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Oh, ma douce souffrance !
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Pourquoi s'acharner ? Tu recommences.
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Je ne suis qu'un être sans importance.
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Sans lui, je suis un peu paro (= névrosée).
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Je déambule seule dans le métro.
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Une derniere danse
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pour oublier ma peine immense.
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Je veux m'enfuir, que tout recommence.
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Oh, ma douce souffrance !
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Je remue le ciel, le jour, la nuit.
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Je danse avec le vent, la pluie.
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Un peu d'amour, un brin de miel
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et je danse, danse, danse,
danse, danse, danse, danse.
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Et dans le bruit, je cours et j'ai peur.
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Est-ce mon tour?
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Vient la douleur.
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Dans tout Paris, je m'abandonne
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et je m'envole, vole, vole,
vole, vole, vole.
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Que d’espérance...
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Sur ce chemin en ton absence,
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j'ai beau trimer.
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Sans toi, ma vie n'est qu'un décor
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qui brille, vide de sens.
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Je remue le ciel, le jour, la nuit.
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Je danse avec le vent, la pluie.
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Un peu d'amour, un brin de miel
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et je danse, danse, danse,
danse, danse, danse, danse.
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Et dans le bruit, je cours et j'ai peur.
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Est-ce mon tour ?
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Vient la douleur.
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Dans tout Paris, je m'abandonne
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et je m'envole, vole, vole,
vole, vole, vole.
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Dans cette douce souffrance
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dont j'ai payé toutes les offenses,
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écoute comme mon cœur est immense.
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Je suis une enfant du monde.
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Je remue le ciel, le jour, la nuit.
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Je danse avec le vent, la pluie.
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Un peu d'amour, un brin de miel
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et je danse, danse, danse,
danse, danse, danse, danse.
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Et dans le bruit, je cours et j'ai peur.
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Est-ce mon tour ?
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Vient la douleur.
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Dans tout Paris, je m'abandonne
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et je m'envole, vole, vole,
vole, vole, vole, vole...