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Title:
La vérité choquante à propos de votre santé - Lissa Rankin
à TEDxFiDiWomen
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Description:
Lissa Rankin parle de médecine d'un point de vue plus spirituel. Elle présente son modèle, le cairn du bien-être et de la santé.
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Qu'est-ce qui compte le plus
pour vous en matière de santé ?
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D'après vous ?
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Avoir un régime équilibré essentiellement
à base de légumes ?
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Votre équilibre hormonal ?
De l'exercice quotidien ? Bien dormir ?
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Pour vous c'est quoi ?
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Prendre des vitamines, voir votre médecin
pour des bilans réguliers ?
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(Rires)
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Toutes ces choses semblent
des facteurs importants, voire critiques
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pour mener une vie saine,
mais si je vous dis
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que prendre soin de votre corps est la chose
la moins importante en terme de santé ?
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Qu'en penseriez-vous ?
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Je suis médecin et si vous me l'aviez dit
il y a cinq ans,
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ça aurait été un sacrilège total.
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Je veux dire, j'ai passé 12 ans à étudier
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parce que tout le monde pense que le corps
est la base de tout dans la vie.
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Mais si je vous disais que la médecine
prend tout ça par le mauvais bout,
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si le corps ne définissait pas
la façon dont nous vivons ?
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Et si le corps n'était que le miroir
de la façon dont nous vivons ?
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Pensez-y une minute.
Pensez à une période de votre vie
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où vous ne viviez pas
la vie que vous auriez dû vivre.
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Peut-être que vous étiez dans
une mauvaise relation de couple ;
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ou dans un mauvais environnement de travail,
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à faire ce que
vous vous sentiez obligés de faire ;
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ou vous ne pouviez pas exprimer votre créativité,
vous vous sentiez déconnecté spirituellement.
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Et votre corps a commencé
à vous envoyer des petits signaux,
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des petits symptômes physiques ?
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Vous savez, quand le corps essaie de
vous dire quelque chose et que vous l'ignorez
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parce que vous vous sentez obligés
de faire ce que vous faites.
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Et d'un seul coup, toutes les défenses
de votre corps s'effondrent.
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Vous est-il déjà arrivé de vivre
quelque chose comme ça ?
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Oui, je vois beaucoup de signes affirmatifs.
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Oui, moi aussi!
La même chose m'est arrivée.
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Voilà ce que fait le corps,
et de manière très brillante.
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Le corps nous parle en murmurant.
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Et si nous ignorons les murmures,
le corps se met à hurler.
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Dans ce pays, des millions de personnes
ignorent les murmures du corps.
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Nous souffrons d'une vraie épidémie
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que la médecine moderne
ne sait pas comment traiter.
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Les gens qui souffrent de cette épidémie
sont fatigués,
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anxieux, déprimés, ils se tournent
et se retournent la nuit,
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leur libido est à zéro.
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Ils souffrent de toute une série de maux
et de douleurs,
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et ils vont chez le docteur,
parce que quelque chose ne va pas.
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Et le docteur fait toute une série de tests,
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et les résultats sont tous normaux,
donc le diagnostic est que la patiente va « bien ».
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Mais la patiente ne se sent pas bien.
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Donc elle va chez un autre docteur
et elle recommence tout le processus,
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parce que de toute évidence,
quelque chose ne va pas.
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Quelque chose ne va pas
et ce n'est pas seulement dans sa tête.
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Je travaillais dans un cabinet
de soins intégrés très actif,
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je voyais 40 patients par jour.
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Et ces patients me rendaient
totalement frustrée.
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Ils venaient et c'était évident
qu'ils souffraient vraiment.
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Et je leur faisais passer des tests
et tous les résultats étaient normaux,
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je diagnostiquais qu'ils allaient bien
et ils me regardaient de l'air de dire :
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Non, je ne vais pas bien,
quelque chose ne va pas.
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Et je me sentais tellement frustrée
de ne pas pouvoir établir un diagnostic.
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Et ils attendaient que je leur donne une pilule.
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Et il n'y avait pas de pilule,
aucune pilule pour traiter ça,
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aucun test pour diagnostiquer cette épidémie,
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aucun vaccin pour la prévenir,
aucune chirurgie pour s'en débarrasser.
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Ce n'est que des années plus tard
que j'ai compris que je souffrais
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de la même épidémie que mes patients.
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A l'époque, j'avais 33 ans,
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j'étais un médecin ordinaire.
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Je pensais avoir réussi tout
ce que je voulais faire dans ma vie.
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J'avais tous les ornements de la réussite,
la maison au bord de l'océan à San Diego,
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la maison de vacances, le bateau,
le beau gros compte de retraite,
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qui me permettrait d'être heureuse,
un jour, dans le futur.
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J'avais divorcé deux fois à ce moment-là.
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On m'avait diagnostiqué
une hypertension artérielle.
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Je prenais trois médicaments différents
qui n'arrivaient pas à la faire baisser
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et on venait de me diagnostiquer
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des cellules précancéreuses sur
le col de l'utérus, qui nécessitaient une opération.
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Et encore plus important,
j'étais tellement éloignée de moi-même,
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tellement désabusée par mon travail,
tellement vide spirituellement
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que je ne savais même plus qui j'étais.
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Je m'étais cachée derrière
toute une série de masques.
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J'avais le masque du médecin :
mettre une blouse blanche,
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être sur un piédestal,
prétendre que vous gérez tout,
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que vous savez tout.
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Et je suis aussi une artiste professionnelle,
donc j'avais le masque de l'artiste :
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avoir l'air sombre et torturé,
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mystérieux, famélique.
Ce n'était pas moi non plus.
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Et je m'étais mariée une troisième fois,
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vous savez, la 3e c'est la bonne !
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Donc je dois porter le masque
de l'épouse dévouée,
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je dois mettre le dîner sur la table
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et m'assurer que je porte
de la lingerie sexy.
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Et puis je suis tombée enceinte
et tout à coup
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voilà cet énorme masque de maman
qui vous arrive dessus, non ?
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Vous le connaissez ce masque de maman.
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Comme par magie,
vous héritez instantanément du gène
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qui vous rend capable de cuire
le petit gâteau parfait.
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Donc j'étais là avec tous mes masques
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lorsque ma parfaite tempête a frappé.
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A ce moment-là, nous étions en janvier 2006,
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j'ai donné vie à ma fille par césarienne,
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mon chien de 16 ans est mort,
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mon petit-frère, qui avait toujours été en pleine santé, s'est retrouvé avec d'une superbe insuffisance hépatique
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due à l'antibiotique Zithromax,
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et mon père chéri est mort d'une tumeur au cerveau.
Tout ça en deux semaines !
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Je commençais tout juste
à respirer quand mon mari,
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qui devait rester à la maison
pour mon nouveau-né,
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se coupe deux doigts de la main gauche
avec une scie circulaire.
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Oui !
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On dit que quand votre vie s'effondre,
soit on devient plus fort, soit on fait une tumeur.
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Heureusement, j'ai décidé de devenir plus forte,
j'avais ça en moi.
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SARK (Susan Ariel Rainbow Kennedy) appelle ça
le « sage moi intérieur » et je l'appelle
votre lumière intérieure.
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Elle disait, « Bas les masques !
Il est temps d'arrêter ces folies.
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Il est temps d'arrêter de faire ce que tu dois faire
et de commencer à faire ce que tu veux. »
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Et là, j'ai su qu'il fallait que je quitte mon travail.
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C'était une sacrée décision, non? J'avais passé
12 ans en formation pour devenir un médecin
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et dépensé des centaines de milliers de dollars
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et nous possédions tous les ornements
de la réussite, vous savez, la maison, le crédit,
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tous les trucs qu'ont les docteurs, non ?
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Mon mari était sans travail et j'avais un nouveau-né.
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Et je devais payer une assurance responsabilité
en cas de faute professionnelle pour acheter ma liberté,
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une assurance à 6 chiffres, au cas où quelqu'un
intenterait une action en justice dans le futur.
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Bref, j'ai décidé de le faire, et Dieu bénisse
mon mari, il a dit « On saute ensemble ! »
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Et j'ai quitté mon travail
et j'ai dû vendre ma maison
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et liquider mon compte de retraite
et déménager à la campagne ;
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et pendant quelques mois, j'ai peint et j'ai écrit
et j'ai léché mes blessures.
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(Rires) (Applaudissements)
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Ce n'est que neuf mois plus tard,
que tout le monde... Neuf mois !
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Je suis une obstétricienne gynécologue !
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Neuf mois plus tard, j'ai réalisé qu'on peut quitter
son travail, mais qu'on ne peut pas quitter
une vocation.
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J'avais été attirée très jeune, j'avais sept ans,
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vers le service, la pratique,
la pratique spirituelle de la médecine;
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et cette vocation n'avait pas disparu.
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J'avais été tellement blessée par le système
que je ne la remarquais même plus ;
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mais elle est revenu après une période de repos
et un retour en santé.
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Mais, je savais que je ne pouvais pas recommencer
à voir 40 patients par jour,
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7,5 minutes par patient, ce n'était pas pour ça
que j'avais fait médecine.
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Et cette quête a commencé, qui est devenue
une quête de presque cinq ans à présent,
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pour redécouvrir
ce que j'aimais dans la médecine.
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Ça voulait dire aussi que je devais découvrir
ce que je détestais dans la médecine.
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J'ai d'abord rejeté la responsabilité
sur tous les autres ;
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les avocats spécialisés dans les fautes professionnelles qui couraient après les ambulances ;
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l'industrie pharmaceutique ;
le cabinet de soins intégrés ;
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c'est la faute de la compagnie d'assurance !
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Puis, j'ai pensé, mais non,
c'est ce système médical réducteur,
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nous sommes tous tellement
hyper-spécialisés, vous savez ?
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Je suis gynécologue-obstétricienne, donc
je voyais des patientes avec des problèmes pelviens.
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Mais je savais qu'il y avait
quelque chose d'autre que le bassin
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qui provoquait ces problèmes.
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Mais je n'avais pas été formée
à m'intéresser à ça.
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Et j'ai pensé, c'est ça le problème,
comme quand vous allez chez le médecin
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et que vous avez mal au petit doigt et qu'il vous dit
« Je suis désolé, je suis un médecin du pouce. »
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(Rires)
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Personne ne regarde l'ensemble.
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Et j'ai pensé que la réponse
était dans la médecine alternative.
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Et j'ai rejoint un cabinet de médecine alternative.
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Et c'était tellement mieux ;
j'avais une heure entière avec mes patients.
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Je pouvais vraiment écouter mes patients,
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nous n'acceptions pas
les assurances de soins intégrés,
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donc c'était vraiment beaucoup mieux.
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Mais il y avait quand même une chose
sur laquelle je butais toujours,
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parce que si vous veniez
et que vous étiez déprimés,
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on vous donnait des herbes
et des acides aminés à la place du Prozac.
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Si vous aviez d'autres symptômes physiques...
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mais c'était toujours le modèle allopathique,
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où la réponse vous était extérieure,
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et où je devais vous donner quelque chose
que vous pouviez prendre.
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Et j'ai pensé, peut-être que ce n'est pas le problème,
peut-être que je dois regarder ailleurs
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et trouver de nouveaux outils de soins.
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Et j'ai commencé à travailler
avec tous ces fournisseurs
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de soins complémentaires et alternatifs,
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que j'aime, les acupuncteurs,
les naturopathes et les nutritionnistes.
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Et je me suis mise à traiter mes patients
avec des aiguilles dans leurs méridiens
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et des aliments crus et c'était génial.
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Mais il y avait toujours
cette chose sur laquelle je butais :
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les patients se débarrassaient d'un symptôme
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et si nous ne traitions pas la racine,
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la raison pour laquelle
ils présentaient ce symptôme,
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ils développeraient simplement
un nouveau symptôme.
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A ce stade, j'étais à la fois
totalement frustrée et vraiment curieuse,
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je me suis engagée dans la quête
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de ce qui fait qu'un corps est sain,
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et de ce qui nous rend malade.
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J'ai creusé dans la littérature médicale
et j'ai passé une année à rechercher
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tous les essais cliniques
randomisés contrôlés existants.
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Et je me suis dit, c'est ça, je vais comprendre,
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je vais trouver la réponse.
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Et j'ai passé des heures à la bibliothèque,
à lire, à étudier.
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Ce que j'ai découvert m'a foutu un sale coup,
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des trucs que personne ne m'avait jamais dits
à la fac de médecine.
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Tout ce que nous voyons comme faisant partie de la santé, tout ce que nous considérons important, ça l'est !
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C'est important de faire de l'exercice,
c'est important de bien manger,
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c'est important de voir le médecin.
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Mais personne ne m'a jamais appris que ce qui
importe vraiment ce sont des relations saines,
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une vie professionnelle saine,
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l'expression créative,
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le fait d'être connecté spirituellement,
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avoir une vie sexuelle saine,
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avoir une santé financière saine,
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vivre dans un environnement sain,
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être bien dans sa tête,
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et bien sûr, tout ce que nous associons
traditionnellement avec la santé
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est également important,
tout ce qui nourrit le corps.
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La quantité de données
à ce sujet est incroyable.
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Une bonne partie d'entre elles ne sont pas
dans les revues traditionnelles que vous lisez,
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que les médecins lisent. Une bonne partie
se trouve dans la littérature psychologique,
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la littérature sociologique.
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Mais si vous cherchez vraiment, vous le trouvez
dans le New England Journal of Medicine,
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dans le Journal of the American Medical Association,
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dans ce qui sort de Harvard et de Yale
et de Johns Hopkins.
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Ce sont de vraies données démontrant
que ces choses sont tout aussi importantes,
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si elles ne le sont pas plus !
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J'ai une patiente, végétarienne crue,
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elle court des marathons,
elle prend 20 compléments alimentaires par jour,
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elle dort huit heures par nuit,
elle fait tout ce que son médecin lui dit,
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elle a un dossier épais comme ça et elle a
quand même de multiples problèmes de santé.
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Elle a entendu parler de ma philosophie,
de ce que j'ai commencé à faire avec mes patients,
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et j'ai un formulaire d'admission de 20 pages,
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qui pose des questions sur toutes ces choses,
les relations, le travail, la vie spirituelle,
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la vie créative, la vie sexuelle, toutes ces choses
qui font de vous un tout.
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Donc elle est venue, elle a rempli le formulaire et elle a demandé « Docteur, quel est le diagnostic ? »
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Je lui ai dit, « Ma chère, le diagnostic, c'est que
vous vivez un mariage foutrement violent.
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Vous détestez votre travail,
votre créativité est réprimée,
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vous êtes déconnectée spirituellement,
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et vous n'arrivez pas à laisser tomber
le ressentiment que vous avez contre votre père
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qui a abusé de vous quand vous étiez enfant.
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Votre corps n'ira jamais bien
tant que vous ne soignerez pas ça. »
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Donc, si prendre soin de son corps n'est pas
la chose la plus importante en matière de santé,
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qu'est-ce qui l'est ?
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C'est de prendre soin de son esprit,
de son cœur,
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de son âme,
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de suivre ce que j'appelle
votre lumière intérieure.
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Votre lumière intérieure fait partie de vous,
cette essence,
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cette partie authentique, profonde qui est vous,
cette étincelle spirituelle, divine,
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qui sait toujours ce qui est bien pour vous.
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Vous naissez avec elle, elle partira avec vous
quand vous mourrez,
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et elle sait toujours la vérité à votre sujet
et au sujet de votre corps.
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Elle se manifeste et chuchote;
c'est votre intuition ;
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c'est cette merveilleuse partie de vous
qui est votre plus grande amie ;
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cette partie qui vous écrit des lettres d'amour.
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Et elle est la meilleure soignante
que vous puissiez consulter,
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mieux que toutes les médecines,
mieux que tous les docteurs.
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En me basant sur tout ce que j'ai appris,
j'ai développé un nouveau modèle de bien-être.
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Il n'est pas basé sur les diagrammes
en camembert ou en pyramide
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utilisés par beaucoup des modèles
de bien-être que j'ai étudiés.
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Je l'ai basé sur le cairn.
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Vous avez déjà vu ces choses
autour de San Francisco ?
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Ces empilements de pierres en équilibre,
je les adore, je les ai toujours adorés.
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Je suis une artiste, donc,
visuellement, ça me parle.
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Mais j'aime leur interdépendance.
Chaque pierre est dépendante de l'autre ;
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On ne peut pas en retirer une pierre
sans que le tout ne s'écroule.
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Et la pierre la plus précaire est celle du sommet.
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C'est le corps, c'est ce qui me fait penser au corps.
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Le corps c'est la pierre du sommet.
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Quand un seul élément
de ce qui fait de vous un tout est déséquilibré,
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le corps est le premier à chuchoter,
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et la pierre du sommet
est votre lumière intérieure,
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votre essence, cette vulnérable
et transparente partie de vous.
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Sur cette base, j'ai créé le modèle
appelé le cairn de la santé globale.
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C'est de ça que parle mon prochain livre.
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Il prend en compte toutes les facettes
qui font de vous un tout ;
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il parle de se soigner de l'intérieur
et une fois que vous aurez compris ça,
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alors vous aurez tous les outils nécessaires
pour commencer votre chemin vers la guérison.
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Tous les éléments qui font de vous un tout
sont entourés
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par ce que j'appelle la bulle soignante.
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Elle est composée d'amour,
de gratitude et de plaisir.
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Et la science démontre que toutes ces choses
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sont bonnes également pour votre santé ;
elles sont le ciment qui tient le tout ensemble.
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Je vous mets au défi.
Si vous avez un symptôme quelconque,
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si vous souffrez de l'épidémie
qui empoisonne le monde développé,
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je veux que vous vous demandiez,
« Quelle est la vraie raison de ma maladie
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ou de ma souffrance, qu'est-ce qui est
déséquilibré dans mon cairn de santé globale ? »
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Quel est le diagnostic réel
et qu'est-ce que vous pouvez faire ?
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Comment pouvez-vous être plus transparent ?
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Comment pouvez-vous vous ouvrir à plus de possibilité?
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Etre plus honnête avec vous-même sur ce dont
vous avez besoin et sur qui vous êtes?
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Certains parmi vous ont peut-être vu
le TEDTalk génial de Brene Brown
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sur le pouvoir de la vulnérabilité ?
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Je vois beaucoup de signes affirmatifs,
j'aime ça.
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C'est fabuleux, ça parle
de la science derrière la vérité,
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la vulnérabilité, la transparence.
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Ça génère de l'amour et de l'intimité,
ce qui augmente l’ocytocine et les endorphines,
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et réduit le mauvais stress, les hormones
comme le cortisol et l'adrénaline.
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Lorsque nous montrons notre vrai moi, nous permettons à notre lumière intérieure de rayonner,
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nous guérissons de l'intérieur
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et c'est plus puissant que tout ce que la médecine
peut vous donner de l'extérieur.
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Donc, je vous mets au défi d'écrire
votre propre prescription.
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Aucun docteur ne peut le faire pour vous.
Nous pouvons vous donner des médicaments,
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nous pouvons vous fournir de la chirurgie
et parfois vous en avez besoin,
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c'est le démarrage du processus d'autoguérison.
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Pour guérir de l'intérieur, de manière
à ne pas développer de nouveaux symptômes,
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à ne pas avoir besoin à nouveau de chirurgie,
vous devez écrire votre propre prescription.
-
Je vous pose la question, « De quoi avez-vous besoin,
de quoi votre corps a-t-il besoin pour guérir ?
-
De quoi avez-vous besoin pour changer.
Qu'est-ce qui doit être modifié dans votre vie ? »
-
Si vous saviez qu'en vous débarrassant
de tous vos masques
-
et en nous laissant voir
votre merveilleuse lumière intérieure,
-
vous teniez la solution à vos problèmes de santé, voudriez-vous le faire?
-
Je vous mets au défi.
-
Ça pourrait ouvrir votre corps aux miracles.
-
Merci
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(Applaudissements)