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Le coût du stress professionnel et comment le réduire

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    Le stress -- nous savons tous ce que c'est
    et le gérons différemment.
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    Que ce soit nos pensées
    qui s'accélèrent ou ralentissent,
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    manger ses émotions ou rien du tout,
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    avoir du mal à dormir ou à sortir du lit.
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    Franchement, c'est naze.
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    (Rires)
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    Mais il y a aussi du bon stress,
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    comme se préparer pour la plus grosse
    conférence où vous soyez intervenu.
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    (Rires)
  • 0:22 - 0:27
    (Applaudissements)
  • 0:27 - 0:28
    Avec une plateforme mondiale.
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    (Rires)
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    Non, même le bon stress peut vous nuire,
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    mais c'est du mauvais stress
    dont je suis venu parler.
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    Et pas pour la raison que vous attendriez.
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    Je suis chargé des relations
    pour des individus aisés.
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    Je travaille aux côtés
    de gens riches et de leur famille
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    pour les aider à atteindre
    leurs objectifs.
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    J'aime garder l'économie en tête,
  • 0:45 - 0:49
    car je sais que ce qui affecte l'économie
    affecte mes clients
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    et il s'avère que le stress affecte
    énormément l'économie.
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    Et si je vous disais
    que d'après certaines estimations,
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    aux États-Unis, le coût
    du stress lié au travail
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    est proche de 300 milliards
    de dollars par an ?
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    Le stress professionnel,
    le stress qui cause cet énorme effet,
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    est lié à la productivité et au bien-être.
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    C'est de cela que nous allons parler.
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    Et au passage, c'est lié
    au désengagement des employés,
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    aux maladies chroniques
    affectant votre travail,
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    aux blessures et maladies du travail.
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    Quand vous additionnez
    les coûts des cinq facteurs,
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    on estime cela à 2,2 billions
    de dollars par an.
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    Cela représente 12% de notre PIB.
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    Je sais ce que vous pensez :
    « C'est beaucoup d'argent et comment ? »
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    Le stress, c'est profondément personnel,
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    il est insensé de penser
    qu'il a une telle incidence.
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    Pour le comment, considérez
    cette expérience de pensée.
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    Imaginez une mère célibataire
    avec un travail stressant,
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    dans un environnement stressant,
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    où elle est assise 90% du temps.
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    Elle n'a peut-être pas
    le temps de cuisiner
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    alors elle choisit des plats préparés :
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    qu'est-ce que cela signifie ?
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    Des aliments transformés et très sucrés.
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    La combinaison
    de cette mauvaise alimentation
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    et du stress lié au travail
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    mène à une maladie chronique.
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    Disons du diabète.
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    Les soins médicaux coûtent de l'argent
    à elle et l'entreprise,
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    accroissant le stress.
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    Elle s'inquiète maintenant de sa santé
    et de joindre les deux bouts,
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    elle est probablement distraite
    et moins productive.
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    Mais elle ne peut pas l'être.
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    C'est une mère célibataire.
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    La voilà qui pense :
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    « Et s'il m'arrive quelque chose ?
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    Qui va s'occuper de mon enfant ?
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    Qui va s'occuper de mon bébé ? »
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    Plus de stress.
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    Prenez ce scénario,
    tournez-le comme vous voulez,
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    appliquez-le à la nation
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    et vous pourriez entrevoir
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    comment nous en arrivons à ce coût
    de plusieurs billions de dollars.
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    Tout cela me touche particulièrement.
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    Mon père est parmi les gens
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    les plus travailleurs
    et intelligents que je connais.
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    Ne vous méprenez pas,
    ma mère travaillait aussi,
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    mais il a assumé le rôle
    de la source de revenus principale.
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    Je suis sûr que nous pouvons
    comprendre le stress et la pression
  • 2:45 - 2:47
    liés au fait de prendre soin
    de notre famille.
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    Mais cela combiné au stress professionnel,
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    que peut-il arriver ?
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    Le développement irréversible
    d'une tension artérielle élevée
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    menant à la perte de fonction des reins
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    et d'une décennie
    en dialyse -- son destin.
  • 2:58 - 3:01
    Je suis heureux de dire
    qu'il a eu une greffe de rein
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    l'année dernière.
  • 3:02 - 3:04
    Cependant --
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    (Applaudissements et acclamations)
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    Cependant, durant près d'une décennie,
  • 3:10 - 3:13
    ni l'économie ni ma famille n'a bénéficié
    de son éthique professionnelle
  • 3:13 - 3:14
    ou de son intelligence
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    et, comme il le dirait,
  • 3:16 - 3:18
    c'est une triste analyse.
  • 3:18 - 3:19
    Tout ce que je dis,
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    c'est que je pense que le stress
    affecte l'économie
  • 3:21 - 3:25
    en diminuant la productivité
    et en augmentant les coûts de santé.
  • 3:25 - 3:27
    Oui ?
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    Voici ce qui n'a pas de sens.
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    Une étude de l'Organisation
    mondiale de la santé
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    estime les dépenses mondiales de santé
    à 7,8 billions de dollars.
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    Une étude de l'Institut
    mondial du bien-être
  • 3:38 - 3:40
    suggère que l'industrie
    mondiale du bien-être
  • 3:40 - 3:42
    estimée à 4,5 billions de dollars
  • 3:42 - 3:47
    est passée de 3,7 à 4,2 billions
    entre 2015 et 2017
  • 3:47 - 3:49
    et conservera cette croissance
    jusqu'en 2022.
  • 3:50 - 3:52
    Pourquoi cela vous importe-t-il ?
  • 3:52 - 3:55
    Car cette croissance est presque deux fois
    celle de l'économie mondiale,
  • 3:55 - 3:58
    qui est de 3,3% en moyenne
    sur cette même période.
  • 3:58 - 4:00
    Qu'est-ce que cela signifie-t-il ?
  • 4:00 - 4:02
    Chaque année, nous dépensons
    plus par an dans la santé
  • 4:02 - 4:05
    et les industries concentrées
    sur le développement du bien-être
  • 4:05 - 4:07
    et d'un style de vie sain
  • 4:07 - 4:09
    ont une croissance double
    par rapport à l'économie mondiale
  • 4:09 - 4:13
    et pourtant, nous perdons des billions
    de dollars par ans de productivité.
  • 4:14 - 4:16
    Que se passe-t-il ?
  • 4:16 - 4:17
    (Rires)
  • 4:17 - 4:18
    Les niveaux de stress sont élevés
  • 4:18 - 4:20
    et cela doit changer.
  • 4:20 - 4:23
    Je crois aussi que notre façon
    de voir le stress doit changer.
  • 4:23 - 4:25
    Commençons par en redéfinir notre vision.
  • 4:25 - 4:28
    Nous avons tendance à voir le stress
    comme une conséquence,
  • 4:28 - 4:30
    mais je le vois comme une culture.
  • 4:30 - 4:32
    Où passons-nous
    la majorité de notre temps ?
  • 4:32 - 4:33
    Au travail, n'est-ce pas ?
  • 4:34 - 4:37
    Où nous devons trouver
    un équilibre travail-vie personnelle.
  • 4:37 - 4:40
    Les liens entre le travail,
    le stress, la santé et le bien-être
  • 4:40 - 4:42
    n'ont jamais été si étroits.
  • 4:42 - 4:43
    Et pourtant, il y a un énorme décalage
  • 4:44 - 4:47
    dans notre approche du stress
    et du bien-être au travail.
  • 4:47 - 4:49
    Nous pourrions accuser
    de nombreuses choses.
  • 4:49 - 4:50
    Les nouvelles technologies,
  • 4:50 - 4:53
    l'accent mis sur le rendement
    pour les actionnaires
  • 4:53 - 4:55
    ou, mon préféré, la rivalité entre pairs
  • 4:55 - 4:57
    et la prise de photos en ce faisant.
  • 4:58 - 4:59
    Mais au final,
  • 4:59 - 5:01
    j'ai peur que nous ayons créé une culture
  • 5:01 - 5:04
    où prendre soin de soi et le bien-être
    sont en arrière-plan.
  • 5:04 - 5:06
    Comment aller de l'avant ?
  • 5:06 - 5:09
    Je crois que la réponse se trouve
    dans trois piliers fondateurs.
  • 5:09 - 5:11
    Si vous vous surprenez à penser :
  • 5:11 - 5:14
    « Rob, j'ai déjà entendu ça,
    dites-moi une chose que j'ignore »,
  • 5:14 - 5:15
    demandez-vous :
  • 5:15 - 5:17
    si nous savons déjà quoi faire,
  • 5:17 - 5:19
    alors que faisons-nous ?
  • 5:19 - 5:21
    Un : les entreprises.
  • 5:21 - 5:22
    En particulier,
  • 5:22 - 5:25
    comment la culture et le style
    de communication d'une entreprise
  • 5:25 - 5:28
    jouent un rôle crucial dans le stress
    et le bien-être au travail.
  • 5:28 - 5:31
    L'ADN d'une entreprise, c'est sa culture.
  • 5:31 - 5:32
    Cela donne le ton
  • 5:32 - 5:34
    et va même jusqu'à définir l'entreprise.
  • 5:35 - 5:36
    Les entreprises devraient investir
  • 5:36 - 5:41
    dans le bien-être mental, physique
    et émotionnel de leurs employés
  • 5:41 - 5:44
    comme elles investissent
    dans l'innovation et la R&D.
  • 5:44 - 5:47
    Est-ce que cela accroîtrait
    la productivité et réduirait le stress ?
  • 5:47 - 5:48
    Je le pense vraiment.
  • 5:48 - 5:50
    Mais pour que cela dure,
  • 5:50 - 5:52
    une entreprise doit trouver un moyen
  • 5:52 - 5:55
    de mesurer le bien-être de ses employés
  • 5:55 - 5:58
    avec autant d'exactitude et de précision
    que sa croissance et ses revenus.
  • 5:58 - 6:01
    Si cela semble être
    un défi de taille, demandez-vous
  • 6:01 - 6:04
    ce qu'est le plus grand avantage
    concurrentiel d'une entreprise.
  • 6:04 - 6:06
    Les gens.
  • 6:06 - 6:07
    Nous le savons.
  • 6:07 - 6:10
    Comme tout dans une entreprise,
    cela doit commencer en haut.
  • 6:10 - 6:11
    Si vous êtes un dirigeant,
  • 6:11 - 6:15
    montrer que votre santé mentale
    et votre bien-être vous importent
  • 6:15 - 6:16
    est un catalyseur puissant.
  • 6:16 - 6:18
    Je suis un fan de foot
  • 6:18 - 6:20
    et en grandissant,
    j'ai eu quelques coachs.
  • 6:20 - 6:23
    J'en avais un qui menait
    les séances intenses de cardio.
  • 6:23 - 6:25
    Il ne se tenait pas sur le côté,
    tel un spectateur.
  • 6:25 - 6:26
    Il participait.
  • 6:26 - 6:28
    Cela faisait trois choses.
  • 6:28 - 6:29
    Il en était difficile de se plaindre.
  • 6:30 - 6:31
    (Rires)
  • 6:31 - 6:33
    Je m'assurais de toujours garder le rythme
  • 6:33 - 6:35
    et j'étais plus investi
    dans l'entraînement.
  • 6:35 - 6:36
    C'est la même idée.
  • 6:36 - 6:38
    Finalement, la communication.
  • 6:38 - 6:41
    Afin d'aider mes clients à atteindre
    leurs objectifs financiers,
  • 6:41 - 6:44
    cela nécessite que j'écoute
    et que je réponde activement.
  • 6:44 - 6:47
    Laissez vos employés
    vous dire ce qui les stresse,
  • 6:47 - 6:50
    de quels avantages bien-être
    ils ont besoin,
  • 6:51 - 6:52
    puis agissez.
  • 6:52 - 6:53
    Agir selon ce qu'ils vous disent
  • 6:53 - 6:56
    montrera que vous prenez
    ces retours sérieusement
  • 6:56 - 6:58
    et je pense que l'entreprise
    y gagnera à long terme.
  • 6:58 - 7:00
    Pourquoi ?
  • 7:00 - 7:03
    Car des employés correctement équipés
    seront plus productifs et moins stressés.
  • 7:03 - 7:06
    Ensuite, j'aimerais demander de l'aide
    à l'oncle préféré de tous.
  • 7:06 - 7:09
    Oui, le gouvernement a un rôle à jouer.
  • 7:09 - 7:13
    Le Forum économique mondial
    et l'école de santé publique d'Harvard
  • 7:13 - 7:16
    estiment qu'entre 2011 et 2030,
  • 7:16 - 7:18
    les maladies chroniques
    et mentales majeures
  • 7:18 - 7:21
    coûteront 47 billions de dollars
    à l'économie mondiale.
  • 7:21 - 7:22
    Nous sommes en 2020.
  • 7:23 - 7:26
    Le stress n'est pas la cause
    de toutes les maladies chroniques
  • 7:26 - 7:27
    ou des maladies mentales,
  • 7:27 - 7:29
    mais même si c'en est une partie,
  • 7:29 - 7:31
    ce chiffre pourrait être bien plus faible
  • 7:31 - 7:33
    si le gouvernement faisait
    ce qu'il fait de mieux :
  • 7:33 - 7:34
    assurer l'application.
  • 7:34 - 7:38
    Dans ce cas, pour des standards
    plus élevés au travail.
  • 7:38 - 7:40
    Peut-être même des programmes
    d'incitation fiscale
  • 7:40 - 7:42
    pour aider à élever ces standards,
  • 7:42 - 7:45
    mais les meilleures politiques
    et initiatives pour le bien-être
  • 7:45 - 7:47
    soutenues par un gouvernement
    avant-gardiste,
  • 7:47 - 7:50
    ça n'importera pas sans l'aide
    du pilier le plus essentiel :
  • 7:51 - 7:52
    vous.
  • 7:52 - 7:56
    Le stress et sa gestion sont si dynamiques
    que vous avez votre rôle à jouer.
  • 7:56 - 7:59
    Cela sera bénéfique
    pour vous et l'économie.
  • 7:59 - 8:02
    Ecoutez, je ne suis pas psychologue,
  • 8:02 - 8:06
    mais j'ai entrepris de développer
    ma santé mentale et mon bien-être,
  • 8:06 - 8:08
    alors voici ma dernière contribution.
  • 8:08 - 8:09
    Une première étape essentielle
  • 8:09 - 8:12
    est que tout le monde
    soit honnête avec lui-même.
  • 8:12 - 8:13
    A quel sujet ?
  • 8:13 - 8:16
    Sur le fait d'avoir mis votre bien-être
    mental, physique et émotionnel
  • 8:16 - 8:17
    en arrière-plan
  • 8:17 - 8:19
    et sur les dégâts que cela a causé.
  • 8:19 - 8:23
    Sur la priorisation de l'opinion publique
    face à l'instinct de conservation --
  • 8:23 - 8:25
    pensez aux réseaux sociaux.
  • 8:25 - 8:28
    Sur comment nous nous définissons
    et ce que cela fait.
  • 8:28 - 8:31
    Votre carrière contribue
    à une partie de votre identité.
  • 8:31 - 8:34
    Mais lui permettons-nous
    de nous définir un peu trop ?
  • 8:34 - 8:35
    Et demandez :
  • 8:35 - 8:39
    « Cela m'apporte-t-il la valeur
    que j'ai vue considérant son coût ? »
  • 8:39 - 8:41
    Je ne parle pas que d'argent.
  • 8:41 - 8:43
    Pour moi, être honnête a signifié
  • 8:43 - 8:47
    examiner de près ma relation
    avec mes pensées, le courage et l'échec.
  • 8:47 - 8:49
    Il y a des années,
    lors d'un match de championnat,
  • 8:49 - 8:51
    le coach est venu me dire : « Rob Cooke,
  • 8:51 - 8:53
    tu y vas, on ne peut pas
    perdre aujourd'hui. »
  • 8:53 - 8:55
    J'y suis allé.
  • 8:55 - 8:56
    J'ai échoué.
  • 8:56 - 8:57
    Nous avons perdu.
  • 8:57 - 8:58
    (Rires)
  • 8:58 - 9:00
    Merci de rire.
  • 9:00 - 9:01
    (Rires)
  • 9:01 - 9:02
    Je me sens bien.
  • 9:02 - 9:04
    Non, mais...
  • 9:05 - 9:08
    Après ce jour-là, cela m'est resté
    pendant un certain temps,
  • 9:08 - 9:12
    au point où pour toute opportunité
    d'y aller, de grandir, de me développer,
  • 9:12 - 9:14
    je baissais doucement la tête,
  • 9:14 - 9:15
    prenais du recul.
  • 9:15 - 9:17
    Puis j'ai découvert la pleine conscience.
  • 9:17 - 9:20
    J'ai continué à la développer
    dans ma vie jusqu'à aujourd'hui.
  • 9:20 - 9:22
    Vivre dans le présent, dans l'instant.
  • 9:24 - 9:26
    La pleine conscience
    n'est pas pour tout le monde,
  • 9:26 - 9:29
    mais quand je pense aux gens
    qui réussissent et ont de l'impact,
  • 9:29 - 9:31
    je vois une tendance commune :
  • 9:31 - 9:32
    la maîtrise de leur mental,
  • 9:32 - 9:34
    ce qui inclut la gestion du stress.
  • 9:34 - 9:36
    Il est question de développer
    sa conscience,
  • 9:36 - 9:37
    sa connaissance et son acceptation
  • 9:37 - 9:41
    de ses pensées, émotions,
    environnement et état physique actuels.
  • 9:42 - 9:43
    N'est-ce pas ?
  • 9:43 - 9:45
    Je ne parle pas de ne jamais être stressé.
  • 9:45 - 9:47
    Mais la gestion de ce stress --
  • 9:47 - 9:51
    c'est un avantage pour vous
    et pour l'économie.
  • 9:51 - 9:53
    Je vais vous quitter sur cette pensée.
  • 9:53 - 9:56
    Nous savons que la retraite,
    c'est épargner plus maintenant
  • 9:57 - 9:58
    pour plus tard.
  • 9:58 - 10:01
    Et si nous traitions
    notre santé mentale et notre bien-être
  • 10:01 - 10:02
    de la même façon ?
  • 10:02 - 10:05
    Développez-les et épargnez-vous maintenant
  • 10:05 - 10:06
    pour plus tard dans la vie.
  • 10:06 - 10:08
    Ne rien faire entraîne plus de coûts
  • 10:08 - 10:10
    et pire encore, moins de temps.
  • 10:10 - 10:12
    Et parmi ces deux choses,
  • 10:12 - 10:14
    laquelle ne pouvez-vous pas récupérer ?
  • 10:14 - 10:16
    Faisons avancer cette culture du stress
  • 10:16 - 10:20
    et vivons des vies plus heureuses, saines
    et, espérons-le, productives.
  • 10:20 - 10:21
    Merci.
  • 10:21 - 10:25
    (Applaudissements)
Title:
Le coût du stress professionnel et comment le réduire
Speaker:
Rob Cooke
Description:

D'après certaines estimations, le stress professionnel draine l'économie américaine de près de 300 milliards de dollars par an et il peut aussi nuire à votre productivité et à votre santé mentale, dit Rob Cooke, qui préconise le bien-être. Il fait part de stratégies pour aider à placer votre bien-être mental, physique et émotionnel au premier plan.

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Video Language:
English
Team:
closed TED
Project:
TEDTalks
Duration:
10:38

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