Y a des peines qu'on ne peut écrire,
des mots qu'on sait pas dire.
J'essaye, mais je t'aime en silence,
par pudeur ou par fierté des sentiments.
Mais oui, je navigue à contresens.
J'ai le coeur qui fait mal,
une douleur qui s'enflamme
que même l'ivresse ne soigne pas.
Chéri, j'ai le vague à l'âme.
Tu me manques. Oui, j'ai mal,
mais je te rappellerai même pas.
Et le temps s'en va. Oui, le temps s'en va
et je ne parle pas.
Oui, la vie sans toi m'a laissé sans voix,
donc je te le dirai même pas.
Car je t'aime, je t'aime, à l'algérienne.
Je t'aime, je t'aime,
mais sans te dire "Je t'aime".
Oui je t'aime, je t'aime, à l'algérienne.
Je t'aime, je t'aime,
sans te dire "Je t'aime".
Si il n'y a que des preuves d'amour,
pour toi je ferai la guerre,
pour vivre en paix dans tes bras.
Je ne crie jamais au secours.
Pour ça, je suis trop fière,
même si ça m'éloigne de toi.
Quand il faut parler d'amour,
je prends le large,
comme bouteille à la mer.
Ne pense pas que mon coeur est sourd.
Quand tu souffres, je souffre avec toi [DZ].
Et le temps s'en va. Oui, le temps s'en va
et je ne parle pas.
Et la vie sans toi m'a laissé sans voix,
donc je te le dirai même pas.
Car je t'aime, je t'aime, à l'algérienne.
Je t'aime, je t'aime,
mais sans te dire "Je t'aime".
Oui, je t'aime, je t'aime, à l'algérienne.
Je t'aime, je t'aime,
sans te dire "Je t'aime".