Alors ? Tu t'es habitué à ta nouvelle maison ?
Là bas c'est comme ta maison maintenant.
Tu t'habituerais dans 2-3 jours.
On s'habitue plus facilement aux nouveautés quand on est jeune.
Mais tes proches m'ont surprise...
Ils auraient au moins du penser à leurs réputation et te garder.
Ils t'ont laissé à l'orphelinat...
Bref.
Ton père avait payé le tarif de cette année.
Mais je ne sais pas ce qui se passerais l'année prochaine.
T'es presque au bout de la porte je te préviens.
Tu vas dire que je suis méchante, mais...comment a fait ton père pour faire couler autant d'argents?
C'est de l’idioterie.
D'accord, disons qu'il s'est suicidé, mais qu'est ce qu'il a voulu de ta mère ?
Vous êtes dans les 3èmes pages dans les journaux.
Comment une famille élite comme vous-
Ca suffis !
Mon père n'est pas un monstre ! Il est pas idiot non plus, tu comprend ?
Tout ça c'était un accident, totalement un accident !
Je crois que tu oublie qui tu as en face de toi !
Tu n'es plus une princesse, arrête tes gamineries.
Sinon...
Sinon quoi tante Nazan ?
On te mettra devant la porte.
De plus, à partir de maintenant tu ne vas plus m’appeler "tante Nazan".
Tu vas dire "Madame Nazan".
Je comprend madame Nazan.
Irrespectueuse !
Tu commence déjà a les ressembler !
Les filles, c'est sa mère ou son père qui est mort ?
Les deux.
Vous n'avez pas besoin de chuchoter !
Oui, mon père s'est tiré dessus, mais il a d'abord tué ma mère.
Qu'est ce qu'il y'a ? Tu as peur ?
Personne n'a voulus de moi.
Et moi je suis tomber à l'orphelinat.
Quel histoire triste n'est ce pas ?
Parle !
Tu es triste pour moi ?
Ca vous choque ?
Vous avez pitié de moi ?
Parle !
Parlez !
Avant vous ne vous sépariez pas de mon c**.
"Cemré est amusante"; "Cemré est populaire"; "appelons Cemré à la fête aussi".
Qu'est ce qu'il y'a eu ?
Qu'est ce qu'il y'a eu ? On est comme ça maintenant ?
Ca ne trouve que moi ce genre de chose ?
Toi !
Ton père n'a pas fait une crise cardiaque dans les bras de sa maîtresse ?
Non, c'est pas vrai.
Essai de te mentir toute seule.
Tout le monde s'est ce qui s'est passé, ils n'osent pas te le dire.
Vous êtes tellement dégueulasse...
Je vous déteste tous !
C'est comme une blague.
Elle vis vraiment en orphelinat ?
Oui, avec elles.
Personne n'a voulus d'elle, elle a été obligé.
La pauvre.
Defné ça suffis !
C'est faux ?
Ton grand frère t’engueule .
Quel grand frère ? Il est plus grand de 5 minutes seulement.
Cemré n'était pas super riche ?
T'es conne ? Ils ont fait faillite elle a même plus une pièce.
Elle est là.
C'est rempli.
Rempli ?
C'est Mervé qui s’assoit à côté de moi maintenant.
Excuse moi.
Cemré viens t'asseoir à côté de moi.
Ma chérie, les filles de pensionnat c'est par là.
Viens.
Où tu vas ?
Vous êtes des humains vous ?
Je crache sur vos amitiés.
C'est nous les coupables ? C'est nous qui avons tué vos parents ?
C'est nous qui vous a laissé à l’orphelinat ?
Ta geule ou je te frappe !
Laisse tomber.
Saviez vous les amies que...certaines se sont leurs propre mère qui les déposent à l'orphelinat.
Comme ils le disent "même si c'est mon enfant je l'aimerais pas".
Je vais te défoncer.
Comment tu parles à mon amie ?
Je vais te tuer.
Regarde les.
Arrête !
Pourquoi tu t'énerve ?
Ca existe ce genre de mère.
Il a raison.
Tu vois j'avais pas tord.
Je vais te tuer !
Si vous la laissez elle peux vraiment tuer, je dis ça je dis rien.
Laisse moi !
Je te laisse pas !
Je vais te tuer !
Tu comprend ?
Prenez la.
Ca suffis !
Vous deux allez directement dans le bureau du proviseur !
Pourquoi tu rigole ?
Cemré toutes mes condoléances.
Je demande pardon au nom de Defné.
Ta mère veux que je l'appel "madame Nazan".
Elles ont perdues leurs têtes.
Tu le sais, je suis toujours à tes côtés.
Qu'est ce qu'il y'a ?
Tu as pitié de moi ?
Regarde Serkan, ne me fais surtout pas ça.
Surtout pas !
Sommes nous pas amies ?
Laisse.
Tu ne vois pas à quel point elle souffre ?
Laisse la tranquille.
Je voulais lui parler.
Tu as pleuré ?
Ca ne te regarde pas.
Tu te prend pour un ange de gentillesse ?
Tu drague les filles comme ça ?
J'ai juste demandé.
Ne demande pas. Et laisse cette fille tranquille.
Cemré est mon ancienne amie.
Ancienne ? Ancienne quand elle tombe à l'orphelinat ?
Je n'ai pas voulus dire ça.
Pourquoi tu viens autant sur moi ?
Vous nous aviez accusé !
Moi je n'ai rien dis.
D'accord ?
Je le jure que j'ai rien dis.
C'est pire. Tu t'es tu comme un peureux.
D'accord. Je me suis tu, tu as raison, mais je ne suis pas aussi mauvais que tu le crois.
Tu vas le comprendre quand tu me connaîtra mieux.
Je ne veux pas te connaître.
Je te déteste, toi et tes amis.
Pourquoi tu me suis ?
Je vais en cours. Moi aussi je suis de ta classe.
Bien, d'accord.
Ca va aller où ?
Mange doucement tu vas t'étouffer.
Tu vas chez quelqu'un ?
On va aller rendre visite ma soeur.
Je vous dépose alors.
Non pas la peine, on peux aller.
J'ai un taxi, Hasan me l'a laissé tout à l'heure.
Ca se trouve où ?
Qu'est ce que tu vas faire de son lieu ?
Quand je demande tu me dis "pourquoi tu demande", quand je demande pas tu dis que je m'occupe pas de ta fille.
D'accord, allez y alors. Moi je sors.
Bon travail frère Kemal.
Allez ma fille, va te préparer.
Fais vite, vite.
Monsieur je vous dit que toute la classe est témoin, elle m'a attaqué d'un coup.
Donnez la en discipline.
Ca suffis.
On ne vire personne.
Ma fille tu abuse.
Vous n'êtes pas des enfants. On ne vous apprend pas les bagarres mais la paix ici.
Qu'est qu'elle en sait de la paix elle ? Ce sont des sauvages.
Elles sont comme les gros chats dans les documentaires.
Guney ça suffis.
Non, monsieur.
Guney a raison.
Ecoutez, parfois je n'arrive pas à me retenir.
C'est dû au fait que je n'ai pas eu d'éducation familial.
J'essaie beaucoup, mais...
Quand j'ai pas les bonnes bases...
Ne parle pas comme ça ma fille.
Pas grave monsieur, je me connais bien.
Si vous le souhaitez, je voudrais m'excuser de mon ami et faire la paix.
Tu ne vas pas serrer la main de ton amie ?
Tu cache une aiguille dans la main ?
Jamais, Guney.
Ne fessons pas perdre le temps de notre directeur.
Bravo ma fille. C'est très mature de reconnaître ses erreurs et de s'excuser.
Guney, vas tu pouvoir me pardonner ?
Bien, montrons notre maturité.
Maintenant allez directement en cours.
Ne revenez plus me voir comme ça.
Veuillez nous excuser monsieur. On a fait perdre votre temps.
Vous pouvez sortir.
Bon travail monsieur.
N'oublie pas de prendre tes clefs ma fille.
Termine tes devoirs avant de t'asseoir à table.
Allons manger dehors ce soir.
D'où ça sort ?
Je veux que les gens voient ma belle femme et ma belle fille.
Ils vont être jaloux de moi.
Cemré ton père est vraiment fou.
Je suis fou.
Je ne retrouve plus mon costume bleu.
Il est dans le sèche linge chéri.
Met le bleu foncé.
Tes cheveux sont jolies.
Tu as vraiment aimé ?
Cemré tu n'es pas encore prête ?
Je me prépare maman.
De vrais blédardes, elles n'ont jamais dû voir une vrai piscine.
D'où ça sort cette histoire de piscine ?
C'est une école privée ici.
Dans notre école les robinets ne coulaient même pas.
Oui, mesdames et messieurs.
Les paris vont se fermer.
Ceux qui disent que Songul se fera viré ?
Qu'en pensez vous les filles ?
Je vais te dire quelque chose tu vas voir.
Les paris sont fermés, Guney arrive.
Guney ici ! Guney ici !
C'est bon, du calme.
Les gens,
notre amie Songul est en regret.
Elle avait une manière de s'excuser en face du directeur...vous auriez eu pitié.
Cette sauvage ?
Oui cette sauvage.
J'ai pas rallongé, j'ai été mature et je l'ai pardonné.
Qu'est ce qu'il raconte ?
Tu ne t'es pas vraiment excusé j'espère.
Je me suis excusé. Qu'est ce qu'il y'a ?
Je n'avais pas pu me retenir, j'avais tort.
Je vais faire attention à mes comportements à partir de maintenant.
Je doit profiter de cette belle école.
Je ne vais plus attirer des problèmes.
Qu'est ce que tu raconte ? Pourquoi t'es comme ça ?
Je répond, elle est en regret.
Les jeunes vous vous êtes échauffé ?
Vous avez l'air échauffé.
Regroupez vous.
Regroupez vous.
Qu'est ce que tu as fais ?
Tu t'es vraiment excusé ?
Attend un peu.
On est allé au poste de police à cause de lui, on s'est fait examiner.
Je ne te comprend pas Songul.
Tu comprendras bientôt.
Ma fille, Guney, pourquoi vous n'êtes pas en maillot ?
On était avec monsieur le directeur.
D'accord, allez vous habiller.
Allez ma fille toi aussi.
Entrez.
Vous allez le voir aussi, c'est une maison très propre.
Vous avez de la chance, il n'y a pas de propriétaire, vous pouvez tout de suite déménager.
Visitons d'abord.
Bien sûr.
Ne trouve pas d'excuses, j'ai beaucoup aimé ici.
Qui es tu ? Que fais tu ici ?
Et vous qui êtes vous ?
Moi je suis la propriétaire.
La propriétaire ?
Oui !
C'est moi la propriétaire de cette maison.
Ma mère est morte ici ! Juste ici.
C'est mon père qui l'a tué.
Et après mon père s'est suicidé la bas.
Regardez, il y'a encore des traces de sangs ici !
Cemré qu'est ce que tu fais ici ?
Je dis la vérité. Il y'a beaucoup de sangs qui a coulé dans cette maison.
Et moi je vais mourir de tristesse.
Je peux me tuer à cette instant même.
Veuillez visiter en haut, je vais régler ça.
Pas la peine, allons nous ne.
Sortez d'ici, allez vous en !
Va t'en !
Oui, dans le départ, vous plongez...
vous vous appuyez avec votre jambe....
Et vous allez le plus loin possible en expirant du nez.
Vous êtes prêtes ?
D'accord.
3-2-1
Ma fille pourquoi tu ne plonge pas ?
Allez, plonge.
Pourquoi tu regarde ?
Ma fille qu'est ce que tu fais là bas ?
Monsieur, je suis un peu malade aujourd'hui, puis je travailler chez moi ?
Non, pas la piscine de chez toi, tu vas le faire ici.
Devant mes yeux.
Allez, allez, concentre toi !
Allez ! 3-2-1
Kader, tu ne dois pas plonger dans tes rêves, tu dois plonger dans l'eau.
Tu doit être forte puisque tu rigole sur ton amie.
Allez.
Allez, à ton tour.
Qu'est ce tu fais ? C'est le vestiaire des hommes, t'es aveugle ?
Pardon.
Je ne savais pas, je commence à connaître l'école.
Bien, d'accord.
Quoi ? Pourquoi tu regarde ?
Tu es pas mal foutu. C'est ce que je regardais.
Je fais travailler mon corps, normal.
Ca te dirais de faire travailler nos corps ensemble un jour ?
Je crois que tu commence a devenir intelligente.
Par exemple, on travail aujourd'hui ?
D'accord.
Si tu veux, ne prend pas la peine d'aller au vestiaire des filles.
Enlève tes vêtements ici.
D'accord.
Sale animal.
L'autre jour ils nous ont emmené faire un test de virginité, on a eu tellement honte !
Mais comment tu peux comprendre ça toi ? Saleté, sans honneur !
Va raconter ça à tes amies aussi, "Songul m'a piégé".
Que Dieu te punisse.
Laisse les !
Serkan, allez.
Où est ce que tu étais ?
J'ai réglé un compte.
Tu n'as pas nagé toi, viens.
Baris, passe dans le couloir d'à côté.
D'accord monsieur.
Alors, tu plonge. Tu prends ton élan, et tu vas le plus loin possible en expirant du nez.
D'accord monsieur.
Allez, 3-2-1 plonge !
Bravo.
Où tu as appris à nager comme ça ?
Je suis une fille de mer noire, c'est dans mes gènes.
Comment ça ?
J'avais une famille jusqu'à mes 5 ans. Notre maison était proche d'une rivière, j'ai appris de là bas.
Tout le monde est entré dans l'eau ?
Où est Guney ?
Il est dans les vestiaires monsieur.
Va le chercher, fonce.
Cours Burak.
Les amies, après les cours...
je vais travailler encore quelques heures avec certains d'entre vous après le cours.
D'accord ?
Allez, continuez, continuez.
Guney t'es où ? Le prof te cherche.
Qu'est ce qui s'est passé ?
Ma chérie.
Allons nous en d'ici.
Allons y.
Où est Songul ?
Elle est là bas.
Où vous étiez ? J'allais passer une annonce de perte.
On est devenues des poissons. Regarde mes mains.
Regarde si j'ai des nageoires aussi.
Mes pauvres.
Qu'est ce qu'il s'est fait ?
Mon pote, tes vêtements te vont très bien ! Tu viens de les acheter ?
Guney attend nous.
Qu'est ce qu'il y'a eu ?
Je l'ai coincé dans les vestiaires, et ensuite j'ai jeté tout ses vêtements dans les toilettes.
Quoi ? T'as vraiment fais ça ?
Bien sûr.
Le pauvre, toute la journée il s'est fait frapper.
Il n'aurait pas du chercher.
Tu veux quelque chose ?
Repose toi un peu.
Bienvenues.
Comment s'est passé les cours ?
Ils nous ont fait souffrir.
Pourquoi ?
Il s'est passé quelque chose de mal ?
Le prof de sport nous en veut.
Le cours s'est terminé, il nous a dit de rester, à nous seulement !
Tarif spécial pour les filles d'orphelinat quoi.
C'est possible ça ?
C'est arrivé.
Il nous a fait de la discrimination, il nous a fait nager jusqu'à qu'on s'évanouisse.
Pas toute le classe ! Seulement nous !
C'est inadmissible.
J'irais lui parler demain. C'est pas juste ce qu'il fait.
Bonjour madame Feridé.
Bonjour ma chérie, entre.
Cemré se sent un peu mal, ne faîtes pas trop de bruits.
D'accord.
Ma soeur va être très heureuse de nous voir, n'est ce pas ?
Oui ma fille.
Encore de retour au trou de rat comme Cendrillon.
Sois silencieuse ! Elle dors, tu vois pas ?
Je vois rien tellement que j'ai faim, que faire ?
Oh , les élèves de l'école privé ! Bienvenues.
Cette fille ne va pas bien du tout.
Ma jolie, regarde, je t'ai apporté des chocolats.
Mange, que ça t'apporte de la force.
Des chocolats !
Oh un piston ! Pas pour nous ?
Elle n'a rien mangé depuis ce matin.
Sois pas jalouse.
Une petite fille ne parle pas comme ça. Tu trouve ça correcte ?
Une "petite fille" ? Me fais pas rire Hédoche.
Vous êtes quoi alors ?
Vous êtes encore des enfants, vous avez grandis dans mes bras.
Quand il l'a fallu, je changeais vos couches.
Quand vous tombiez malades, je restais jusqu'au matin prêt de vous.
Tante Hédiyé.
Il y'a des visiteurs, c'est la mère d'Eylul.
Regarde, que c'est beau, ta mère te fais une surprise.
Ne la fessons pas attendre.
Viens Eylul.
Je ne veux pas la voir.
Je ne veux pas, qu'elle s'en aille. Et qu'elle ne revienne plus.
Je lui dis ça ?
Dis lui exactement ça.
T'es certaine ?
Ca suffis ! Oui, elle est certaine, elle ne veux pas la voir, elle valide sa réponse.
D'accord alors.
T'as bien fais, c'est maintenant qu'elle se souviens que c'est une mère ?
Te mêle pas des histoires des autres. Regarde toi.
Regarde, elle n'arrive pas à se retenir, elle regarde sa mère discrétement.
C'est quoi cette vie ?
La mère arrête de faire sa "mère", mais nous on arrive pas a les lâcher.
A quoi tu t'attendais ma fille ?
La fille n'a pas vraiment tort.
Il y'en a beaucoup comme toi, qui les laisse ici.
On se dit que vous devriez avoir des raison, mais...les enfants ne pardonnent pas.
Maman, qu'est ce qu'on attend ? Pourquoi ma sœur ne viens pas ?
Attend ma fille.
Je lui avait préparé des boureks aux épinards, Eylul adore ça.
Pouvez vous lui donner ?
Soeur !
Ma soeur ! Tu m'avais manqué.
Toi aussi ma chérie.
Où est ce que tu dors ? Peux tu me montrer ta chambre ?
Viens, je te montre.
Préviens la femme de ménage de bien repasser les vêtements, regarde ma chemise.
Bien, je la virerais lundi.
Je ne t'ai pas dis de virer, préviens la, c'est suffisant.
Tu n'es jamais content. D'accord, je ne virerais pas, tu repasseras tes vêtements tout seul.
Ca va mon fils ?
Pas mal, père.
Tu n'as pas l'air bien, qu'est ce qu'il y'a ?
J'ai parlé avec Cemré aujourd'hui, elle ne va pas bien.
Tout ce qu'elle a vécu...
Tu as raison, c'est très triste.
Vous êtes les seuls a être triste, aucun de leurs proches n'ont accepté la fille.
Seulement leurs proches, mère ?
Même les gens qu'on y penserait pas tourne le dos à Cemré, n'est ce pas ?
Je ne me sent pas bien, et si on la gardait les weekends au moins ?
Pourquoi on devrait la garder ?
C'est la fille de nos amies, elle a grandis dans nos bras.
Si tu t'en souviens, bien sûr.
J'ai un coeur de pierre moi, Tefik ?
Je ne dis pas ça pour rien, la fille n'est plus l'ancienne Cemré.
Elle ressemble déjà aux filles d'orphelinat, elle est bizarre.
Qu'est ce que tu dis ?
Tu l'abandonne comme ça ?
Mon fils je dis ça car je pense à vous.
Je fais tout pour que vous soyez des enfants droit, bien élevés.
Ce sont nous les bien élevés ?
Ce sont nous les droit ?
Arrête ça.
Père, on a accusé ses filles.
Quoi ?
Qui est cette petite femme ?
Busra, c'est ma soeur.
Ah bon.
Enchanté, moi c'est Feridé.
Je viens visiter la chambre de ma soeur.
Si c'est pas inerdit bien sûr.
Non, visitez comme vous le voulez.
Tu es venue seule ?
Non, avec ma mère, elle attend dehors.
Allez visiter.
Les filles, Busra, ma soeur.
Mon pistache, t'es trop mignonne !
Moi c'est Songul.
Elle, c'est Kader.
Enchanté.
Cette fille c'est Meral.
Et elle c'est Cemré.
Mais tu avais dis que vos mûrs étaient roses..
Ici c'est gris.
J'avais dis ça car....
C'était rose !
C'était tout rose ! Regarde, nos lits sont toujours roses.
On s'est dit que le rose ça fessait trop "bébé".
On a décider de peindre en gris. Quand on s'ennui on peint, on change.
N'est ce pas ? N'est ce pas Kader ?
Oui, oui, bien sûr on peint souvent.
On avait des rideaux en fleurs, de beaux tapis, et même un grand miroir là bas.
Il était rose aussi ?
Bien sûr qu'il était rose !
Mais après on s'est ennuyé, on a jeté.
Pourquoi vous avez jeté ?
On attend la réponse. Pourquoi on a jeté ? On est des idiotes ?
On a jeté car...
Car on attend des nouveaux, de nouveaux meubles, cette fois-ci on a demandé en bleu.
Oui.
Bien sûr, bien sûr, l'Etat nous envoie des meubles chaque mois, et nous quand on s'ennui on les jettes.
Ton vernis est très beau.
Tu veux qu'elle t'en mette aussi ?
Un doigt alors, ça se fini après.
Combien elle en voudra !
N'est ce pas ma soeur ?
D'accord.
Viens je t'en met.
Merci.
Pas de quoi ma pote.
Bonjour.
Soyez la bienvenue.
Ne dîtes rien.
Je sais quel mauvaise mère je suis.
Même les chats et chiens doivent être mieux que moi.
Mais que faire ?
Bientôt il va venir..
Je dois penser à lui aussi.
Je devais choisir entre lui et Eylul.
Je me suis dis qu'Eylul a assez grandis.
Elle n'est pas dépendante à moi, comme mon bébé dans mon ventre.
Je ne l'aurait pas fais si je n'était pas obligé.
Depuis ce jour, je n'ai jamais souris.
Je n'arrive ni à dormir ni à manger.
J'étais obligé de le faire.
Je n'avais pas le choix.
La vie...c'est la vie madame Mésudé.
Elle mange et bois ?
Son ventre se rempli ?
Ce n'est pas comme les plats des mères bien sûr. Mais elles s’habituent.
Eylul aussi va s'habituer, ne vous en faîtes pas.
Elle n'a pas d'autre choix.
Soeur, pourquoi tu reste ici ? Tu ne vas plus revenir à la maison ?
Vous avez pris combien de temps à venir ici ?
Une grosse heure.
Regarde, je pars dans une école très proche d'ici.
Et c'est une très belle école.
C'est plus facile d'y aller.
C'est pour ça donc ?
Je vais tout t'expliquer quand tu seras grande, d'accord ?
Tu l'as vu, j'ai des amies ici, je vais bien, je suis heureuse.
T'en fais pas pour moi, d'accord ?
Au revoir madame Feridé.
A bientôt.
Tout se réglera avec le temps.
Fais moi confiance.
Allez, entrons.
Je vais marcher un peu.
D'accord, ne t'éloigne pas.
Comment peux tu me cacher ça ?
J'ai réglé le problème. Je ne t'ai pas dis pour pas que tu t'en fasse.
C'est ça régler ? C'est ça régler ? C'est d'accuser de petites filles ?
Ne parle pas sans savoir Tefik.
Ce sont ces filles qui ont embêté les enfants.
Ca n'a pas été le cas maman.
Ne parle pas !
Comment peux tu faire ça ?
Ce sont aussi des enfants !
Mais ce ne sont pas mes enfants.
Je suis une mère Tefik, je peux brûler le monde pour mes enfants.
Je comprend maintenant pourquoi tu les as accepté à l'école.
Pour qu'elles se taisent c'est ça ?
Pauvre toi. Vraiment, pauvre toi.
Je n'arrive pas à te croire Nazan.
Je n'arrive vraiment pas à te croire.
On va se voir après avec toi !
Quel désastre ! Et en plus tu raconte à toute la famille, bravo à toi !
On devait le dire depuis le début à mon père, c'est la faute de ma mère.
Guney a dragué laquelle ?
Tu ne pense qu'à ça ?
Defné, je te préviens à nouveau...
Guney est une vrai saleté au sujet des filles.
Reste loin de lui.
Peut être que les saletés me plaisent.
Bonne journée.
Qu'est ce que tu fais ? Fais attention tu allais m'écraser !
T'es dans les nuages ?
Qu'est ce que tu dis ?
J'ai dis, t'es dans les nuages ?
C'était toi.
Excuse moi je crie, mais...tu t'es jeté sur la route t'es au courant ?
Excuse moi mais c'est toi qui a tort là.
Comment ça je suis en tort ?
Ici c'est la route, ce sont les véhicules qui passent par là.
Les piétons passent par les trottoirs, et toi où es-tu là ?
Comment ça je suis où. Je suis sur le trottoir.
T'es une gamine ?
Tu as fallu te faire écraser ma fille.
"Ma fille" ? Apprend d'abord à bien parler.
On a compris, tu m'as apporté du thé etc mais...
s'il te plaît.
Regarde, je suis très fatigué. Je rentre de boulot.
Je vais chez moi. Sois tu t'en va sois tu monte derrière et je t'emmène aussi.
Je monte ?
Tu veux que je te serre aussi ?
Très bien, tu drague comme ça les femmes ?
D'accord, on a dépassé les limites du voisinage. Prends soin de toi, au revoir.
Mais qu'est ce que j'ai dis ? Draguer ?
Feridé tu as dis n'importe quoi.
Comment tu vas Eylul ?
Frère Kemal !
Ne fuis pas.
Je me promène ici depuis ce matin pour pouvoir te voir.
Asseyons-nous et parlons un peu.
Laisse moi.
Assis toi.
Laisse.
Je t'ai déjà laissé une fois, je ne le referais plus.
Tu vas retourner à la maison, tu comprend ?
Laisse moi.
Tu fais ta timide avec moi ?
J'ai lu dans les journaux, tu traîne avec d'autres hommes mais pas moi ?
Qu'est ce que tu veux de moi pervers ?
Tu sais très bien ce que je veux.
Tu vas retourner à la maison, tu comprend ?
Jamais !
Je n'y retournerais plus jamais !
D'accord, on te loue une autre maison alors.
Il te reste combien de temps pour tes 18 ans ?
Je divorcerais de ta mère et te prendrais.
Tu es devenu fou, laisse moi.
C'est toi qui m'a fait devenir fou.
Tu es toute fraiche.
Moi aussi je suis jeune.
On a les sangs frais.
Ecoute.
Allons nous isoler, on parlerait plus tranquillement.
Non, laisse moi.
Ne crie pas !
Ecoute, je me vengerais de ta mère et de ta soeur.
Surtout pas ! Ne les touches surtout pas !
Je le ferais. Ne m'oblige pas à le faire.
Les enfants aidez moi.
Qu'est ce que c'est ?
Ca c'est les boureks aux épinards de la mère d'Eylul.
Aux épinard en plus !
Bonne appétit à vous.
Tu ne vas pas manger ?
Ne soyez pas des animaux, comprenez la un peu.
Elle le veux pas. Dévore les.
Et ça ce sont les vêtements de Cemré.
Tu as de très jolies vêtements !
Allez, lève toi. Met toi des beaux vêtements de ces cartons.
Va laver ta figure.
Allez ma fille, prend soin de toi.
Soeur Hédiyé !
On me laisse pas 2 minutes tranquille.
Cemré, elle est très belle celle là.
Puis-je la mettre parfois ?
Ne touchez pas !
J'ai juste...Que personne ne touche à mes affaires !
Pourquoi tu crie ?
Arrête tes tripes !
Tu n'es plus dans tes beaux jours. Arrête de faire ta princesse !
On va manger et dormir dans les mêmes endroits.
Tu ferais bien de t'y habituer !
Laisse la tranquille !
Bien.
Maman le lit de ma sœur est proche de la fenêtre.
C'est comme une école en pensionnat.
Ses amies sont très jolies, elles s'entendent bien.
Une d'elle m'a même mis du vernis.
Ah bon ?
Oui, ses murs ne sont pas roses mais ses draps oui.
Elle va bien ? C'est confortable ?
Oui c'est confortable.
Vous m'avez pas laissé regarder la télé !
Va à l'intérieur ma fille. Je finirais toute seule.
"Eylul" le matin, "Eylul" le soir, puisque tu l'aimais tant pourquoi tu l'as déposé en orphelinat ?
J'ai été obligé Kemal.
Sinon je l'aurais pas fais.
J'ai mal au coeur.
Quand je te regarde je vais mal aussi.
Mais c'est de ma faute, pourquoi j'ai épousé une veuve avec 2 ans ?
Elle même est triste, ces enfants aussi. J'en ai marre, je te jure.
J'en ai marre de toi et de tes *******.
Ne leurs dis plus jamais ******* !
Ne dis pas ******* à mes filles !
Qu'est ce tu dis ? Tu crie à ton mari ?
Regarde moi, je te tuerais ! Tu m'entend ?
Maman qu'est ce qui s'est passé ?
Il n'y rien ma fille, je suis tombé.
Maman ça saigne !
On fera un pansement, ça passerais.
N'ai pas peur.
J'ai fini.
Très triste, très en colère, très seule.
Bonjour.
Moi aussi je suis aussi triste et seul que toi.
Qui es tu ?
Personne. Quelqu'un que tu n'as jamais vue, que tu n'as jamais serré la main.
Mais nous avons beaucoup de points en commun.
Je ne crois pas. Par exemple, as-tu déjà voulus tuer quelqu'un ?
Non.
Alors tu ne peux pas être aussi triste que moi.
Tu vas tchater jusqu'au matin ?
Je me lève t'en fais pas.
Tuer quelqu'un va te rendre heureuse ?
Tu es là ?
Père le sac que je veux est en soldes, je dois l'acheter.
Après ma fille, d'accord ?
Père, peux tu me donner de l'agent jusqu'à que tu règle la carte ? Je vais m'acheter un téléphone.
Argent argent argent ! Tu ne connais rien d'autre ?
Ma mère, quand mon père est mort, nous regardait et pleurait.
Elle disait "si seulement il m'avait emmené avec lui aussi, si seulement il ne m'avait pas laissé seule".
Sinan ! Sinan non ! Laisse !
Laisse je t'ai dis !
Maman !
Maman ouvre les yeux.
Ne meurt pas !
Ne meurt pas !
Papa fait quelque chose !
Pardonne moi ma fille.
Ne meurt pas !
C'est tout à cause de vous.
C'est tout à cause d'eux !
Tout ça ! tout ça c'est de votre faute !
C'est tout à cause de vous !
Tout ça c'est à cause de vous !
Tout ça !
Où est allé cette fille ?
C'est tout à cause d'eux !
Qu'est ce qui se passe ?
Cemré attend, qu'est ce que tu fais ?
Laisse moi ! Ma mère et mon père sont morts car je voulais ces choses sans valeurs.
Cemré arrête.
Mon père s'est tiré dessus car je voulais ces choses !
Laisse moi !
C'est tout à cause d'eux !
Ils sont morts à cause de moi !
Laisse moi, va t'en !
Je n'en peux plus.
Je n'en peux plus.
Cemré arrête s'il te plaît.
Je n'en peux plus !
Maman.
Je veux mourir.
Tu vois ce qu'elles ont fait ?
Bientôt elles brûleront l'orphelinat. Qui a fait ça ?
Qui ?
Elles ont même brûlée une robe ! Quel bon cœurs !
Elles ont même pas de culotte à mettre dans leurs ***.
Peut être que c'est une bonne chose madame Nerimane.
Quelque sois la personne qui l'a fait, on peux penser que ses tristesses ont brûlée avec.
Personne ne peux brûler ses sentiments dans le jardin de l'Etat !
C'est de la sauvagerie !
Madame Hediyé !
Tu as vue qui as fais ça ?
Non madame Nerimane, je dormais la nuit.
Comme si l'Etat te payais pour que tu dors !
Nettoie ici.
Si c'était la présidente de l'Etat, elle nous aurait brûlé sans pitié.
Je te le jure. Comme si j'était une gardienne de nuit.
C'est dure de diriger, elle fait son métier.
Ca c'est vrai.
Bon travail.
Merci.
Ca s'est fini aussi !
Comment je vais sortir dehors avec ce visage ?
Je te jure que si j'avais ton visage je serais pas sortie aussi.
Tais toi !
Il y'avait aussi des maquillages dans les choses que tu as brûlée ?
C'est toi qui a fais ça meuf ?
Regardez ça !
Bravo meuf, tu commence à me plaire.
Cette idiote irait balancer à madame Nerimane.
Kader si tu fais ça je te rendrais folle avec des claques.
Pourquoi je ferais ça ? Je ne dirais rien.
Meral puis-je utiliser ton téléphone ?
Qu'est ce que c'est ?
L'argent pour les crédits.
Bonne idée.
Merci.
Les filles prenez exemple. A partir de maintenant le téléphone est payant.
Busra. Ma soeur, c'est Eylul.
Comment tu vas ?
Moi je vais bien soeur, mais ma mère est tombé hier.
Sa lèvre a saigné.
Elle est tombé comment ?
Elle était dans la cuisine avec frère Kemal. Et après elle et tombé.
Elle a cogné sa tête sur la table.
Sa lèvre a beaucoup saigné.
On a mis de l'eau de Cologne pour ne pas quel attrape des microbes.
Ils se sont disputé ?
Frère Kemal et ma mère.
Oui ils se disputaient dans la cuisine.
Donne ma mère, tout de suite.
D'accord.
Maman ! Ma soeur te veux au téléphone !
Elle arrive.
Prend.
Eylul, ma fille.
Maman...Kemal t'as frappé ?
Dis moi la vérité, est ce qu'il te fait du mal ?
Non, il n'y a rien ma fille.
Je suis tombé.
Toi, tu vas bien ?
Tu vas bien ma fille ?
Ma fille.
Peut on parler un peu ?
Ma pote on s'en va nous.
Elles me parlent comme si j'étais leurs amie.
Car vous êtes amies.
Non, je ne le suis pas. Personne n'est mon amie.
C'est toi qui as brûlé ces vêtements Cemré ?
Oui.
Tu ne peux pas te débarrasser de tes souvenirs en les brûlants.
Même si c'est triste, les souvenirs restent.
Ta mère et ton père auront voulus que tu sois heureuse Cemré.
Ils auront été très triste si ils te voyaient comme ça.
La vie continue.
Tu es obligé d'affronter tes tristesses.
Ton père a déjà tué ta mère et s'est suicidé ensuite ?
Non.
Alors ne me donne pas des conseils.
Que faites vous ?
Bien, et toi ?
La nuit où vous aviez dit être au cinéma...Vous étiez au poste de police avec ces blédardes.
Qu'est rapport ?
Serkan a tout raconté.
Tu as dragué laquelle ?
Celle là ?
Oui, c'est une belle fille n'est ce pas ?
Tu n'as pas de gouts.
Defné écoute, ça reste entre nous, ne dis à personne.
Non, je vais tout raconter. Je vais dire que ces cons on trainés avec des filles d'orphelinat et qu'ensuite dee policiers...
Tais toi !
Ne crie pas.
D'accord, je ferais ce que tu veux. Mais ne raconte à personne.
D'accord ?
Emmène mon sac en classe.
Et puis quoi encore ?
Je m'en fou, emmène, elle peux parler.
Allez, allez.
Guney !
Tu n'as pas pitié de cette enfant ?
Non.
La plus belle c'est elle.
Tu es idiot.
Quoi ?
Regarde ces traces. Elles ne nettoient pas bien.
Ca ne se fais pas à l'argent que nous donne l'Etat.
Madame Nerimane.
Nos élèves se font discriminer dans leurs école.
A quoi tu t'attendais ?
Ce sont des enfants de ce Pays aussi.
Ils ont les mêmes droits. Ils doivent être égaux.
Avec quoi ?
Avec quel argent ?
Avec quel mère et père ? Quel égalité ?
Ma fille, je comprend, tu es idéaliste.
Tu es du côté de l'égalité...
Mais ce sont des enfants d'orphelinat, quoi que tu fasse elle seront dans un coin, elles seront discriminés.
Elles vont toujours se faire écraser.
Je n'accepterais pas ça.
Cette façon de penser doit changer.
Il n'y a pas d'autre choix.
J'espère que tu n'essai pas de contaminer les enfants avec tes idées d'anarchiste.
Qu'est ce qu'on ferait si elles se révoltent toutes ?
Qu'est ce qu'elles peuvent faire ?
Vous avez peur qu'elles prennent le contrôle de l'orphelinat ?
On peut tout attendre d'elles.
Ce ne sont que des enfants.
Entrez.
Madame la directrice, ce monsieur veut vous voir.
Bonjour, je suis Tefik Ozgun, époux de Nazan Ozgun.
Mon fils s'est mêlé à une histoire concernant vos filles aussi.
Je voudrais vous parler à ce sujet.
Crois moi, on partage ta douleur.
Mon père veut même que tu reste chez nous les weekends.
Si tu le veux aussi bien sûr.
Je ne veux pas.
Elle n'arrive toujours pas à accepter qu'elle est de nous.
C'est pas facile de tomber de riche a pauvre.
Vous pensez qu'à l'agent.
Sa mère et son père son morts. Laissez la tranquille est en dépression.
Burak, tu as les notes de Turque ?
T'es bête ? J'ai une tête a être un intello moi ?
Mon frère, qu'est ce t'as fais ?
Tu nous as foutu, Defné a tout appris !
Je racontais à mon père elle a entendu.
Bravo mon frère bravo !
Cenk, mes lassées se sont défaits, viens les refaire.
Tu vois ? Tu m'as fais son esclave.
Allez, allez.
J'arrive ma princesse.
Qu'est ce que tu fais ?
Bravo, bravo à toi.
Defné arrête, arête.
Arrête.
Qu'est ce qu'il y'a ? Ca te plait ? Pourquoi tu souris ?
Il n'y a rien.
Elle est tombé amoureuse de lui.
Ne dis pas n'importe quoi, quel rapport ?
Nazan a voulus protéger notre fils.
Mais elle n'a pas eu une bonne solution.
Si j'étais au courant j'aurais pas laissé ça.
Mais je crois que je ne peux plus rien faire à ce sujet.
Au moins, je voudrais aider les filles d'ici.
Vous ne pouvez pas supprimer ce qu'elles ont vécues avec de l'argent.
Il n'y a de mal d'un petit dons.
Ce n'est pas nous qui prenons les dons. Si vous voulez vraiment en faire vous devez vous diriger a l'association.
D'accord, alors je peux vous payer quelque chose dont vous manquez ici.
Oui !
Oui bien sûr.
Nous n'avons pas d'endroit où accueillir les invitées, on peux au moins renouveler les meubles de ma salle.
Nous avons un soucis plus important.
Nous n'avons pas d'ordinateur.
Nous en avons, mais ce n'est pas suffisant.
Les filles sont obligé de l'utiliser chacun leurs tours.
Tout de suite.
Vos ordinateurs seront prêt demain.
Merci de m'avoir donné cette occasion.
Serkan est un bon enfant en vrai.
Il est très en regret.
Je voulais que vous le sachiez.
Bonne journée.
Bonne journée.
J'espère qu'elles ne feront pas que de tchater avec leurs amies sur l'ordinateur...madame Feridé.
J'espère qu'elles tchaterons, madame Nerimane.
Comme le font tout les jeunes.
Regardez, tout le monde mange quelque chose.
Nous on a même pas de quoi payer un thé.
Ne pleur pas. Travaille sans thé.
Nous sommes en retards par rapport à eux, nous devons avoir de bonnes notes aux examens.
Tu n'étais pas si travailleuse, qu'est ce qu'il y'a ?
Je suis motivé, c'est pas tes affaires.
Ils viennent de collège. Leurs bases sont solides.
Si on travail on serait bien aussi.
Laisse tomber, son cerveau n'y arriverais pas.
Il y'a même des cheesecakes !
Madame Feridé aurait du nous donner quelque sous en nous fessant entrer dans un collège.
Prend, prend. Va t'acheter un thé et tais toi.
Prend ça aussi.
Va nous chercher des thés.
Pourquoi tu me regarde ? Il a dit à toi.
Tu le vois pas ? Il est tout maigre, il peux s’effondrer en attendant.
Prend des grignoteries aussi.
Mon frère, je veux 3 thés et de ces biscuits.
Vous voulez quelque chose ?
Non mon frère.
Combien ?
12 liras.
J'ai 100.
Je peux rendre la monnaie.
C'est toi qui as pris l'argent ?
Qu'est ce que tu dis ?
Je dis que c'est toi qui a volé mon argent !
Dégage, qui s'est où tu l'a fait tomber !
Montre tes poches !
Laisse moi tranquille, t'es con ou quoi ?
Sort mon argent sale voleuse !
Et si je te sortais une patate ?
Qu'est pense tu ?
C'est bon, n'agrandissez pas l'histoire.
On appel la police et c'est tout.
Appel les mon frère.
Mec, t'as fais tombé ton argent ici.
POurquoi tu les accuses sans savoir ? Prend.
Mon frère j'avais regardé partout, je te jure.
C'est bon, n'agrandi pas l'histoire Burak.
Pardon, c'est vous le professeur de sport ?
C'est moi. Oui ?
J'y crois pas.
Que fais -tu ici ?
Non, toi que fais-tu ici ?
C'est toi le professeur de sport ?
Oui.
C'est quoi ce prof ? Regarde tes cheveux, ta barbe.
Tu as un boucle d'oreille...
C'est comme ça que tu montre exemple à tes élèves ?
Un professeur doit être sérieux.
Et toi qu'es-tu ? Une inspectrice de l'Education Nationale ?
Quel rapport ? J'ai juste trouvé ton style un peu bizarre, c'est pour ça.
Et ? Tu es venu ici pour me dire ça ?
Bref, puis-que tu es la personne que je cherchais...
Je me présente d'abord, je suis directrice adjointe dans l’orphelinat.
Tu as fais de la discrimination aux élèves d'orphelinat hier.
Qui ? Moi ?
Oui, toi.
De la discrimination ?
Je n'ai pas compris. Quel discrimination ?
Tu as foutu la honte à mes élèves en les gardant après les cours.
C'est correcte pour un professeur ce que tu fais ?
Je comprend qu'ici c'est une école privé, que les autres élèves sont riches...
Mais ce n'est pas juste de ne pas bien faire votre travail....
Une seconde, une seconde.
Voisine, quel est ton prénom ?
Que vas tu faire de mon prénom ?
Je vais chercher ton numéro dans l’annuaire et t’embêter.
Que vais-je faire de ton prénom ? Je vais t’appeler par ton prénom.
Feridé.
Ecoute Feridé, je n'ai fais de la discrimination à personne.
D'accord ?
De plus, comment puis-je savoir d'où elles viennent ?
Et encore, il y'avait des élèves garçons avec elles aussi.
Il n'y avait pas seulement des filles ?
Non madame la directrice.
Il n'y avait pas seulement des filles.
Elles ne bougeaient même pas les bras, de vrais fainéantes.
Elles ne savent pas nager.
C'est bon, elles ne sont pas obligé de très bien nager.
"Très bien" ? Je n'attendais pas une performance "très bien".
Je veux te dire qu'elles ne savent pas nager, leurs conditions est zéro.
Tu comprends ?
Oui. Il y'a autre chose ?
J'ai pu te convaincre que je n'ai pas fais de discrimination ?
D'accord, c'était une mauvaise compréhension je crois.
Excuse moi.
De plus, il faut te prendre en entrainement aussi.
Si c'était à moi, je t'aurais fait courir 10 tours autour du terrain et 5 tours en nage.
Quel rapport ? Je suis très fit.
C'est ce que tu crois ?
Arrogant.
Regarde.
J'ai vu ce que tu as fais.
Tu as donné de ton propre argent à Burak.
T'essaies de faire ton héros ?
Tu as "sauvé les voleuses orphelines".
Excuse moi mais on est pas des voleuses.
J'ai juste voulu aider.
Ce n'est pas Meral qui a pris cette argent.
Eylul, c'est Meral qui l'a pris, j'ai vu.
Tu as mal vu.
Meral ne ferait pas ça.
Nous ne sommes pas des voleuses.
Oui toi tu l'es pas, mais elle oui.
Je te dis que je l'ai vu prendre.
Je vais te demander quelque chose, pourquoi tu es toujours obligé de t’engueuler avec moi ?
Tu ne pas y mettre fin ?
Pourquoi le faire ?
Eylul, je veux être ami avec toi.
Moi je ne le veux pas.
Elles vont s'en aller, ma mère va les virer, sois patiente.
Moi j'ai pitié pour elles, ça ne se fait pas, elles n'ont pas de parents.
Tu es idiote ? Elles vont tout nous prendre, tu n'as pas encore compris ?
QU'est ce qu'elles peuvent prendre ?
Nos petit amis, ma chérie.
Tu verra si tu aurais encore pitié quand Burak tombera amoureux à une d'entre elles.
Je m'en fiche de Burak.
Oui, oui, tu tremble quand tu lui parle.
"Burak tu as les notes de Turques".
"Je ne sais pas comment te remercier, merci beaucoup".
Merci beaucoup elle l'a entendu, je vais me faire afficher dans toute l'école.
Tu ne le serais pas t'en fais pas. Je ne dirais rien à personne. C'est juste une conversation entre fille non ?
Idiote.
Elle est très servile celle la.
Songul, je vais te dire quelque chose.
Viens.
Qu'est ce qu'il y'a ?
Tu vois Serkan ?
Il avait trouvé l'argent de Burak...
Oui ?
Il ne l'a pas vraiment trouvé.
Il a sorti l'agent de sa propre poche, je l'ai vu.
Pourquoi il a fait ça ?
Pour que Meral n'ait pas de problèmes.
Oui mais ce n'est pas Meral qui l'a pris.
Elle l'a pris.
C'est ce que Serkan à dit.
Comment ça ?
Elle l'a vraiment pris ?
Bien sûr qu'elle a pu le prendre !
Cette idiote parlait de cheesecakes.
Elle va nous faire appeler "voleuses".
Quel idiote.
Ils ont changé le verrou.
Ouvrez la porte ! Ouvrez !
Ici c'est ma maison ! Ouvrez la porte !
Ouvrez ! C'est ma maison !
Ouvrez la porte !
Ouvrez la porte !
Ouvrez !
Ouvrez !
Bonjour madame Feridé.
Bonjour. Je suis allé voir votre professeur de sport aujourd'hui.
Oui ?
Il n'a pas fait de discrimination.
Il ne m'a pas fais de discrimination. Car je suis une personne athlétique, sportive.
De plus, il y'avait un élève garçon avec vous.
Oui mais il nous a pris aussi.
Les enfants, arrêtez d'avoir pitié de vous-même.
Votre professeur ne savait même pas que vous viviez en orphelinat.
Se sont des boloss madame Feridé. Elles prennent mal tout.
Madame Feridé regardez la !
C'est bon ! Je vais être une fille calme et intelligente à partir de maintenant.
Avance.
Puis-je m’asseoir ?
Comment s'est passé les cours ?
Bien.
Halé, je sors de l’orphelinat.
Oui, je me rend à la maison et j'arrive.
D'accord, bisous bye bye.
Regarde Cemré, ...
Laissez moi.
Allez où vous devez aller.
Si tu as besoin de quelque chose, ou de parler je suis toujours là. Ne l'oublie pas.
A demain.
Salut les filles.
Ma Meral, où tu étais ?
Je me suis promené, j'ai regardé les vitrines.
Tu as acheté des choses ?
Non, je n'ai pas d'agents de toute façon.
Peut être que tu en as.
Peut être que tu en as volé.
Laisse moi tranquille, t'es folle ?
Regardez devant vous !
Les filles, sortez.
Il va y avoir du sang ici, allez.
Qu'est ce qu'il y'a ?
Comment t'as acheté tout ça ? C'est toi qui as volé l'argent à l'école ?
Quel vol ? J'avais 20 liras j'ai acheté avec.
Qu'est ce que c'est ? Il y'a écrit 80 ici.
C'est mon argent ça ne te regarde pas.
Serkan a vu que tu as pris les 100 liras.
Regarde la démone au visage angélique ! Tu m'utilise pour te faire un petit ami riche ?
Si tu l'as pris dis le ! Dis le !
Sois honnête.
Quel honnêteté ? Ils ont blessé notre fierté, ils nous ont accusé de p*** !
Qu'ils comptent les 100 liras à ça.
Tu vas nous afficher en "voleuses" !
Je vais te tuer !
Qu'est ce qu'il y'a les filles ? Les toilettes sont bouchés ?
Non, il y'a de la bagarre à l'intérieur.
Songul défonce Meral.
Quoi ?
Ouvrez la porte tout de suite !
Ouvrez tout de suite !
Il y'a du sang à l'intérieur, n'entrez pas.
Elles me prennent vraiment pour une criminelle.
Tu vas bien ma fille ?
C'est bon j'ai rien !
Allez les enfants, allez réviser.
Merci.
Je te remercie.
Les filles, il y'en a qui peuvent aider ?
Merci.
Merci.
Allez, mains aux poches.
Allez.
Au moins on aurait dû utiliser ce qu'elle a acheté.
T'en fais pas elle va le regretter.
La chacal !
Tu as de la famille riche ?
Non, j'avais collecter des colliers.
Allez, mets-en !
Tiens, prends ça aussi.
Moi j'ai collecté ça.
Est ce qu'on a 100 liras ici ?
Prenez, de ma part.
Merci.
Les filles, qui dit plus ?
Ecoute Feridé, réfléchis y. N'abandonne pas aussi vite.
Vedat est très en regret. Crois moi.
C'est fini, ma décision a été prise. Je t'en prie, n'ouvre plus ce sujet.
D'accord chérie.
On se revoit bientôt.
Bonne soirée.
Bonne soirée.
Tout les hommes du monde trompent ?
Tu vas faire 10 colliers avec ça, on va les vendre en fin de semaine.
D'accord je ferais. Je vais d'abord manger.
Cemré, viens manger.
Je ne vais pas manger.
Tu vas mourir de faim meuf !
Si seulement je mourais.
Soeur, tu veux que j'appel ma mère aussi ?
Non ma soeur, parlons entre nous.
Comment tu vas ? Il n'y a rien qui te dérange ?
Non.
Frère Kemal est comment avec toi ?
Avec moi ?
Oui.
Il est gentil.
Ne lui fais quand même pas très confiance.
Que veux-tu dire ?
Rien, allez ma soeur.
Tu parle avec qui ?
Avec ma soeur Eylul.
Où elle est ?
Soeur. On ne te voit plus.
Elle nous voit ?
Regarde ce que j'ai acheté pour ta soeur.
Merci frère Kemal.
Je vais t'acheter encore pleins de trucs.
Frère Kemal t'aime beaucoup.
Je t'aime aussi Eylul.
Tu le sais ?
On veut tous que tu revienne.
Au faite, ta mère est tombé.
Sa lèvre a explosé.
Si tu ne veux pas qu'il lui arrive d'autres accidents...
Qu'est ce qu'il y'a ?
Il n'y a rien.
Soeur. Soeur ?
Tu es là ?
Chérie monte en haut j'arrive.
Bonsoir.
Bonsoir.
Que fais-tu ici ?
Rien, j'ai voulu prendre de l'air avant d'entrer.
Tu vas bien ?
Il n'y a pas de soucis.
Il n'y a pas de soucis.
Ne...fais pas attendre ta petite amie.
Tu as pensé que c'était ma petite amie ?
Elle ne l'est pas ?
Assiyé est ma petite soeur.
C'est excellent.
Je veux dire que c'est excellent que tu ais une soeur.
C'est bien d'avoir un frère/soeur.
Oui, c'est bien.
Oui.
Je vais rentrer chez moi.
Bonne soirée.
Bonne soirée.
Tu es encore en colère au point de vouloir tuer quelqu’un ?
Oui, demain je vais le faire.
Demain, je vais d'abord prendre une arme puis le tuer.
Tu rigole avec moi c'est ça ?
Tu étais sur internet ?
Fais vite meuf.
Allez.
Va t'en !
C'est bien !
Tu vas bien ?
Tu vas bien meuf ?
Fais ce que tu veux.
Je vais avoir un mauvais pressentiment si je pars.
Meuf.
Meuf ouvre !
Ouvre !
Qu'est ce que t'as fais ? T'es folle ?
Donne moi ça.
Tu as coupé profond ?
Appuie avec ça.
Si je n'étais pas là tu étais morte !
Lève toi, on va à l'infirmerie.
Viens, assieds-toi .
Je te jure, je le prends mal.
Tu aurais du me prévenir. Tu peux pas te tuer toute seule.
Ouvre doucement.
Ouvre ça.
Ca va un peu faire mal.
Heureusement que c'est juste une rayure.
Heureusement que t'as pas touché une veine.
La prochaine fois appel nous aussi.
Ta mère et ton père son vivants ?
Ma mère est morte.
Mon père est vivant. C'est un vrai s***** d’alcoolique.
Il a poignardé quelqu'un et est entré en prison.
Il m'a laissé toute seule.
Regarde, Kader par exemple...
elle n'a jamais vu sa mère, ni son père
elle les crois même riche.
Elle pense que c'est des méchants qui l'ont déposé dans des sacs de farines.
La pauvre elle se ment toute seule.
Donc tu n'es pas la seule à souffrir, tu comprend mon bébé ?
La mort n'est pas une solution, moi j'ai essayé, ça sert à rien.
Tu ne dois pas abandonner. Tu dois te battre.
Regarde, écoute moi. Les filles comme nous deviennent plus fortes.
Je ne sais pas qui a dit ça mais...moi j'y crois.
Crois y aussi, n'abandonne pas.
Si tu refais une chose pareil je te jure que je te défonce.
Tu as aimé ?
Oui madame Nerimane, merci.
Bonne appétit.
Alors. Dis moi. Qu'est ce qui se passe au pensionnat ?
Des vêtements se sont fait brûler, de pansements en sangs ont été retrouvé...
Je ne sais rien.
Kader, ma fille prends ça.
Allez, allez, dis moi ce qui se passe.
Cemré a brûlé ses vêtements.
Et sur l'infirmerie j'en sais rien.
Bien. Allez, va dans ta chambre si tu as mangé.
Apprends l'infirmerie aussi. En échange tu vas largement avoir ce que tu mérite.
Je vais te dire où vie ta famille. D'accord ma fille ?
D'accord.
Je vous remercie.
Frère Kemal, c'est moi, Eylul.
Ca arrive que tu m'appel ?
Laisse ma mère et Busra tranquille.
Ce que tu veux c'est moi.
On se voit aujourd'hui ?
Seul, seulement nous deux.
Il n'y aurait personne d'autre mon bébé.
Viens dans l'endroit où on avait pic-niqué l'été dernier.
Où sinon je viens te chercher. Non. Je viendrais.
2 heures après.
J'y vais en volant.
Tu avais dis que c'était urgent tu parle depuis 10 heures. J'ai perdu combien de crédits ? 10 ?
C'est bon, je vais payer le prix.
Vous m'accusez de voleuse, vous me faîtes faire des colliers...et vous m'aspirez comme ça !
Allez, le petit déjeuné est prêt.
Pourquoi tu te prépare autant ?
Ne sois pas jalouse, ma femme.
Je n'ai rien d'autre que ma famille dans ma vie.
Peux tu emmener ça en cours ?
Bien sûr.
Prends.
Une partie de l'argent que tu as donné à Meral.
On ne s'endette à personne.
Pourquoi tu fais des sacrifices pour l'erreur de quelqu'un d'autre ?
Je n'ai pas le temps d'en parler profondément.
Il manque 50 liras, on en a eu besoin pour une chose urgente.
Je te donnerais ça demain.
Allez.
Allez-y, j'arrive.
Tu es encore énervé au point de vouloir tuer quelqu'un ?
Oui. Demain, je vais d'abord prendre une arme puis je vais le tuer.
Doucement, fais attention.
C'est l'ordinateur que monsieur Tefik a envoyé ?
Un des ordinateurs, c'est un bon homme.
Oui, mais c'était pour l'utilisation des élèves, madame Nerimane.
Je vais pas l'utiliser pour regarder des modèles de tricots non plus. J'en ai besoin pour les filles.
L'autre prenait trop de temps à ouvrir un dossier.
Monsieur prenez ça et emmenez le à côté des autres, tout de suite s'il vous plait.
Non ! Il va rester sur mon bureau.
Madame Nerimane !
Vous ne pouvez pas utiliser un dons fait pour les filles pour vos propre besoins.
Je ne laisserais pas ça.
S'il le faut je porterais plainte.
Allez, qu'attendez vous ?
J'en ai vu beaucoup des comme toi dans cette fondation.
Elles sont toutes parties, je suis resté.
Tu vas t'en aller, je resterais encore.
De plus, le plus rapidement possible.
N'en soyez pas si sûr.
Laisse moi ! Laisse moi !
Ne crie pas !
Je me vengerais sur ta mère et ta soeur.
Surtout pas ! Ne les touche surtout pas !
Je le ferais, ne me l'oblige pas.
Maman, Kemal t'as frappé ?
Non, je n'ai rien.
Au faite, ta mère est tombé.
Sa lèvre a explosé.
Si tu ne veux pas qui lui arrive d'autres accidents...
Combien ça coute ?
5 liras.
Frère Kemal.
Tu m'avais manqué.
Sous-titres français : Beyza Demir / Facebook : Séries Turques