Hitman, and the Art of Repetition | Game Maker's Toolkit

Bonjour, vous regardez Game Maker's Toolkit. Je suis Mark Brown

Mon premier essai de la mission à Sapienza dans Hitman 2016 était un désastre

Ma mission était de tuer 2 personnes - Silvo Caruso et Francesca De Santis - et detruire

un virus. Mais j'ai du tuer un garde. Et cette femme qui a vu le corps. Et

ce mec. Et ce mec. Et ce mec. J'ai lâché une cloche d'église sur un prêtre. J'ai tué cette femme.

Je me suis fait arrêté. Puis descendu.

J'ai fini la mission, après avoir chargé une sauvegarde précédente. Alors vous inquiétez pas, le monde est

à présent un endroit plus sûr. Mais je ne décrirais pas ma performance comme "brillante". Je ne me sentais

pas comme le tueur méticuleux vu dans les bandes-annonce classes de synthèse de Hitman.

Et c'est un défi que beaucoup de game designers ont : Si le personnage principal est supposé

être un expert dans un domaine, ou surnaturellement doué, comment faites vous pour que le joueur se sente

aussi intelligent, aussi rapide ou aussi fort que le protagoniste à l'écran ?

Une solution peut être trouvé dans les jeux Arkham, où le mode détective, qui vous laisse voir

à travers les murs, est supposé vous donner les mêmes pouvoirs d'observation que Batman.

Dans Mirror's Edge, vous avez la vision du Runner qui met en surbrillance les objets interactifs en rouge - ce qui

est designé pour imiter la façon dont Faith, l'experte en parkout, voit le monde.

Et dans Red Dead Redemption, John Marston peut ralentir le temps pour que le joueur se sente comme

un cowboy flingeur classe.

Mais Hitman arrive à ce but d'une manière différente. Quelque chose qui est habituellement vu comme

négatif dans le game design. Il vous faire sentir comme l'agent 47 au travers de la répétition.

Durant votre premier essai de la mission, vous allez inévitablement galérer sur des opportunités

et des idées dont vous n'avez pas pris avantage - et ils vous encourageront de réessayer la

mission à nouveau.

Et IO Interactive s'assure que ça arrive plusieurs fois.

Premièrement, il vous laisse voir quels accessoires ont utilisable - même si vous n'avez pas

le bon outil. Donc, si vous marchez à côté des balles de golf de Caruso, vous verrez "Mettre balle de golf, Balle

de golf explosive manquante". Personne ne peut éviter la tentation de revenir dans une seconde partie

pour essayer ce meurtre.

Alors qu'il n'y a qu'une seule balle explosive dans Sapienza, d'autres objets ont des duplicatifs pour

augmenter les chances que que vous bloquiez dessus.

Vous pouvez trouver des spaghettis périmés dans au moins 2 endroits, et ils offrent tous deux la possibilité

d'empoisonner quelqu'un.

Et cette poudre à canon dans l'observatoire sert à faire un coup de coude pour aller voir les canons antiques

au fort. Il y a un sac de poudre à canon à côté des canons au fort, alors la première

n'est pas vraiment utile. Elle servait juste à vous pousser dans la bonne direction.

Et des opportunités peuvent expirer. L’habilité de piéger quelqu'un en se faisant passer pour mort

dans la morgue passera si vous êtes pas assez rapide - mais vous saurez quoi faire la prochaine fois.

Donc, tous ces détails - ces opportunités, accessoires, outils et accidents - vous encourage

à rejouer le niveau encore. Et encore. Et encore. Et vous voudrez finir la mission d'une

façon unique chaque fois, déjà parce que c'est ennuyeux de faire le même meurtre deux fois, mais vous

débloquez également de nouveaux jouets, points de départ et d'autres points d'entrés en completant

d'autres objectifs.

Tout ce temps, avec chaque essai, chaque assassinat créatif, et chaque sortie, vous

apprenez.

Vous apprenez le niveau. Vous savez que vous pouvez rentrer dans le manoir en tombant

là, ou en montant ici, ou en entrant par cette fenêtre, ou en passant par la jetée, ou en utilisant

une carte d'accès, ou en explosant ce mur, ou juste en marchant par devant.

Vous apprenez à prévoir les déplacement des cibles. Vous savez que Francesca va descendre au

laboratoire par elle-même si le virus est détruit, ou que Caruso va aller à l'observatoire

si le toit est ouvert.

Vous apprenez que tels déguisements vous permettront d'aller dans telle partie du manoir, des manières de séparer

les cibles de leurs gardes, où trouver les clés et cartes d'accès, et quelles sorties vous pouvez

prendre.

Vous connaissance étendue de la manière le niveau marche passe, de la même manière qu'un Jour Sans Fin,

d'une répétition surréaliste des événements, mais cette connaissance avancée aide à fermer l'écart de compétences entre

vous et l'Agent 47, et vous transforme en un agent de la mort intriguant, capable de parfaitement faire des

meurtres discrets, ou faire passer un meurtre comme un accident.

Alors éventuellement, après avoir épuisé la plupart des options du niveau, vous pourriez vous tourner

vers les défis. Comme le tireur d'élite assassin, ou vous devez tuer les cibles

avec un fusil de sniper. Ou assassin silencieux, où vous devez uniquement tuer les cibles, cacher

leur corps, et ne pas avoir été vu en faisant ces actions.

Cela transforme le jeu en un puzzle fou et compliqué pour trouver quels meurtres

précis, quelles routes, et quels déguisements vous pourriez utiliser pour avoir ces défis bonus cinglés.

Donc, lors de mon 6e ou 7e essai du niveau, je suis parti pour faire l'assassin silencieux, et fait beaucoup mieux.

J'ai volé la tenue de travail d'un mec, empoisonné Caruso avec les spaghettis périmés, puis l'ai étranglé et caché

le corps. J'ai échangé les cigarettes de Francesca avec du canabis, puis l'ai noyée dans les

toilettes quand elle est partie vomir. Puis j'ai distrait les techniciens du laboratoire

et surchauffé le virus pour le détruire.

Cet assassinat silencieux et brillant était incroyable. Et j'ai eu un très bon score. Et

ce fut uniquement possible parce que j'ai accumulé assez de connaissances à propos de Sapienza en y jouant

tellement de fois.

Pas en échouant - je pourrais ajouter. Dans des jeux comme Dark Souls, vous échouez à une section, puis

vous recommencez jusqu'à réussir. Dans Hitman, vous réussissez la mission, puis la répétez jusqu'à

que vous l'ayez fini de la façon la plus satisfaisante.

Donc, ma première partie de Sapienza était un désastre, mais j'ai fini la mission et eu

beaucoup de plaisir de cette manière. Et après, ce fut aussi fun quand j'ai essayé des méthodes folles

pour tuer mes cibles, poussé les limites de l'IA, et amélioré mes façons de m'enfuir

avec mes meurtres.

Des joueurs vont même plus loin, avec leurs propres défis, comme ce type qui a tué

les 2 cibles avec une chaîne d'explosion ridicule.

Et puis, quand vous connaissez le niveau si bien, que vous pourriez tuer les cibles les

yeux fermé. IO Interactive va plus loin.

Les fugitifs, qui restent 48 heures et vous donnent une seule chance pour les assassiner,

augmentent les enjeux qui étaient perdus pendant que vous vous familiarisez à jouer la mission.

Et d'autres missions bonus, comme le défi de l'escalade à 5 étapes, et les contrats par les joueurs

sont placés dans les endroits que vous connaissez désormais si bien, mais avec de nouvelles cibles imprévisibles.

Ce qui fait que vous vous sentez comme un tueur silencieux et intriguant, avec une habilité surnaturelle de voir

des opportunités pour assassiner dans chaque coin du monde - mais vous aurez toujours besoin d'improviser

et d'être raisonnable, et il y a de lourds enjeux si vous échouez. Ce qui vous fait sentir comme, vous savez...

...Cet homme.

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