 - 4:48
    Deux choses suffisent :
    la chance et une bonne recommandation.
  • 4:48 - 4:49
    Pourquoi étudier, alors,
  • 4:50 - 4:53
    si ça ne sert à rien,
    alors qu'il suffirait d'apprendre
  • 4:53 - 4:57
    deux-trois trucs utiles
    pour trouver un emploi décent,
  • 4:57 - 5:00
    pas forcément intéressant,
    mais néanmoins un gagne-pain,
  • 5:00 - 5:03
    et le reste tu le trouves
    tranquillement sur Internet.
  • 5:05 - 5:07
    Nous vivons une époque
  • 5:07 - 5:11
    de très grande désillusion
    en ce qui concerne les études,
  • 5:11 - 5:13
    d'abord chez les jeunes,
  • 5:13 - 5:16
    qui voient l'école comme
  • 5:16 - 5:19
    un système antique, vieux,
    dépassé, préhistorique,
  • 5:19 - 5:22
    qui ne prépare pas à la « vraie vie » ;
  • 5:24 - 5:25
    mais aussi chez les adultes,
  • 5:25 - 5:29
    des parents qui sont
    de plus en plus inquiets
  • 5:29 - 5:32
    de trouver un emploi,
  • 5:32 - 5:35
    même un emploi peu ambitieux,
    à leurs enfants.
  • 5:36 - 5:40
    De ce fait, les inscriptions
    à l'université sont en forte baisse,
  • 5:40 - 5:43
    et le taux de décrochage scolaire
    est en hausse.
  • 5:44 - 5:47
    Et ça ne concerne pas uniquement
    les plus grands,
  • 5:47 - 5:49
    on s'inquiète aussi pour les plus jeunes,
  • 5:49 - 5:52
    ce qui fait qu'on leur apprend
    déjà les métiers de l'avenir.
  • 5:53 - 5:58
    Les enfants commencent à apprendre
    le chinois ou la programmation
  • 5:59 - 6:01
    au détriment de la géographie,
  • 6:01 - 6:03
    qui disparaît lentement de nos écoles.
  • 6:07 - 6:10
    Et donc, il me semble que l'unique raison
  • 6:11 - 6:15
    pour laquelle l'école
    existe encore de nos jours
  • 6:15 - 6:17
    est la suivante :
  • 6:18 - 6:23
    nous éduquons de futurs travailleurs
    plus que des personnes,
  • 6:25 - 6:27
    ça, c'est Internet qui s'en charge
  • 6:27 - 6:30
    tout en les cultivant
    avec ses vidéos, ses hashtags,
  • 6:31 - 6:34
    mais aussi ses fausses informations.
  • 6:36 - 6:40
    Et donc, le sujet que j'aimerais
    que tout le monde aborde à la maison,
  • 6:40 - 6:43
    et dont j'aimerais qu'on discute
    avec nos enfants, nos ados,
  • 6:43 - 6:47
    c'est comment on peut
    changer l'enseignement,
  • 6:47 - 6:53
    pour faire en sorte que les jeunes
    puissent renouer avec la culture ?
  • 6:54 - 6:55
    En réalité, on fait fausse route,
  • 6:55 - 6:59
    parce que nous ne devons pas changer
    les matières dites « traditionnelles ».
  • 7:00 - 7:07
    La géographie, la littérature,
    le latin ou la chimie, c'est très bien.
  • 7:08 - 7:10
    Je vous donne un exemple : aujourd'hui,
  • 7:11 - 7:14
    surtout ces derniers temps,
    vous l'avez sûrement senti -
  • 7:14 - 7:19
    nous vivons dans un climat de haine,
    de fracture sociale, de suprémacisme.
  • 7:21 - 7:23
    Si nous n'étudions pas l'histoire...
  • 7:24 - 7:26
    On voit ce qu'il s'est passé
    la dernière fois,
  • 7:26 - 7:29
    après un climat de haine
    ou de fracture sociale, de suprémacisme.
  • 7:31 - 7:35
    Non, les matières « traditionnelles »
    sont parfaites.
  • 7:35 - 7:38
    Nous devons adapter l'enseignement
  • 7:38 - 7:42
    pour faire en sorte que les jeunes
    puissent renouer avec la culture
  • 7:42 - 7:43
    avec ce qui nous a distingués
  • 7:43 - 7:46
    ces 20 dernières années,
    et qui a aussi caractérisé
  • 7:46 - 7:48
    le développement des jeunes,
  • 7:49 - 7:51
    à savoir les technologies numériques.
  • 7:53 - 7:57
    Je voudrais vous montrer
    un témoignage, une vision
  • 7:57 - 8:00
    que nous avons eue
    à l'école où je travaille,
  • 8:01 - 8:04
    de ce que pourrait être
    un cours dans l'avenir.
  • 8:04 - 8:08
    Nous l'avons nommé HOLODECK
    en référence à Star Trek.
  • 8:08 - 8:11
    Vous connaissez l'Enterprise ?
  • 8:11 - 8:12
    Le vaisseau spatial ?
  • 8:13 - 8:15
    Je pense que certains
    connaissent Star Trek !
  • 8:15 - 8:18
    OK. On pouvait entrer dans le Holodeck
  • 8:18 - 8:21
    et il créait des environnements virtuels
    en fonction de nos envies :
  • 8:21 - 8:24
    on était aux Maldives,
    sur une autre planète,
  • 8:24 - 8:25
    ce qu'on voulait.
  • 8:25 - 8:30
    Pour nous, Holodeck,
    c'est un cours en réalité virtuelle,
  • 8:31 - 8:34
    où chaque élève a son propre casque
  • 8:34 - 8:38
    et est en mesure d'assister
    à des cours habituels
  • 8:38 - 8:41
    comme l'astronomie,
    la chimie, les sciences,
  • 8:41 - 8:48
    mais aussi l'histoire et la géographie,
    en réalité augmentée grâce à la 3D.
  • 8:49 - 8:54
    En outre, les enfants peuvent se voir
    à l'intérieur de l'espace virtuel
  • 8:54 - 8:56
    et peuvent voir leurs mains,
  • 8:56 - 8:59
    et donc ils peuvent interagir
    avec les objets 3D.
  • 9:00 - 9:01
    Et donc,
  • 9:01 - 9:07
    nous n'allons pas modifier
    le contenu des apprentissages,
  • 9:07 - 9:12
    mais moderniser les méthodes
    d'enseignement.
  • 9:13 - 9:18
    En réalité, nous utilisons une technologie
    à laquelle ils sont bien plus habitués.
  • 9:18 - 9:20
    Un système d'enseignement
  • 9:20 - 9:24
    basé sur ce qu'ils voient tous les jours :
  • 9:25 - 9:27
    les images en mouvement.
  • 9:29 - 9:34
    Aujourd'hui on pensait pouvoir
    vous faire une démo d'Holodeck,
  • 9:34 - 9:37
    grâce à la technologie de cette salle.
  • 9:38 - 9:40
    Ça aurait fait son petit effet.
  • 9:41 - 9:46
    Malheureusement, il y a quelques jours
    la direction du musée M9 nous a dit
  • 9:46 - 9:52
    que cette salle n'est plus adaptée
    à ce genre de démo.
  • 9:52 - 9:57
    Je suis sincèrement désolé,
  • 9:57 - 10:01
    et je vous demande de vous fier simplement
    à ce que vous venez de voir
  • 10:01 - 10:03
    et à me croire sur parole
  • 10:03 - 10:06
    quand je vous dis que cette technologie
    est incroyable.
  • 10:07 - 10:10
    N'hésitez à venir la tester,
  • 10:10 - 10:13
    quand vous le voulez,
    directement à Big Rock,
  • 10:14 - 10:16
    là-bas, les casques fonctionnent.
  • 10:16 - 10:17
    (Rires)
  • 10:18 - 10:22
    Holodeck n'en est qu'à sa période d'essai,
  • 10:22 - 10:25
    nous ne prétendons pas
    en faire l'école de l'avenir,
  • 10:25 - 10:27
    mais on aimerait pouvoir l'intégrer
  • 10:27 - 10:30
    au système de cours existant,
  • 10:30 - 10:32
    comme un laboratoire,
  • 10:32 - 10:34
    comme un laboratoire d'art ou de sciences
  • 10:34 - 10:36
    déjà présents dans les écoles.
  • 10:36 - 10:38
    Imaginez une heure d'astronomie,
  • 10:38 - 10:43
    une heure de géographie,
    une heure d'histoire ou de chimie,
  • 10:44 - 10:48
    une heure de cours par semaine
    passée à l'intérieur d'Holodeck.
  • 10:48 - 10:50
    Ce serait incroyable.
  • 10:50 - 10:52
    Il a été scientifiquement prouvé
  • 10:52 - 10:57
    que quand un élève suit
    un cours interactif,
  • 10:57 - 10:59
    où il est amené à interagir
    avec ses mains,
  • 11:00 - 11:02
    ses neurones s'activent beaucoup plus.
  • 11:02 - 11:07
    Ainsi, un cours interactif
    est beaucoup plus efficace.
  • 11:09 - 11:11
    Nous devons recommencer,
  • 11:11 - 11:15
    ou plutôt nous devons commencer
    à utiliser les nouvelles technologies
  • 11:17 - 11:22
    pour redonner aux élèves
    l'amour de la culture
  • 11:22 - 11:26
    et nous devons apprendre à utiliser
    les technologies qu'ils ont déjà.
  • 11:26 - 11:31
    YouTube, qu'on considérait au départ
    comme une absurdité parmi tant d'autres,
  • 11:31 - 11:34
    possède un tas de vidéos sympa
    et extrêmement instructives,
  • 11:34 - 11:35
    les vidéos TED en tête.
  • 11:35 - 11:37
    (Rires)
  • 11:37 - 11:41
    OK pour enseigner la programmation
    aux enfants, si cela fait sens,
  • 11:41 - 11:46
    que ça leur apprenne comment fonctionne
    logiquement un ordinateur,
  • 11:46 - 11:48
    de sorte qu'ils puissent
    apprendre à raisonner
  • 11:48 - 11:51
    de façon critique et logique.
  • 11:53 - 12:00
    Mais surtout nous devons
    réapprendre à nos enfants à rêver,
  • 12:01 - 12:06
    à rêver à la personne
    qu’ils voudront devenir plus tard
  • 12:06 - 12:08
    et ce grâce aux nouvelles technologies.
  • 12:08 - 12:10
    Nous devons leur faire aimer la culture,
  • 12:10 - 12:14
    car seule la culture les fera mûrir.
  • 12:17 - 12:23
    Une étude réalisée par LEGO auprès de
    3 000 enfants a montré qu'à la question :
  • 12:24 - 12:28
    « Qu'est-ce que tu veux
    faire quand tu seras grand ? »,
  • 12:29 - 12:33
    plus d'un tiers d'entre eux a déclaré
    vouloir devenir youtubeur,
  • 12:34 - 12:35
    plutôt qu'astronaute.
  • 12:37 - 12:38
    Et c'est très inquiétant.
  • 12:39 - 12:42
    À un moment comme celui-ci,
    où nous allons affronter
  • 12:42 - 12:47
    un des changements climatiques les
    plus catastrophiques de notre histoire,
  • 12:47 - 12:51
    ce ne sont pas des youtubeurs
    qu'il nous faut, mais des scientifiques.
  • 12:51 - 12:54
    Nous avons besoin de médecins,
    d'architectes,
  • 12:54 - 12:57
    nous avons besoin
    de bons dirigeants politiques.
  • 12:57 - 12:59
    Nous avons besoin de tous ces héros
  • 13:00 - 13:03
    qui grâce à leur culture et à leur savoir
  • 13:03 - 13:06
    peuvent corriger les erreurs du passé
  • 13:07 - 13:11
    et tenter de faire quelque chose
    pour soigner cette planète.
  • 13:12 - 13:16
    Ou si ce n'est pas possible,
    trouver une solution pour la quitter.
  • 13:17 - 13:20
    D'où l'importance des astronautes.
  • 13:21 - 13:25
    Je souhaite qu'à la prochaine rentrée,
  • 13:25 - 13:30
    nous puissions tous rappeler
    à nos ados, à nos enfants,
  • 13:30 - 13:35
    pourquoi ils vont à l'école,
    pourquoi ils étudient.
  • 13:35 - 13:39
    Rappelons-leur de rêver
    d'un avenir meilleur
  • 13:40 - 13:43
    ou d'être inspirés par d'autres rêveurs.
  • 13:44 - 13:46
    Et bien travailler, se cultiver,
  • 13:46 - 13:50
    et pouvoir véritablement
    réaliser ces rêves.
  • 13:51 - 13:55
    Ces deux aspects sont déterminants,
    à l'heure actuelle.
  • 13:57 - 13:59
    Le reste, ça n'en vaut pas la peine.
  • 14:00 - 14:01
    Merci.
  • 14:01 - 14:04
    (Applaudissements)
Title:
L'école du futur, c'est maintenant | Lorenzo Busi | TEDxMestre
Description:

Lorenzo Busi est le chargé de communication et directeur de création de BigRock, la plus grande école d'infographie d'Italie, qui fait partie depuis peu du groupe H-FARM Education. À une époque où l'information occupe le devant de la scène, et où l'accès rapide aux informations est devenu une priorité, il nous explique comment se développent de nouveaux systèmes éducatifs qui utilisent les technologies numériques pour rétablir le lien entre les jeunes et la culture, les éduquer à la beauté et en faire des personnes capables de poursuivre leurs rêves.

Cette présentation a été donnée lors d'un événement TEDx local utilisant le format des conférences TED mais organisé indépendamment. En savoir plus : http://ted.com/tedx

Lorenzo Busi est le chargé de communication et directeur de création de BigRock, la plus grande école d'infographie d'Italie, qui fait partie depuis peu du groupe H-FARM Education. Passionné depuis toujours par le cinéma et les voyages, il obtient un diplôme en Arts visuels et arts du spectacle, à Venise. Il se spécialise par la suite en animation 3D à BigRock, où il décide de rester. Il gère aujourd'hui l'image et la communication de l'école.

Cette présentation a été donnée lors d'un événement TEDx local utilisant le format des conférences TED mais organisé indépendamment. En savoir plus : http://ted.com/tedx

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Video Language:
Italian
Team:
closed TED
Project:
TEDxTalks
Duration:
14:12

French subtitles

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