« Si vous voulez connaître
les secrets de l'univers,
pensez en termes
de fréquence et de vibration »
disait Nikola Tesla.
J'ai compris le sens de cette phrase,
il y a à peu près vingt ans,
quand en 1989,
j'ai découvert
l'influence de la musique
sur les végétaux et sur les animaux.
J'ai eu la chance pour cela de grandir
dans une exploitation agricole
qui m'a permis de faire
mes petites expériences.
Et très tôt,
je commence, dès l'âge de 16 ans,
à faire des expériences sur les animaux
en diffusant de la musique de variétés.
J'obtiens peu de résultats satisfaisants.
Plus tard,
j'entreprends d'autres [expériences]
qui me donneront finalement
beaucoup, beaucoup de satisfaction,
puisque j'utilise la musique
de Beethoven et de Mozart,
à raison de deux heures par jour
sur des groupes de douze,
et très vite, j'obtiens
des résultats étonnants.
Les animaux sont plus zen, plus joueurs.
Ils cherchent beaucoup plus facilement
le contact de l'homme.
Quant au lait,
il est de meilleure qualité,
plus abondant.
Les végétaux sont plus denses,
plus éclatants, plus florissants.
Poussé par ces petites réussites,
je continue à faire des recherches.
J'emploie ensuite des musiques
de méditation et d'ambiance,
et là encore, je tombe vraiment
sur des résultats étonnants.
Les animaux recherchent de façon
systématique le contact de l'homme.
Ils sont vraiment beaucoup
plus doux dans leurs comportements.
En général, ils ont un poil
beaucoup plus brillant.
Il y a vraiment quelque chose
qui change avec ces musiques.
À un moment donné, je me demande
pourquoi certaines musiques fonctionnent ?
Parce que je m'aperçois qu'avec certaines
musiques, ils sont agressifs, agités,
voire
ont des comportements
presque dangereux avec l'homme.
Alors, je m'interroge vraiment : pourquoi
certaines musiques et pas d'autres ?
Et là, par le plus grand
des hasards, en 1999,
j'écoute une fois de plus
un morceau de John Lennon,
et je découvre que le la
est accordé à 432.
Comment se fait-il ?
Nos musiques d'aujourd'hui
sont accordées à 440.
Je cherche, j'essaie de trouver
des correspondances,
et je m'aperçois qu'au fil des siècles,
on a beaucoup modifié
les fréquences musicales.
En cherchant toujours,
je m'aperçois que finalement en 440,
je ne trouve rien
qui me donne du résultat,
en tous les cas, sur le plan
de la connaissance
du lien entre l'homme et la fréquence 440.
Par contre, j'en trouve beaucoup en 432.
J'en trouve énormément.
Je vais vous parler de la première
que j'ai trouvée.
Quand on accorde la musique à 432,
le sol est à 384 Hz.
Quand on sait que la fréquence
de l'oxygène est 384 Hz,
et qu'en agriculture, on aère le sol
pour lui donner de l'oxygène,
pour qu'il respire,
que ça pousse mieux,
et qu'il s'appelle aussi « sol »,
ce n'est quand même pas banal.
La deuxième,
c'est que quand on accorde à 432,
le do, lui, est à 256 Hz,
qui correspond à la fréquence de résonance
de l'assimilation chlorophyllienne.
Là aussi, le lien est intéressant.
Si je continue dans un autre domaine,
on s'aperçoit que la pyramide de Khéops
est de 432 unités terrestres,
au niveau de la base, qui était
l'unité de mesure à l'époque.
Si on continue,
on s'aperçoit que, par exemple,
la pyramide de Teotihuacan
est de 864 uts -
qui était aussi l'unité
de mesure à l'époque -
qui est donc [le double] de 432.
Si on s'arrête au calendrier des Mayas,
dans le cycle de katun,
on a un cycle de 7 200 jours,
et si on extrait 72 de 7 200 jours,
on obtient un sixième de 432.
Pardon.
Dans le calendrier Vedas,
on a 432 000 ans.
Dans la Bible, on retrouve le chiffre 144
qui est aussi un harmonique du ré,
quand on accorde à 432.
La pulsation/minute d'un être humain,
quand il est idéalement au repos,
serait aussi de 72 pulsations/minute.
Donc, beaucoup de correspondances
sont mises en évidence.
Et si on parle de l'eau dont nous
sommes constitués :
nous sommes constitués d'eau
à plus de 70 %, ce qui n'est pas banal.
On sait - la science nous aide
beaucoup là-dessus -
que l'eau capte l'information.
Les premiers à mettre cela en évidence
sont le docteur Benveniste
et le docteur Emoto,
deux chercheurs scientifiques renommés
qui ont beaucoup travaillé sur l'eau.
Ils ont découvert que la fréquence 432
est qualifiée pour eux de « naturelle ».
Ils ont calculé les fréquences de résonance
des atomes et molécules dans la nature
et vérifié que l'oscillation à 432
était une oscillation qui correspondait
à la résonance de l'eau.
Donc, il est vraiment intéressant
de découvrir ces recherches.
Ce qui est aussi passionnant,
c'est que, quand on écoute
cette musique à 432,
elle est légèrement plus douce.
Elle a un son plus relaxant.
Il n'y a pas beaucoup de différence
mais elle a un son plus doux,
c'est plus relaxant.
Quand on écoute à 440,
ça crispe légèrement le corps
et progressivement...
D'ailleurs, c'est sans doute pour ça
que certains biologistes ont dit
qu'il y a un désaccord
entre le macrocosme et le microcosme
quand on accorde à 440.
Alors moi, je me suis équipé d'appareils
pour photographier l'énergie des gens,
en fonction des musiques qu'ils écoutent.
Là, c'est ma fille
qui est sur la partie sombre,
du côté droit.
Là, elle écoute une musique à 440.
Et sur la droite,
elle écoute une musique,
je crois que c'était le Canon
de Pachelbel si je me souviens bien.
Vous voyez, son aura
n'est pas du tout la même.
La musique a vraiment un impact sur nous,
et beaucoup d'impact sur les végétaux,
car je fais aussi pousser
des végétaux de toutes sortes.
Voilà ce que ça peut
donner sur une carotte.
Ceci est une carotte qui a poussé
avec de la musique normale.
(Rires)
Et ceci est une carotte qui a poussé avec
de la musique anormale, on pourrait dire.
Voilà, ça fait des carottes difformes.
J'ai pris des extrêmes.
Elle paraît peut-être
un peu esseulée, là toute seule,
mais elle est beaucoup plus grosse,
et n'a rien à voir avec l'autre
qui est, en plus, un peu malade.
Parfois, ça donne
des carottes très petites,
pas très jolies,
mais généralement, diffusée
à raison de 2 heures par jour,
voilà ce qu'on obtient.
On peut photographier aussi
l'énergie que les plantes dégagent.
Il faut savoir que les plantes
dégagent une énergie,
c'est quelque chose de vivant -
ceux qui ont la main verte
doivent le savoir.
Voilà ce que ça dégage sur une plante,
en fréquence à 440, à droite,
et en 432 à gauche.
Cette énergie en général, aujourd'hui,
on la mesure avec différents appareils.
Là, on la photographie.
Si vous vous arrêtez un instant
sur la musique à 432,
vous verrez que vous vous sentirez mieux.
D'ailleurs, toutes les musiques
qui ont été faites en 432
ont, en général, été faites
par des chanteurs très populaires,
et apportent vraiment un bien-être
constant et régulier.
En général, ce sont des morceaux
qu'on a beaucoup écoutés.
Je parlerai de ça juste parce que c'est
quelque chose que je trouve important.
Ça, c'est un appareil
qui photographie les énergies.
Il faut savoir que
quand vous êtes en colère,
que vous n'êtes pas bien,
vous êtes triste,
on a ce qu'on appelle :
« une énergie photonique. »
On [émet] des photons en permanence,
particulièrement au niveau du visage.
en permanence.
Si vous êtes triste, pas bien,
que vous n'avez pas la pêche,
vous allez avoir plutôt
une couleur rouge sombre.
Donc, vous êtes
vibratoirement assez bas.
Par contre, si vous êtes bien,
vous êtes en forme, gai,
tout s'est bien passé dans votre journée,
vous allez avoir une couleur bleue.
Ça, c'est ma fille, sur le premier cliché,
qui venait de se prendre
la tête avec son frère.
Dans le premier cliché, sur la gauche,
elle commence à marronner,
elle n'est pas bien.
Dans celui du centre, elle pleurait,
elle avait envie de le taper, etc.
Vous voyez une zone rouge
autour de son visage, qui apparaît,
et quand elle va bien -
on a parlé un petit peu -
une zone bleue apparaît
au niveau de son visage,
aussi quand tout va bien,
quand la personne est plus détendue
et qu'elle a fini par lâcher.
Donc, nos attitudes dégagent
une énergie, une couleur.
On peut le mesurer aujourd'hui
par des tas de tests.
C'est assez intéressant de le découvrir.
Pour les végétaux, c'est la même chose.
Sachez qu'un végétal,
c'est quelque chose de vivant.
Le premier à le découvrir,
c'était Popp en 1975.
Il avait découvert qu'un végétal,
si vous l'agressez,
va automatiquement enclencher
un système de rayonnement lumineux
comme système d'auto-défense.
Là, j'ai pris un cliché avant l'agression
du végétal, sur la gauche.
Et vous avez ensuite
un cliché, sur la droite,
où il y a toute une brillance
au-dessus du végétal.
Vous voyez sur la gauche,
ce n'est pas tellement brillant,
c'est plutôt vert.
Sur la droite, c'est brillant,
c'est vraiment l'énergie lumineuse.
J'ai coupé devant,
avec un tempérament agressif,
et voilà ce que ça a dégagé
comme rayonnement lumineux.
Donc, nos comportements sur les végétaux,
sur les animaux aussi,
et sur les gens bien évidemment,
ont une influence, et on peut aujourd'hui,
le mesurer et le démontrer.
J'ai fait pas mal d'expériences.
J'ai découvert qu'on pouvait tuer,
qu'on pouvait faire végéter,
qu'on pouvait rendre florissant,
qu'on pouvait vraiment rendre éclatant,
en fonction des types de musique
qu'on diffusait sur les animaux
et sur les végétaux.
Je n'ai pas fait beaucoup d'essais
sur les humains mais sur les animaux.
Cependant, je peux vous dire
que c'est assez sidérant.
C'est incroyable ce que cela
peut faire sur un humain.
Car j'ai fait récemment
[l'expérience] sur un humain,
après l'avoir faite sur un végétal.
Je n'en ai pas fait beaucoup mais le peu
que nous avons réalisé
est assez impressionnant.
Donc, soyez vigilant concernant
la musique que vous écoutez !
Ce que je peux dire, c'est que,
comme vous le savez,
on a sept centres énergétiques
qui sont reliés à sept notes :
do, ré, mi, fa, sol, la, si,
et ces sept notes
correspondent à un organe.
Chaque organe a aussi sa propre fréquence
et une fréquence donnée.
Ce que l'on sait moins, c'est que chaque
acide aminé a aussi sa propre fréquence.
Il va se fixer sur le ribosome
en permanence,
toujours à la même fréquence d'accrochage.
Vous avez un morceau,
étudié par Eddy sur Theonoptie,
qui s'appelle le « Canon de Pachelbel. »
Alors, ce morceau-là,
je vais vous dire une chose :
écoutez-le tous les jours !
Pourquoi ?
Parce que ce morceau-là
a une particularité...
Sur notre chaîne polypeptidique,
on a à peu près 300 acides aminés.
On en a besoin de huit primordialement,
dont on ne peut pas se passer.
Si on ne les a pas, il faut manger
équilibré, sinon on a des problèmes.
Ces huit-là,
c'est le seul morceau qu'on a trouvé,
qui nourrit vos huit
acides aminés essentiels,
en permanence.
Il est conçu de 8 tonalités correspondant
aux huit acides aminés chez l'homme.
Il est conçu aussi de telle manière
que si vous le prenez en cours,
c'est comme si vous
le repreniez depuis le départ.
Il a quatre couplets
avec des notes semblables.
C'est un puissant anti-stress.
Si vous n'êtes pas bien le soir,
en rentrant du travail,
écoutez-le.
Beaucoup le connaissent,
je pense que beaucoup ici l'ont écouté.
Il a aussi la particularité
de réguler le métabolisme.
Il active le circuit enzymatique.
Il stimule la protéine.
Ce morceau-là est génial,
il faut vraiment l'écouter.
Par contre,
il y a des musiques qui sont,
pour moi, de vraies [saletés],
et en général, les plus populaires.
(Rires)
Il y a un morceau, a contrario,
construit sur les mêmes principes
que le Canon de Pachelbel,
sur lequel vous avez tous
probablement dansé,
qui a été fait par Abba,
repris par Madonna, et plein d'autres.
Ce morceau s'appelle « Hang up »,
et quand vous l'écoutez,
il stimule les mêmes hormones
stimulées quand vous entrez
en forte dépression.
C'est une vraie [saleté].
(Rires)
Alors personnellement, ayant étudié
un petit peu aussi Mozart,
quand on étudie Mozart, on s'aperçoit
que ses derniers morceaux
ont la particularité d'appauvrir
énormément certains acides aminés,
surtout ses derniers morceaux, vraiment.
Et à l'époque, il est mort
d'une maladie du sang, une leucémie.
Pour moi - et c'est mon avis personnel -
je pense que Mozart s'est tué
avec sa musique.
Mais, c'est mon avis.
(Rires)
Parce qu'il appauvrit vraiment beaucoup
d'acides aminés, vraiment beaucoup.
D'ailleurs, quand on l'utilise
sur des plantes,
on s'aperçoit qu'elles
ne poussent pas beaucoup.
Elles ont plutôt tendance à végéter.
Donc, soyez vigilants
sur ce que vous écoutez.
Platon a dit : « Si vous voulez contrôler
le peuple, contrôlez sa musique. »
Je ne sais pas d'où il sortait ça,
mais il avait dit cette phrase.
On pourrait imaginer un monde
baigné en 432.
On serait certainement plus joyeux.
On serait certainement plus vivants.
On aurait certainement plus d'intuition.
Je suis convaincu
qu'on aurait plus d'intuition.
Globalement,
soyez vigilant sur les musiques
que vous écoutez,
et sur votre comportement,
car un bon comportement amène
à un taux vibratoire beaucoup plus élevé.
Vous émettez beaucoup
plus de bonnes ondes,
et automatiquement, vous faites
du bien autour de vous.
D'ailleurs, on dit de ces personnes
qu'elles « rayonnent ».
Et ça, c'est à la fois la musique
que vous entendez,
les conditions
dans lesquelles vous l'écoutez
et celles dans lesquelles vous êtes.
Donc, le son peut vous faire
vraiment beaucoup de bien,
vous épanouir, vous rendre joyeux,
vous structurer,
vous construire,
mais il peut aussi malheureusement
faire des choses négatives,
comme je vous l'ai dit.
Je vous remercie.
(Applaudissements)
Valérie Expert: Michel,
ce n'est pas prévu mais,
j'ai demandé à Emmanuel Cuche
s'il peut nous jouer quelques notes
du Canon de Pachelbel.
Je pense que tous
ne connaissent pas cette musique,
et on a envie de prendre
des acides aminés.
Ce n'était pas prévu mais je pense
que ça fera plaisir à Emmanuel,
juste quelques mesures,
car il m'a que dit ça allait être long.
C'est une bonne idée, non ?
(Applaudissements)
Et ça va nous faire du bien.
M.G. : Mais beaucoup le connaissent.
V.E. : Oui.
Juste les premiers accords,
pour ceux qui ne connaissent pas.
(Musique)
Voilà! La suite, chez vous.
(Applaudissements)