Alors, ça veut dire que c'est tout à fait normal en droit danois de ne pas suivre Avocat Claus Bonnez C'est toujours problématique et fait partie de C'est très problématique ! Comme déjà vu, avec par exemple le cas Tamil, les employés de l'État ne sont pas toujours honnêtes Danemark 2012 Dans la prochaine émission de " Le Danemark y met le paquet - 2", nous interviewons le tribunal de Aarhus et nous espérons avoir De sérieuses accusations contre l'état danois émises par l'avocat des droits de l'homme Claus Bonnez, Donnez-moi un exemple où, selon la législation psychiatrique, un patient qui a porté en justice un cas Effets sonores: soundsnap.com Est-ce que la justice est sélectivement employée au Danemark ? un pays qui, J'ignore si vous avez l'intention d'interviewer l'autre partie, l'administration par exemple L'ultime liberté la liberté au crime LES BONNES LOIS FONT PROSPÉRER LE PAYS La rédaction de Snuff Journal prendra ensuite la température de la vue sur l'humanité de la Direction de la Cour Les deux derniers ont été impliqués dans un tel cas Il s'agit de Torben Thygesen et de Michael Møller Hansen Merci à tous ceux qui ont participé Musique de Niklas Aldén Par contre, on se base uniquement sur l'évaluation du médecin ayant veillé à l'internement Produit par: RED-tape-inc.com a eu le droit d'obtenir de l'assistance compétente ammunition à utiliser aux traditions danoises des droits de l'homme c'est-à-dire que la partie qui est mise en cause ce qui est absurde et s'oppose fondamentalement ce qui n'apparaît nulle part dans la revue hebdomadaire de droit ce raissonnement contradictoire des cours d'un état de droits démocratique cet état qui sinon revendique que le Danemark est le pays le plus heureux du monde de Jørgen Illum, la Police de l'Ouest de Jutlande, des deux employés du Procureur danoise que nous connaissons de la Constitution danoise dont subissent les fonctionnaires doit avoir la possibilité de s'expliquer et des conséquences pénales de la Convention des Droits de l'Homme article cinq et du non-respect et ne possèdent ni l'intégrité, ni l'impartialité souhaitées et que la partie opposée doit l'avoir aussi et voici les patients quand ils sortent ayant une seule l'avis du juge Mette Helby Jensen, celui du juge de Vestre Landsret Hanne Kildal, la pratique de la Cour des Droits de l'Homme les renseignements sur eux-mêmes venant de la contre-partie ni non plus d'autres revues de droit que je connais qui permet au patient autrefois interné par force d'avoir une évaluation critique compétente selon la tradition et la réputation, défend les droits de l'homme snuffstreetjournal.com présente Le Danemark y met le paquet_1 un documentaire sur les nouveaux délinquants Présidence danoise de la Communauté Européenne Des valeurs de la Communauté Européenne ? Pour commencer, pourriez-vous vous présenter ? Mon nom est Claus Bonnez et je suis avocat de défense également dans d'autres domaines parmi lesquels sur les réclusions, donc sur le code de procédure civile et d'instruction article 43a, les diagnostics en eux-mêmes je ne m'y connais pas vraiment ça, je laisse à la science médicale Connaissez-vous l'étude reconnue de Rosenhan et en quel cas, qu'en pensez-vous ? J'en ai entendu parler C'est une étude qui devait démontrer que certains étudiants faisant partie d'une expérience ont rélévés avoir un diagnostic psychiatrique même si ce n'était pas vrai, c'est en fait ce que j'en sais L'expérience Rosenhan 1973 Est-ce que les psychiatres américains étaient en mésure de distinguer entre un individu fou ou normal ? Le psycologue David Rosenhan a fait une expérience dramatique Il a rassemblé incluant lui-même huit individus, dont aucun n'avait auparavant présenté de souffrance psychiatrique Ensuite, chaque individu a été renvoyé vers un hôpital psychiatrique spéficique du pays À un moment précis, chaque individu s'est présenté à son hôpital désigné en racontant au psychiatre présent dans l'établissement qu'il entendait des voix disant le mot "thud" ? C'était le seul mensonge qu'il fallait raconter sinon chacun devait se comporter tout à fait normalement Et qu'est-ce qu'il s'est passé ? Ils ont tous été diagnostiqués fous et hospitalisés Tous ? Tous ! Et parmi eux, aucun n'était fou ? Non, personne n'aurait pu dire que ces individus étaient fous Tout ce que j'ai dit aux amis et à ma famille, c'était : "Je sors quand je veux " - c'était tout ! " J'y suis pour quelques jours et puis je sors " Personne ne savait que j'allais être forcé à y rester deux mois ! Une fois hospitalisés, les huit faux patients se sont tous comportés normalement Mais les hôpitaux ont refusé des les laisser sortir sept patients ont été diagnostiqués schizophréniques et un étant bipolaire On leur a tous administré des psychotrophiques forts Ils n'ont rien pu trouver pour convaincre les médecins comme quoi ils étaient en parfaite santé Et vite, ils se sont rendu compte que la seule manière d'en sortir c'était en admettant aux psychiatres qu'ils étaient fous et en faisant semblant d'aller mieux La seule manière d'en sortir, c'était en leur avouant qu'ils avaient raison Ils disaient que j'étais fou, " Je suis fou, mais je vais mieux " C'était une affirmation de leur avis sur moi À la cour, quand je conteste une réclusion, ce sont les aspets des droits de l'homme si on les respecte et puis je me m'interroge si, sur un plan général, la cour danoise accepte un deuxième avis c'est-à-dire une évaluation alternative en plus de celles des autorités quand on détermine si un individu remplit les critères d'une réclusion au Danemark D'accord, ça se passe souvent ? Et bien, pour ainsi dire c'est la règle principale La règle principale exclut donc une deuxième évaluation par les experts impartial ? Oui, c'est bien ça la législation psychiatrique dit que toute personne internée par force a recours à un examen de la cour afin de justifier la réclusion ou non et ce recours, on y a droit selon la léglisation danoise, et selon l'article 5 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme la législation psychiatrique dit qu'on a droit à un tel examen et bien sûr, au Danemark en étant membres du Conseil Européen, nous y avons droit aussi ce qui fait partie de la Constitution. Quand nous avons ces cas ils sont d'après moi assez ridicules, parce que on n'a pas d'autres rapports que celui de l'hôpital ayant maintenu la réclusion, donc il nous manque réellement un rapport qui creuse et qui s'oppose au rapport des autorités responsables de la réclusion Et ça se passe bien comme ça - alors c'est normal que les juges de la cour et les avocats - étant donné que nous avons pas de savoir-faire professionnel de la matière psychiatrique et puis je ne peux pas savoir quand un médecin dit que quelqu'un est fou très souvent on ne peut pas voir sur le patient s'il est fou ou non, alors moi, j'en ai aucune idée, et au juste, le juge non plus ni non plus l'avocat de l'hôpital alors quand à la cour, nous avons à faire avec un tel cas et que nous faisons confiance à l'hôpital étant derrière la réclusion il n'est pas du tout surprenant de les entendre dire sur leur propre décision qu'elle était justifiée et alors ces procès restent très vides et je trouve qu'ils s'opposent à la Convention Européenne des Droits de l'Homme Et je m'appuie sur le fait que certains rapports établis par la Cour Européenne des Droits de l'Homme démontrent que l'évaluation consécutive doit être établie par une instance impartiale de l'état ultérieur ou présent de folie ou non du patient ce n'est pas à l'institution qui au départ a décidé la réclusion pour moi c'est tout à fait clair La pratique de la Cour des Droits de l'Homme n'est pas spécialement surprenant quand on la réclame au tribunal danois c'est bien en vain car le tribunal de première instance et la cour d'appel s'en moquent justement. Maintenant j'ai porté devant la Cour des Droits de l'Homme un cas spécifique Aha, à cause de cela ? Oui, à cause de la question de l'absence d'une expertise compétente et impartiale pendant l'examen du cas Le tribunal de première instance et la cour d'appel se sont dans le cas précis, comme dans bien d'autres cas sur lesquels je travaille uniquement basés sur le rapport de l'autorité reclamant la réclusion et sur celui d'un médecin compétent s'occupant de la réclusion Ils se sont basés aussi sur les examens compétents justifiant le maintien de la réclusion et d'après moi ceci ne remplit pas les demandes de sécurité juridique comme stipulé dans l'article 5 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme HÔPITAL DÉNONCÉ À l'INSPECTION DU TRAVAIL (EPN.DK) Débat : Les proches sont choqués par la direction hospitalière (stiften.dk) Les médecins forcent illégalement les patients tous les deux jours (dr.dk) Le chef à son personnel épuisé : Arrêtez d'être chalereux avec les patients (dagensmedecin.dk) L'inspection du travail renvoie plan de stress d'un hôpital psychiatrique (stiften.dk) L'aide au traitement contre la dépression s'arrête quand on a 37 ans (politiken.dk) Fille âgée de 14 ans fixée 286 fois Les sociétés pharmaceutiques subventionnent les instances de contrôle - borsen.dk Sur dix dossiers de recours concernant la réclusion, les malades psycologiques en perdent neuf Un cas souvent transmis dans les médias nous montre les employés - de l'hôpital psychiatrique de Risskov, à côté d'Aarhus, - à cause de lourds problèmes de conditions de travail porter plainte à la Direction du Travail pour que les représentants de la Direction - puissent entammer un dialogue avec la direction de l'hôpital - qui semblait avoir son propre ordre du jour Extrêmement occupés ............. Du calme, du calme - Je dois aller voir je dois aller voir, je dois aller voir - Du calme du calme, prenez une pilule ! Le personnel dit parmi d'autres : "...Les tâches ne sont pas accomplies, le personnel est obligé de veiller moins sur la qualité, et ça se voit sur le traitement et le travail qu'ils font. " "...Le temps à la reflection professionnelle et à l'approfondissement n'a aucune place dans le travail quotidien..." Le temps à la reflection professionnelle et à l'approfondissement n'a aucune place dans le travail quotidien... Oui, c'est évident Nous pourrons dire que le problème que vous soulevez est d'une autre nature parce que quand on est hospitalisé et si les conditions de travail sont donc si mauvaises comme c'est décrit dans le rapport de l'Inspection du Travail on risque d'être mal diagnostiqué ce qui peut être mauvais pour ceux pour qui un séjour hospitalier peut être bénéfique donc ils ne terminent pas leur traitement et sont renvoyés trop tôt alors que d'autres patients hospitalisés qui ne souffrent de rien y restent sans raison Ceci représente un sérieux problème car ils sont internés par force Même si on s'imagine un hôpital dont les conditions de travail seraient tout à fait bonnes et dont le personnel serait professionnellement très compétent ça va tout de même s'opposer aux principes de l'état de droit interprétés dans l'article cinq par la Cour des Droits de l'Homme ça n'a pas de valeur si c'est la même institution qui, par la suite, dans un cas où un citoyen fait valloir qu'une réclusion était non-justifiée, si ce sont ces mêmes institutions qui pour ainsi dire délivrent les témoignages sur lesquels la Cour fonde son jugement Bien sûr, l'effet s'amplifie quand l'environnment de travail est de mauvaise qualité car la validité des avis des médecins en devient probablement moins fiable, même si c'était pas le cas.