Il faut beaucoup de courage aux survivants pour s’exprimer et raconter leur histoire. D'abord, ils ont peur que les trafiquants les retrouvent, mais aussi, ça évoque beaucoup de souvenirs vraiment très durs. Et donc je me sens privilégiée de pouvoir entendre l'histoire d'un survivant et sachez que rien qu'en racontant leur histoire, ils me font sassez confiance pour la partager pour eux. (Musique) Je m'appelle Lorena. Je viens des Philippines. Je m'appelle Othaya Kante Saldado. Je suis du Sri Lanka. Je m'appelle Thige. Je viens d'Érythrée, Asmara. Je m'appelle Flore et je viens de Pablo au Mexique.