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J'ai pas l'habitude de danser
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dans le noir, le vendredi soir,
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déguisé, noyé dans la fumée.
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J'ai pas l'attitude pour briller,
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aller te chercher.
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Mes mains sont glacées.
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Inutile d'insister.
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C'est pas l'altitude qui me fait dévier,
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coincé dans ma fusée,
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trajectoire inclinée.
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Je te regarde bouger.
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Ce n'est pas la peine
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de t'accrocher à l'orage.
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Il n'est que de passage,
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comme les vagues qui repartent au large.
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Ce n'est pas la peine
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de vouloir figer l'image.
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Ce n'est qu'un mirage,
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comme les vagues qui miroitent au large.
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J'ai pas l'habitude de danser,
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presque d'y croire,
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le vendredi soir, déguisé,
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en ombre dans la fumée.
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J'ai pas l'attitude qui fait tilter.
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Coincé dans ma télé,
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je te regarde bouger.
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Ce n'est pas la peine
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de t'accrocher à l'orage.
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Il n'est que de passage,
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comme les vagues qui repartent au large.
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Ce n'est pas la peine
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de vouloir figer l'image.
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Ce n'est qu'un mirage,
-
comme les vagues qui miroitent au large.
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Ce n'est pas la peine
(Dans la nébuleuse, j'ai cru voir…)
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de t'accrocher à l'orage.
(… ton ombre sur le papier…)
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Il n'est que de passage,
(… comme un mouvement télécommandé)
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comme les vagues qui repartent au large.
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Ce n'est pas la peine
(Dans la nébuleuse, j'ai cru voir…)
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de vouloir figer l'image.
(… ton ombre s'étirer sur le côté…)
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Ce n'est qu'un mirage,
(… comme un mouvement télécommandé)
