Gabriel Orozco: "Mobile Matrix" | Art21 "Exclusive"

Episode #029: Gabriel Orozco discusses the process behind his sculpture "Mobile Matrix" (2006), a permanent installation for the José Vasconcelos Library in Mexico City.

Gabriel Orozcos sculptures and photographs disrupt conventional notions of reality. Drawing our attention to slips in logic, philosophical games, and hidden geometries, Orozco uncovers the extraordinary aspects of the seemingly everyday. His use of humble materials and means (graphite on bone, a ball of clay, a 35mm camera) engages the imagination through its disarming simplicity and intimacy.

Gabriel Orozco is featured in the Season 2 (2003) episode Loss & Desire of the Art:21—Art in the Twenty-First Century television series on PBS.

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VIDEO | Producer: Wesley Miller and Sofía Olascoaga. Camera & Sound: J. Manuel Bravo Arriola and Larissa Nikola-Lisa. Editor: Mary Ann Toman. Artwork Courtesy: Gabriel Orozco. Thanks: Biblioteca José Vasconcelos, Mexico City; Kurimanzutto, Mexico City; Marco Barrera Bassols; and Marian Goodman Gallery, New York.

Normalement, je ne fais pas de travail publique

je ne prends pas de commisions.

Vous savez, la bibliothèque est la Bibliothèque Nationale

Donc c'était un grand projet.

Alors ils m'ont approché, mais je leur ai dit

"Si j'ai une idée qui me plait, je le ferai."

Et puis quand ils ont fini l'immeuble, j'ai eu quelques idées,

Et une de ces idées était 'davoir ce squelette de baleine au milieu.

En fait, c'était plus une image qu'un idée.

Mais cette image est venue à moi de façon très claire

l'image d'une baleine flootante au milieu des étagères de bibliothèque.

Quand je fais fasse à un objet prêt-à créer

Ou à une chose réèlle,

J'essaye de comprendre la logique de l'objet

Comment il fonctionne.

Donc je place quelques articulations dans différents centre de mouvement de la baleine

et à partir de ces points, je commence à faire des ronds.

Ils sont comme des rings,

et ces rings s'intersectent

donc vous avez plusieurs points différent dans le corps.

Donc, à partir de différents centres du squelette,

Je dessinais des rings qui s'élargissaient

et ils se touchaient de diiférentes manières,

des manières surprenantes.

Jusqu'à ce que ce soit d'immenses rings.

A la fin, c'était un gros travail qu'il fallait remplir de graphite.

Et j'aime le graphite parce qu'il entraine

d'une manière différente que si je peignais sur des os.

ça ressemble plus à de la poussière.

J'ai toujours aimé l'idée de ce minéral sombre

Contre la blancheur de l'os.

La façon dont ils contrastent.

Si vous considérez mon travail come une manière e prendre la réalité

puis extraire quelqeu chose, puis révéler une part centrale,

ou la partie qui m'intéresse la plus.

C'est une sorte de collage.

S'impliquer dasn cela, et remarquer la structure une fois de plus.

Donc, c'est toujours ce que c'est à la base,

mais révélé différemment.

Je veux dire, je sais que quand on fait quelque chose de ce genre,

dansun grand immeuble comme celui-ci

Le symbolismee t la mythologie commencent à jouer un grand rôle,

Et l'humanité a de nombreux contes et légendes

et mythologie en relation avec la baleine.

D'un autre coté, normalement dans des immeuble comme celui- i

on ferait un aigle ou quelque chose de symbolique concernant le Mexique ou quelque chose comme ça.

C'est ce qu'ils aimaient faire à l'époque vous savez?

Mais maintenant je crois, étant plus cultivé,

et aussi parce que l'immeuble à un coté écologique.

Mais je pense que tout ça se trouve dans le travail

sans que je n'aie à dire un mot.

je pense que pour moi le plus important est ce qui se traduit

depuis une expérience réèlle.

Mais aussi, comment on traduit cette expérience en un signe,

en une langue, en un art

de sorte qu'on puisse faire part de nos découvertes aux autres personnes.