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Title:
Everything is a Remix Partie 2
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Description:
Une introduction aux techniques de recyclage et de remixage courament utilisées dans l'industrie cinématographique. Parie 2 sur 4.
Un supplément additionel est disponible ici :
goo.gl/gtArc
Merci de nous encourager :http://www.everythingisaremix.info/?page_id=14
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Peut-être parce que les films coûtent extrêmement cher à réaliser
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Peut-être parce que les BD, séries télé,
jeux vidéos, livres et autres
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sont des sources d'inspiration
tellement riches.
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Ou peut-être que le public
préfère ce qui lui est familier.
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Quelle que soit la raison,
la plupart des plus gros succès
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reposent principalement sur des contenus pré-existants.
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Sur les 10 plus grands films sortis
chaque année sur la dernière décennie,
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76 sur 100 sont soit des suites,
soit des remakes de films sortis plus tôt,
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ou des adaptations de comics,
de jeux vidéo, de livres...
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Faire du neuf avec du vieux, c'est ce qu'Hollywood fait de mieux!
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Everything is a Remix
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Deuxième partie : Remix Incorporés
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Aujourd'hui, il y existe une trilogie de films basés sur une attraction d'un parc à thème
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Un film musical basé sur une comédie musicale
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elle-même basée sur un film.
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Deux suites de films
adaptées d'un dessin animé télé,
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lui-même
basé sur une série de jouets.
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Un film basé sur deux livres,
dont l'un d'eux était basé sur un blog,
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lui-même inspiré de l'autre livre,
lequel a été adapté en film.
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Vous suivez ?
Nous avons onze Star Trek,
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douze Vendredi 13,
et vingt-trois James Bond.
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Des histoires dites, redites,
transformées, référencées et réécrites
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depuis la naissance du cinema.
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Nous avons vu les vampires évoluer de montres hideux à rôdeurs encapés
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puis devenir des blagues de mauvais goût,
des mecs sexy
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et des mecs
encore plus sexy.
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Sur les quelques succès qui ne sont pas
des suites, remakes ou adaptations,
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le mot "original" ne vous viendrait
même pas à l'esprit pour les décrire.
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Ceux-là sont des films de genre,
et collent à de jolis archétypes.
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Des genres eux-même divisés en sous-genres,
avec leurs propres codes spécifiques.
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Dans la catégorie "films d'horreur",
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il y a les slashers, les films de zombies, de créatures,
et bien sûr, les films de torture.
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Tous contiennent des éléments standards
qui ont été appropriés, transformés et détournés
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Prenons par exemple
le plus gros film de la décennie.
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Ce n'est pas une suite,
un remake ou une adaptation,
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mais c'est un film de genre,
la science-fiction et de plus,
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c'est le membre d'un sous-genre
où des personnes blanches sympathiques
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sont affligées par tous les meurtres,
pillages et annihilations
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qui ont eu lieu en leur nom.
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J'appelle ce sous-genre
"On s'excuse du colonialisme".
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Des films comme "Danse avec les Loups",
"Le Dernier Samouraï", "Le Dernier des Mohicans",
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"Dune", "Lawrence d'Arabie",
"Un homme nommé cheval",
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et même les aventures
de Zak et Crysta et Pocahontas.
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Les films ont été construits
sur d'autres films,
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aussi bien que sur des livres,
shows télé, fait réels, etc
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Cela s'applique à tout,
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du film de genre ordinaire
jusqu'au vénéré film indépendant.
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Cela s'applique même aux blockbusters
massivement influencés,
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le genre de films
qui a modelé la culture populaire
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Ce qui nous amène à...
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Encore aujourd'hui, "Star Wars" reste considéré comme un impressionnant travail d'imagination,
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mais bon nombre de ses composants
sont des remix et des "samples"
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Les origines de "Star Wars"
sont attribuées à Joseph Campbell.
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Il a popularisé
la structure du mythe dans son livre,
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"Le héros aux mille et un visages".
"Star Wars" suit les grandes lignes du monomythe,
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consistant en plusieurs étapes
comme l'appel à l'aventure,
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l'aide supernaturelle,
le ventre de la baleine,
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le cheminement d'épreuves,
la rencontre avec la déesse et d'autres.
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La série des "Flash Gordon" des années 30
et le réalisateur japonais Akira Kurosawa
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ont aussi été de grandes influences.
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"Star Wars" est assimilable à une mise à jour de "Flash Gordon",
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tant au niveau des transitions en balayage
que du design.
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De Kurosawa,
on a repris les arts martiaux,
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le duo de choc,
encore des transitions en balayage,
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des trappes de sous-sol et un méchant
qui se fait arracher un bras.
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Les films de guerre et les westerns
sont aussi de grandes influences de "Star Wars"
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La scène où Luke
découvre le massacre de sa famille
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ressemble à cette scène
de "The Searchers".
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Et la scène
où Han Solo tire sur Greedo
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ressemble à cette scène de
"Le bon, la Brute et le Truand".
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Les frappes aériennes dans "The Damnbusters",
"633 Squadron" et "The Bridges at Toko-Ri"
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sont vraiment similaires
à la course sur l'Étoile de la Mort.
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Et souvent, les tirs
sont utilisés comme modèle
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pour les effets spéciaux
de Star Wars.
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De nombreux autres éléments
sont clairement dérivés d'autres films.
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L'homme en étain,
comme la femme en étain dans "Metropolis",
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quelques prises de vue
inspirées par "2001",
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un "prends la fille et balance-toi",
comme dans "Le 7ème Voyage de Sinbad",
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une projection holographique
comme celle de "Planète interdite",
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un rassemblement similaire
à celui-ci dans "Triumph Of The Will"
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et de mignons petits robots,
comme ceux dans "Silent Running".
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George Lucas a collecté des documents,
les a combinés, transformés.
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Sans les films qui ont précédé,
"Star Wars" n'aurait pas pu exister.
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La création a besoin d'influences.
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Tout ce que l'on fait est un remix
de créations existantes,
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de nos vies,
et de la vie des autres.
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Comme Isaac Newton a dit une fois,
"Nous sommes tous debouts sur les épaules des géants."
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C'est ce qu'il ce qu'il faisait en adaptant
cette citation de Bernard de Chartres.
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Dans la troisième partie,
nous développerons cette idée
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et tracerons la limite floue
entre l'original et le non-original.
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Une dernière chose
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George Lucas a longtemps été considéré comme celui
s'inspirant le plus de films existants.
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Mais ce titre à récemment été attribué à...
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Quentin Tarantino
et son chef d'œuvre de remixage, "Kill Bill".
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C'est le film contenant le plus de remix
qu'Hollywood ait jamais produit.
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Rempli d'éléments provenant
d'un nombre incalculable de films,
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Kill Bill élève le sampling de films
à un haut niveau de sophistication.
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La scène de l'infirmière tueuse,
en particulier, est presque entièrement
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un arrangement
de films déjà existants.
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L'action principale est la même
que cette scène de Black Sunday
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où une femme déguisée en infirmière
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tente de tuer un patient
avec un liquide rouge.
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Le bandeau est une référence
au personnage principal de "Crime à froid"
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et la musque fredonnée vient du thriller
de 1968, "Twisted Nerve".
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L'effet d'écran partagé
est inspiré d'une technique
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utilisée dans de nombreux films
de Brian de Palma, notamment "Carrie".
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Pour plus de détails sur les références
de "Kill Bill", visitez ce lien.
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Troisième partie : printemps 2011
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Bonjour, je suis Kirby, le créateur de "Everything is a Remix",
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et j'espère que ça vous plaît.
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Si vous avez bien aimé,
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et que vous aimeriez
me voir continuer,
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les contributions financières
sont plus que bienvenues.
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Vous pouvez le faire
à cette adresse,
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ou simplement
sur la rubrique "Donate" du site.
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Cette série demande beaucoup de travail,
donc j'apprécie toute contribution.
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Allez sur everythingisaremix.info
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pour en apprendre plus
sur la production de cette vidéo,
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sur les extraits, références,
tout ce que j'ai utilisé en production.
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Merci d'avoir regardé.
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Merci sincèrement pour votre support,
vos retours et critiques,
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J'espère que cette vidéo vous a plu,
et que vous aimerez la prochaine.
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À bientôt !